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Book (stand-alone)Working paperRégime fiscal forestier et dépenses de l’état en faveur du secteur forestier en République démocratique du Congo 2004
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Le prsent rapport dcrit les taxes forestires recouvres dans la Rpublique dmocratique du Congo. Il montre que le rgime fiscal forestier est complexe, en raison de la multiplicit des taxes et du grand nombre dinstitutions qui sont charges de les recouvrer. Le montant total effectivement peru est gnralement trs faible. Le rapport analyse les points forts et les points faibles des diffrents types de taxes et formule un certain nombre de recommandations en vue damliorer le rgime fiscal forestier. -
Book (stand-alone)Working paperRégime fiscal forestier et dépenses de l’état en faveur du secteur forestier en Namibie 2005
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En Namibie, la Direction des forêts, un des bras du Ministère de l’environnement et du tourisme, a pour mandat de gérer et contrôler l’utilisation des ressources forestières. Ce rapport présente comment la Direction des forêts administre et gère le régime fiscal forestier namibien et les dépenses réalisées. Toute personne qui veut exploiter des produits forestiers en Namibie doit obtenir un permis. Les droits pour ces permis sont fixés par la Direction des forêts en consultation avec les autre s parties prenantes et les représentants du secteur public. Les propositions de révision des taxes sont approuvées par le Secrétaire permanent du Ministre des finances et sont ensuite distribuées par les bureaux de district de la Direction des forêts. Les responsables forestiers de district perçoivent les taxes sur les produits forestiers et ces recettes sont reversées aux sièges des bureaux régionaux de la Direction des forêts, qui les versent au Ministère des finances. Les seules taxes qui son t prélevées sur les produits forestiers transformés sont des taxes sur les revenus des producteurs, même s’il a été proposé d’établir un système de taxe sur la valeur ajoutée (TVA). Les taxes forestières collectées par la Direction des forêts sont actuellement d’environ 420 000 N$ (52 200 $EU), alors que le budget de la Direction des forêts est de 14 849 000 N$ (1 845 500 $EU). De plus, la Direction des forêts reçoit des financements significatifs des donateurs étrangers. Le rapport soutient q ue si les ressources forestières étaient bien exploitées, elles pourraient rapporter assez de revenus pour développer le secteur forestier namibien. -
Book (stand-alone)Working paperRégime fiscal forestier et dépenses de l’état en faveur du secteur forestier en République centrafricaine 2004
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Le secteur forestier joue un rôle important dans l’économie de la République centrafricaine et se place au deuxième ou au troisième rang, pour ce qui est de la contribution aux revenus, à l’emploi, aux exportations, etc. Les droits d’exportation sur les produits dérivés du bois représentent la principale source de recettes forestières du gouvernement. Viennent ensuite trois taxes forestières spécifiques (taxes basée sur la superficie, taxe d’abattage et taxe au profit du reboisement), auxquelles s’ajoutent quelques taxes secondaires sur les produits forestiers non ligneux et les services procurés par les forêts. Ces recettes forestières sont partagées entre le gouvernement central, l’administration forestière et les autorités locales. Le recouvrement des taxes forestières n’est pas optimal, à cause de l’insuffisance du suivi et des arriérés de paiement. Cependant la République centrafricaine est l’un des rares pays africains où les recettes recouvrées sont supérieures aux dépenses cons acrées par l’État au secteur. En 2000, les dépenses directement consacrées à la foresterie n’ont été que de 322 millions de francs CFA, pour un montant recouvré de 1,5 milliards de francs CFA.
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Book (series)FlagshipThe State of World Fisheries and Aquaculture 2022
Towards Blue Transformation
2022The 2022 edition of The State of World Fisheries and Aquaculture coincides with the launch of the Decade of Action to deliver the Global Goals, the United Nations Decade of Ocean Science for Sustainable Development and the United Nations Decade on Ecosystem Restoration. It presents how these and other equally important United Nations events, such as the International Year of Artisanal Fisheries and Aquaculture (IYAFA 2022), are being integrated and supported through Blue Transformation, a priority area of FAO’s new Strategic Framework 2022–2031 designed to accelerate achievement of the 2030 Agenda for Sustainable Development in food and agriculture. The concept of Blue Transformation emerged from the Thirty-fourth Session of the FAO Committee on Fisheries in February 2021, and in particular the Declaration for Sustainable Fisheries and Aquaculture, which was negotiated and endorsed by all FAO Members. The Declaration calls for support for “an evolving and positive vision for fisheries and aquaculture in the twenty first century, where the sector is fully recognized for its contribution to fighting poverty, hunger and malnutrition.” In this context, Part 1 of this edition of The State of World Fisheries and Aquaculture reviews the world status of fisheries and aquaculture, while Parts 2 and 3 are devoted to Blue Transformation and its pillars on intensifying and expanding aquaculture, improving fisheries management and innovating fisheries and aquaculture value chains. Blue Transformation emphasizes the need for forward-looking and bold actions to be launched or accelerated in coming years to achieve the objectives of the Declaration and in support of the 2030 Agenda. Part 4 covers current and high-impact emerging issues – COVID-19, climate change and gender equality – that require thorough consideration for transformative steps and preparedness to secure sustainable, efficient and equitable fisheries and aquaculture. -
Book (series)FlagshipThe State of Food and Agriculture 2019
Moving forward on food loss and waste reduction
2019The need to reduce food loss and waste is firmly embedded in the 2030 Agenda for Sustainable Development. Food loss and waste reduction is considered important for improving food security and nutrition, promoting environmental sustainability and lowering production costs. However, efforts to reduce food loss and waste will only be effective if informed by a solid understanding of the problem. This report provides new estimates of the percentage of the world’s food lost from production up to the retail level. The report also finds a vast diversity in existing estimates of losses, even for the same commodities and for the same stages in the supply chain. Clearly identifying and understanding critical loss points in specific supply chains – where considerable potential exists for reducing food losses – is crucial to deciding on appropriate measures. The report provides some guiding principles for interventions based on the objectives being pursued through food loss and waste reductions, be they in improved economic efficiency, food security and nutrition, or environmental sustainability. -