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DocumentSéchage des fruits et légumes en Afrique tropicale: le développement des sechoirs mixtes, solaires et a gaz
Réseau Africain pour le Développement de l'Horticulture (RADHORT)
2012Also available in:
No results found.Le séchage simple s’applique aux légumes et fruits non sucrés. Associé au fumage, on l’utilise aussi pour la viande et le poisson. L’agent de séchage est l’air, généralement chauffé par le soleil ou parfois par un feu de bois. Cette technologie traditionnelle est la base sur laquelle le CEAS (Centre Ecologique Albert Schweitzer) aide depuis huit ans les paysans et paysannes à s’approprier les techniques1 complémentaires nécessaires au séchage des fruits sucrés. Le sucre dilué est un facteur de f ermentation et de pourriture des fruits frais, mais une fois concentré par le séchage, il devient un facteur de conservation : un milieu contenant plus de 40 % de sucre ne peut plus fermenter et un fruit sec contient jusqu’à 80 % de sucre. Au Burkina Faso, comme dans les pays voisins, pendant les mois de mai, juin et juillet, la production de mangues est tellement pléthorique que des dizaines de milliers de tonnes pourrissent au pied des arbres. Ces mangues fournissent la matière première d’une production et d’un commerce florissant de mangues séchées : environ 20 tonnes vendues sur le marché local et 40 tonnes exportées en Europe et vendues dans le commerce équitable en 1995. -
DocumentLa Production et Protection Intégrées appliquée aux cultures maraîchères en Afrique soudano-sahélienne
Réseau Africain pour le Développement de l'Horticulture (RADHORT)
2012Also available in:
No results found.Les légumes sont des produits alimentaires de grande valeur commerciale et nutritifs. Ils peuvent considérablement contribuer à l’amélioration du bien être social et de l’état de santé des populations rurales et urbaines. Leur production en Afrique ne cesse de croître, et en général, il existe encore un grand potentiel pour augmenter la productivité. Cependant, le but n’est pas d’augmenter les rendements par tous les moyens possibles et par l’utilisation massive d’intrants. L’accent doit être mi s sur le développement de systèmes de cultures économiquement rentables, socialement acceptables, durables, respectueux de l’environnement et de la santé des consommateurs. Partout en Afrique, les cultures légumières sont touchées par de nombreux ennemis (insectes, araignées, nématodes, champignons, bactéries, virus,...). Suite à l’apparition de résistances, certaines d’entre eux ont atteint de hauts niveaux d’infestation malgré les contrôles chimiques. Les coûts de traitement deviennent alors p rohibitif car le nombre de traitement augmente, ou il faut faire appel à des produits de plus en plus chers. Parfois des produits de plus en plus toxiques sont utilisés. -
DocumentApprovisionnement de la ville de N’Djamena en légumes
Réseau Africain pour le Développement de l'Horticulture (RADHORT)
2012Also available in:
No results found.Mis en place en avril 1991 pour assurer le suivi des produits céréaliers, le Système d’Information sur les Marchés (SIM) du Tchad a étendu ses activités aux légumes à partir du même mois de l’année 1993, grâce aux expériences du Projet Pilote de Commercialisation des Fruits et Légumes (ACDI1/USAID2) qui a transféré, à la fin de son intervention, ses moyens humains, matériels et informatiques au SIM. Le projet ACDI, lors de son intervention au Tchad, a organisé les producteurs maraîchers en group ements et les a formé à différentes techniques de culture, de manutention et de cueillette. Le projet a également, après étude des besoins des consommateurs, commandé et distribué des variétés de semences de tomate (Marmande, Roma, et hybrides). Cet article traite de l’approvisionnement de la ville de N’Djaména en légumes, en étudiant le cas de la tomate fraîche. Les principales zones de production qui approvisionnent les marchés de la capitale en tomate fraîche sont dans leur ensemble situées d ans un rayon de 200 km par rapport à N’Djaména. Parmi ces zones, les plus importantes sont : Karal, Linia, Dourbali, Bougoumen, Koundoul et Chedra. La tomate consommée à N’Djaména est soit produite en saison des pluies et disponible au marché d’août à octobre, soit produite en hiver et disponible de décembre à mars. Lorsque la tomate produite localement se fait rare sur le marché, on voit apparaître celle provenant du Cameroun et quelquefois même celle du Nigéria.
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