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Établissement d’un système national de suivi des forêts polyvalent pour améliorer les capacités de suivi de l’utilisation des terres au Ghana

Renforcer l’accessibilité et l’exactitude des données sur les forêts pour atteindre les cibles climatiques nationales et internationales











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    Brochure, flyer, fact-sheet
    Le système national de suivi des forêts fournit de meilleures données et renforce les capacités en Papouasie-Nouvelle-Guinée
    Renforcement de la planification de l’utilisation des terres et du suivi des interventions liées aux forêts grâce à des données et de l’information transparentes et exactes pour les actions climatiques
    2021
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    En collaboration avec le Costa Rica, la Papouasie-Nouvelle-Guinée a proposé le concept de réduction des émissions dues à la déforestation et à la dégradation des forêts (REDD+) à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) en 2005. Depuis lors, le pays a continué à se préparer à la REDD+ et a travaillé à l'établissement d'un système national de surveillance des forêts (SNSF). Ces actions sont vitales, car des informations précises sur l'état et le changement des forêts sont essentielles pour une gestion durable de la forêt du pays. L'Autorité pour le changement climatique et le développement (CCDA) et l'Autorité forestière de Papouasie-Nouvelle-Guinée (PNGFA) sont les principaux partenaires de mise en œuvre qui ont développé conjointement le SNSF du pays, et elles reçoivent le soutien d'un certain nombre de parties prenantes et d'autres acteurs, dont la FAO. Cette étude de cas passe en revue les principaux objectifs du SNSF du comté, met en évidence les principales parties prenantes et définit les réussites et les défis de la mise en œuvre. En fin de compte, cette étude de cas sert de référence pour les autres pays mettant en œuvre le SNSF et se préparant à la REDD+.
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    Book (stand-alone)
    Légumes secs et exploitations durables en Afrique subsaharienne 2018
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    En Afrique subsaharienne, l’insécurité alimentaire touche 153 millions de personnes (soit 25 pour cent environ de la population). Le problème pourrait encore s’aggraver du fait de la dégradation constante des sols entraînée par la diminution du taux de matière organique et les apports insuffisants en éléments nutritifs. Plus de 75 pour cent des terres agricoles africaines pourraient être classées comme «dégradées» d’ici à 2020. Cette situation est susceptible de mettre en péril la production alimentaire en Afrique subsaharienne, tant que le plan quantitatif que qualitatif, ainsi que la durabilité des systèmes de production agricole existants. L’utilisation d’engrais pourrait renverser la tendance; or l’Afrique a une capacité de production d’engrais presque inexistante (elle dispose principalement d’installations qui effectuent des mélanges de produits fertilisants). Les engrais proviennent d’autres régions que l’Afrique et sont transportés à grands frais sur de longues distances. L’accès des agriculteurs d’Afrique subsaharienne aux engrais est de ce fait très limité, ce qui accroît encore le risque de dégradation des sols. Appréciés pour leurs multiples avantages, les légumes secs sont cultivés depuis longtemps en Afrique subsaharienne. Les légumes secs, et les légumineuses en général, peuvent être très utiles du fait de leur capacité à fixer biologiquement l’azote atmosphérique et à améliorer le renouvellement biologique du phosphore; ils pourraient donc devenir la pierre angulaire de l’agriculture durable en Afrique. À cet égard, un corpus de travaux publiés souligne l’importance de la diversification des systèmes de production existants, et notamment avec des légumineuses, qui apportent des services environnementaux essentiels – en matière de lutte contre l’érosion du sol et de reconstitution des stocks de nutriments des sols, par exemple. La présente publication s’intéresse à certaines des stratégies prometteuses qui s’attachent à promouvoir la culture et l’utilisation des légumineuses dans les petites exploitations agricoles d’Afrique subsaharienne. Elle s’inscrit dans le sillage de l’Année internationale des légumineuses, initiative ayant pour objet de mettre en avant la contribution des légumes secs au bien-être de l’humain et à l’environnement. L’un des problèmes rencontrés à l’échelle mondiale tient au fait que les statistiques ne reflètent pas bien la diversité des légumes secs. On ne sait pas précisément quels légumes secs sont cultivés, ni où ils sont cultivés. De ce fait, leur importance pour l’Afrique subsaharienne est sous-estimée, et on a tendance à moins investir dans la recherche sur les légumineuses. Les systèmes de production agricole existants sont dominés par les céréales, et se prêtent donc bien à une diversification par l’utilisation de variétés locales ou nouvelles de légumineuses. Le système de culture mixte basé sur le maïs se