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Projet d’appui à la filière des semences et des plants d’espèces ligneuses agroforestières - TCP/GBS/3804







FAO


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    Projet d’appui à la production semencière d’espèces autochtones et exotiques forestières du Bénin - TCP/BEN/3804 2024
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    En 2010, l’Afrique perdait annuellement 3,4 millions d’hectares de forêt (0,49 pour cent), dont 50 mille hectares (1,06 pour cent) au Bénin. Pour compenser cette perte et répondre à la demande en bois, la création de plantations est une solution efficace, car les programmes de conservation seuls ne suffisent pas face à la croissance démographique. Au Bénin, une campagne nationale de reboisement est organisée chaque année, mais il y a peu d’unités semencières capables de fournir des semences de qualité, un facteur crucial pour la croissance des jeunes plants. De plus, aucun acteur forestier ne peut actuellement garantir la qualité des semences utilisées. Les populations locales et les organisations de la société civile, impliquées dans la gestion des ressources forestières, manquent de moyens et d’expertise pour assurer la collecte des semences, la production des plants et les plantations. Cela a conduit à des anomalies dans les nouvelles plantations, telles qu’un taux de mortalité élevé et des problèmes de croissance attribués à la mauvaise qualité des semences. Bien que le Bénin soit le quatrième producteur mondial de teck, le pays doit encore établir de meilleures sources de semences et adopter des méthodes appropriées pour la récolte, le traitement, la conservation et la distribution des semences de qualité.
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    Appui à la mise en place de systèmes techniques et organisationnels de multiplication des semences de cultures vivrières commerciales en Guinée-Bissau - TCP/GBS/3601 2020
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    La Guinée-Bissau est un Pays à faible revenu et à déficit vivrier (PFRDV) et fait partie des Pays les moins avancés (PMA). L’agriculture est considérée comme le moteur de l’économie nationale et constitue une source d’emploi pour une grande majorité de la population (près de 82 pour cent de la population active). Cependant, elle reste rudimentaire et de subsistance. L’augmentation de la production est essentiellement due à l’extension des superficies mises en valeur, plutôt qu’à un accroissement des rendements, qui demeurent faibles (autour de 2 à 3 tonnes/ha pour le riz, par exemple). Les difficultés d’accès aux intrants, notamment aux semences et aux plants de qualité, ont été identifiées par les structures techniques du Ministère de l’agriculture et du développement rural (MADR) comme l’une des contraintes majeures à l’amélioration de la productivité des systèmes de production actuels. En effet, les agriculteurs bissau-guinéens connaissent de sérieuses difficultés pour s’approvisionner en semences de qualité des cultures vivrières. Cette situation entrave la relance de la production vivrière, l’amélioration de la sécurité alimentaire, la création des emplois et la génération des revenus.
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    Appui au Ministère de l’agriculture, des ressources naturelles et du développement rural pour lutter contre le phytophtora colocasiae agent causal du mildiou du taro par la production de semences saines en Haïti - TCP/HAI/3804​ 2025
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    Le taro, ou Colocasia esculenta, est cultivé en Haïti dans les régions très humides, en particulier le long des canaux d’irrigation et de drainage, ainsi que dans de petites exploitations agricoles. Estimer la superficie totale des terres dédiées au taro est complexe. Cependant, en 1979, environ 21 195 ha étaient identifiés comme des terres ensemencées de taro, la plupart étant cultivées en association avec d’autres cultures. Les rendements sont toutefois extrêmement bas, ne dépassant pas en moyenne 1,8 tonne par hectare en 2016, comparés à une moyenne mondiale estimée en 1999 à 6,2 tonnes par hectare. Au fil du temps, le taro est devenu un aliment essentiel et la principale source de revenus pour les populations rurales de certaines régions du pays, telles que la plaine des Cayes. Les feuilles de taro sont consommées comme des légumes, tandis que ses racines constituent une importante source de glucides. Du point de vue nutritionnel, le taro présente une teneur en glucides plus de deux fois supérieure à celle des pommes de terre, ainsi qu’un niveau élevé de fibres alimentaires. En poids sec, le taro a également une teneur en protéines plus élevée que l’igname, le manioc ou la patate douce.

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