Sécurisation des systèmes pastoraux à Djibouti - GCP/DJI/004/EC

Sécurisation des systèmes pastoraux à Djibouti - GCP/DJI/004/EC

n/a

Year of publication 2021

Place of publication Rome, Italie ;

Pages 2

Publisher FAO ;

Product type Project

Edition 1

Full item page

Synopsis (short abstract) Principal moyen de subsistance pour 30 pour cent de la population djiboutienne, l’élevage représente 75 pour cent de PIB agricole. Depuis plusieurs années, des sécheresses récurrentes ont entraîné une diminution massive des ressources en eau et du couvert végétal sur de nombreuses zones de parcours. Les pertes en animaux d’élevage ont gravement affecté plus de 120 000 éleveurs, soit environ la moitié de la population rurale du pays, dans un contexte d’insécurité alimentaire avéré et même sévère pour 11 pour cent des ménages ruraux en 2014. Le projet visait à sécuriser les systèmes pastoraux pour renforcer la résilience des populations pastorales, notamment en facilitant l’accès à l’eau, aux services de santé animale et aux marchés, et en diversifiant les productions. Les capacités spécifiques des services étatiques et des communautés rurales devaient être consolidées.

Language French

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Assistance d’urgence pour le contrôle des foyers de pasteurellose et de réponse à l'éruption du volcan Nyiragongo en République démocratique du Congo - TCP/DRC/3801 2023

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Depuis 2018, les ménages éleveurs des provinces du Kwilu et du Kwango dans le sud-ouest de la République démocratique du Congo ont enregistré des pertes massives des bovins (de l’ordre de 15 pour cent de leur cheptel), attribuables à Pasteurella haemolytica, l’agent pathogène responsable de la pasteurellose. Ces pertes ont profondément affecté les revenus et la sécurité alimentaire des ménages, fragilisant des populations déjà vulnérables. De plus, le 22 mai 2021, le volcan Nyiragongo, dans la province du Nord Kivu, est entré en éruption, occasionnant plusieurs dégâts matériels et humains. Cette catastrophe naturelle a eu un impact direct sur les ménages sinistrés ayant perdu leurs moyens d’existence, et des répercussions sur les familles d’accueil ayant apporté un soutien aux ménages déplacés, qui ont rapporté avoir épuisé une partie de leur stock alimentaire. Le projet visait à rétablir les moyens d’existence des ménages touchés par les effets de la pasteurellose et les répercussions de l’éruption volcanique de Nyirangongo.
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En mai 2019, le Ministère de l'Agriculture, de l'Eau, de la Pêche, de l'Elevage et des Ressources Halieutiques (MAEPE-RH) de la République de Djibouti a demandé le soutien des agences des Nations Unies basées dans le pays pour réagir à la sécheresse dans les zones rurales. L'appel a précisé qu'en dehors du retard des pluies, la situation est pire que d'habitude en raison de la panne accidentelle de plusieurs générateurs électriques à base de combustibles fossiles, et des tuyaux de distribution qui se déchirent à cause de la chaleur et du matériel obsolète. Ces éléments poussent plus de 40 000 milliers de personnes rurales au bord de la sécheresse totale et de la perte complète de leurs biens. Remplacer le générateur d'électricité à combustible fossile par un générateur solaire est une partie essentielle de la stratégie renouvelée du MAEPE-RH pour le développement de l'eau dans les zones rurales, où dans la plupart des villages, les habitants ont déjà commencé à contribuer à un pot commun pour les dépenses de combustible et d'entretien afin d'accéder à l'eau. La Direction de l'hydraulique rurale du MAEPE-RH a acquis une grande expertise dans l'entretien et la réparation de la technologie des énergies renouvelables, mais elle est actuellement submergée de demandes de réparation de la technologie obsolète des combustibles fossiles, qui est coûteuse et difficile à réparer. Ce projet devrait contribuer à contenir une crise de l'accès à l'eau et de la nutrition animale dans les zones rurales, et la transition vers des solutions énergétiques durables.
Brochure, flyer, fact-sheet

Djibouti - Profil de projet
Projet de sécurisation des systèmes pastoraux à Djibouti
2021

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Principal moyen de subsistance pour 30 pour cent de la population djiboutienne, l’élevage représente 75 pour cent du produit intérieur brut (PIB) agricole. Depuis plusieurs années, des sécheresses récurrentes ont entraîné une diminution massive des ressources en eau et du couvert végétal sur de nombreuses zones de parcours. Les pertes en animaux d’élevage ont gravement affecté plus de 120 000 éleveurs, soit environ la moitié de la population rurale du pays, dans un contexte d’insécurité alimentaire avéré et même sévère pour 11 pour cent des ménages ruraux en 2014. Le projet visait à sécuriser les systèmes pastoraux pour renforcer la résilience des populations pastorales, notamment en facilitant l’accès à l’eau, aux services de santé animale et aux marchés, et en diversifiant les productions. Les capacités spécifiques des services étatiques et des communautés rurales devaient être consolidées.