développe rapidement et est un exemple de diversification de ce type, notamment avec des variétés de haricot. Cela s’explique en partie par le nombre élevé de variétés de haricots qui ont été mises au point, dans le cadre de partenariats menés sur des décennies et soutenus par l’Alliance panafricaine de recherche sur le haricot, afin de répondre aux demandes des marchés locaux et régionaux. Ces recherches sur le haricot ont notamment permis de lancer des activités pionnières de sélection végétale participative et de vulgarisation, en association avec des organisations communautaires et des chaînes de valeur participatives, et de s’intéresser aux systèmes semenciers informels. Cet exemple montre comment la recherche sur les légumes secs peut changer la donne pour les petites exploitations d’Afrique subsaharienne, en élargissant l’éventail de possibilités offertes par la génétique et en soutenant l’innovation. De nombreuses variétés privilégiées par les agriculteurs méritent d’être mises en avant, de même que certaines techniques, telles que l’innovant système à double culture de légumineuses (SDCL) récemment annoncé par le Gouvernement malawien. Parallèlement, la présente étude met en évidence un retard dans le lancement de variétés s’agissant de certains légumes secs et la nécessité de mener sans délai de nouvelles recherches sur l’adoption, les obstacles à l’adoption et l’impact de l’adoption de nouvelles variétés. Parmi les priorités de recherche figurent les travaux destinés à mieux faire connaître et à diffuser les propriétés associées aux types de légumes secs polyvalents, qui sont très appréciés en Afrique subsaharienne. Les différents types de légumes secs remplissent différentes fonctions et, de manière générale, les légumes secs polyvalents sont ceux qui répondent le mieux aux divers besoins des agriculteurs (produits alimentaires, combustible, fourrage et services écosystémiques comme la pollinisation). Un compromis est nécessaire entre l’indice de récolte et les autres fonctions, trop souvent négligées par les chercheurs et les décideurs, qui ont tendance à se soucier presque exclusivement de l’augmentation des rendements en graines. Une autre question sur laquelle il faudrait se pencher sans délai est celle de la résistance aux organismes nuisibles et des approches éducatives et conseils agronomiques visant à renforcer la protection intégrée (PI) contre les ravageurs. Enfin, le rôle de certaines légumineuses et de leurs propriétés biochimiques dans la promotion de la santé des écosystèmes et des communautés est un domaine d’étude crucial, qui apportera des solutions urgentes nécessaires aux agricultrices et à la pérennité des communautés.
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    Book (stand-alone)
    L’État des ressources en terres et en eau pour l'alimentation et l'agriculture dans le monde - Des systèmes au bord de la rupture
    Rapport de synthèse 2021
    2021
    La réponse à la demande accrue de produits alimentaires accentue la pression exercée au niveau mondial sur les ressources que sont les eaux, les terres et les sols. L’agriculture a un rôle à jouer dans l’allégement de cette pression et dans la concrétisation des objectifs en matière de climat et de développement. Des pratiques agricoles durables peuvent déboucher sur des améliorations directes de l’état des terres, des sols et de l’eau, mais elles peuvent aussi être bénéfiques aux écosystèmes et réduire les émissions issues de la terre. Tout cela nécessite que nous disposions d’informations précises et que nous révisions radicalement notre façon de gérer les ressources. Il faut également des mesures complémentaires dans des domaines autres que la gestion des ressources naturelles, afin de tirer un profit maximal des effets de synergie et d’opérer les arbitrages nécessaires.Le rapport 2021 sur L’État des ressources mondiales en terres et en eau pour l’alimentation et l’agriculture dans le monde a pour objectif de sensibiliser sur l’état des ressources foncières et hydriques, en mettant en évidence les risques courus et en informant sur les possibilités et les problèmes propres à ces domaines. Il vise également à souligner la contribution essentielle qu’apportent des politiques, des institutions et des investissements appropriés. Les évaluations, les projections et les scénarios récents indiquent que l’épuisement des ressources en terres et en eau et la perte de biodiversité qui y est associée s’accélèrent. Le rapport 2021 sur L’État des ressources mondiales en terres et en eau pour l’alimentation et l’agriculture dans le monde met en lumière les principaux risques et tendances relatifs aux ressources en terres, en sols et en eau et présente les moyens par lesquels nous pourrons résoudre les problèmes de concurrence entre utilisateurs et produire les avantages souhaitables. Il actualise la base de connaissances et propose une série de réponses et de mesures permettant aux décideurs d’opérer une conversion éclairée, pour passer de la dégradation et de la vulnérabilité à la durabilité et à la résilience.

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