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DocumentPlan d’action pour la gestion des risques de catastrophe en République Démocratique du Congo 2011-2013 2011
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Book (stand-alone)Plan d'action pour la gestion des risques de catastrophes en Guinée-Bissau 2011-2013 2011
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No results found.La Guinée-Bissau, un des pays les plus pauvres au monde, se classe au 164ème rang mondial sur 169 selon l’indice de développement humain calculé en 2010 par le Programme des Na_ons Unies pour le développement (PNUD). Plus de 65 pour cent de la popula_on vit sous le seuil des 2 USD par jour. La pauvreté, prépondérante en zone rurale, est la principale cause de l’insécurité alimentaire. La production nette nationale ne suffit pas à couvrir les besoins alimentaires de la population dont les moyens de subsistance sont en crise. Les faibles rendements des cultures vivrières, les risques phytosanitaires, la rareté des petits élevages familiaux, l’inexistence de la production piscicole, la faible demande des marchés ruraux pour les produits de la pêche artisanale et côtière ainsi que la rareté des petits jardins familiaux sont les principales causes du déficit énergétique et du déséquilibre nutri_onnel, sources de la vulnérabilité alimentaire en Guinée-Bissau. Depuis 2008, l’Organisatio n des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) appuie le Gouvernement de Guinée-Bissau à travers l’Unité de coordination des opérations d’urgence et de la réhabilita_on (ERCU) dans son effort visant à faire face à l’effondrement du cours de la noix de cajou et à la flambée des prix des denrées alimentaires. Pour répondre à ces problèmes, le Plan d’action de la Guinée-Bissau 2011-2013, dans une optique de réduction des risques de catastrophes, propose un programme composé d’une série de 12 projets dont les activités contribueront à la réduction du risque d’insécurité alimentaire. Parmi ces activités, on note la réhabilitation de digues anti-sel, l’introduction de variétés de semences améliorées résistantes à la sécheresse, la promotion de banques céréalières et la promotion d’un système d’alerte précoce. -
DocumentPlan d’action pour la gestion des risques de catastrophes en Guinée-Bissau 2011 - 2013 2011
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No results found.La Guinée-Bissau, un des pays les plus pauvres au monde, se classe au 164ème rang mondial sur 169 selon l’indice de développement humain calculé en 2010 par le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD). Plus de 65 pour cent de la population vit sous le seuil des 2 USD par jour. La pauvreté, prépondérante en zone rurale, est la principale cause de l’insécurité alimentaire. La production nette nationale ne suffit pas à couvrir les besoins alimentaires de la population dont les moyen s de subsistance sont en crise. Les faibles rendements des cultures vivrières, les risques phytosanitaires, la rareté des petits élevages familiaux, l’inexistence de la production piscicole, la faible demande des marchés ruraux pour les produits de la pêche artisanale et côtière ainsi que la rareté des petits jardins familiaux sont les principales causes du déficit énergétique et du déséquilibre nutritionnel, sources de la vulnérabilité alimentaire en Guinée-Bissau. Depuis 2008, l’Organisation d es Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) appuie le Gouvernement de Guinée-Bissau à travers l’Unité de coordination des opérations d’urgence et de la réhabilitation (ERCU) dans son effort visant à faire face à l’effondrement du cours de la noix de cajou et à la flambée des prix des denrées alimentaires. Pour répondre à ces problèmes, le Plan d’action de la Guinée-Bissau 2011-2013, dans une optique de réduction des risques de catastrophes, propose un programme composé d’une séri e de 12 projets dont les activités contribueront à la réduction du risque d’insécurité alimentaire. Parmi ces activités, on note la réhabilitation de digues anti-sel, l’introduction de variétés de semences améliorées résistantes à la sécheresse, la promotion de banques céréalières et la promotion d’un système d’alerte précoce. La mise en œuvre de ces activités sera effectuée en étroite collaboration avec les institutions nationales telles le Ministère de l’agriculture et du développement rural ( MADR) et le futur Service national de protection civile (SNPC), les organisations non gouvernementales nationales et internationales et les autres agences des Nations Unies dont notamment le Programme alimentaire mondial (PAM) et le PNUD. Les bailleurs de fonds actuels, l’Union européenne, l’Espagne, le Brésil, la Banque mondiale, la Banque africaine de développement (BAD) et le Fonds international de développement agricole (FIDA) sont des partenaires essentiels dans la mise en œuvre de ces proj ets.
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