Thumbnail Image

Etude de l’effet d’un champignon indigene predateur de nématodes sur le développement des parasites et la croissance de la tomate

Réseau Africain pour le Développement de l'Horticulture (RADHORT)









Also available in:
No results found.

Related items

Showing items related by metadata.

  • Thumbnail Image
    Document
    Etude de l’influence du bois rameal fragmente de filao sur le développement (et les facteurs du rendement) de la tomate et du peuplement de nématodes phytoparasites au Sénégal
    Réseau Africain pour le Développement de l'Horticulture (RADHORT)
    2012
    Also available in:
    No results found.

    Les nématodes à galles du genre Meloidogyne provoquent des dégâts considérables sur certaines cultures maraîchères réalisées au Sénégal. Les moyens de lutte disponibles contre ces parasites n’étant pas toujours satisfaisants, de nouvelles voies sont explorées en particulier l’utilisation de techniques culturales appropriées dans une perspective de lutte intégrée. Une des possibilités consiste à introduire dans le sol de la matière organique visant à retarder la pénétration des nématodes dans les plantes et ainsi de limiter les dégâts. Par ailleurs, au cours d’essais antérieurs sur l’amélioration de la qualité des sols sableux à partir de bois raméal fragmenté (BRF), il a été observé l’absence de galles de nématodes sur les racines des plantes ayant reçu ce type de fertilisation organique. L’objectif de cette étude est de vérifier ces observations et de mesurer les effets de cette technique sur le développement de la tomate et des nématodes à galles du genre Meloidogyne.
  • Thumbnail Image
    Document
    Etude de l’effet du piochage repete des parcelles, de la culture de patate douce et de l’utilisation du roundup dans la lutte contre cyperus rotundus en parcelles de maraîchage
    Réseau Africain pour le Développement de l'Horticulture (RADHORT)
    2012
    Also available in:
    No results found.

    La lutte contre Cyperus rotundus (mauvaise herbe des parcelles de maraîchage) est une contrainte importante pour les paysans. En effet, du fait de son mode de reproduction presque exclusivement végétatif, cette adventice est difficile à éliminer. L’étude de trois méthodes de désherbage a permis de noter que l’ombrage provoqué par une culture dense de plantes étouffantes comme la patate douce sur parcelles infestées n’a pas donné de résultats satisfaisants dans la lutte contre Cyperus rotundus. L a culture de la patate douce arrête le développement de l’adventice, mais les bulbes déjà formés dans le sol restent en dormance et germent dès que les conditions redeviennent favorables. Il ressort également que le piochage répété des parcelles infestées est une pratique qui permet de réduire considérablement la population de C. rotundus. Cette technique est cependant lente et doit s’étendre sur une période assez longue au cours de laquelle la parcelle n’est pas cultivée. La lutte contre C. rot undus avec le Roundup (glyphosate) a montré que trois applications à la dose de 4 l/ha permet de réduire la population à un seuil où elle ne cause pas de dégâts aux cultures. Par contre, les parcelles entretenues n’ayant fait l’objet d’aucune pratique de lutte permettent à C. rotundus de boucler son cycle ; la réserve de bulbes du sol devient très importante. Ces organes se conservent dans le sol pendant plusieurs années et germent dès qu’on procède à la préparation du sol.
  • Thumbnail Image
    Document
    Etude d’une méthode de capture et de blocage de la migration verticale des nématodes a Galles
    Réseau Africain pour le Développement de l'Horticulture (RADHORT)
    2012
    Also available in:
    No results found.

    D’une manière générale, les méthodes de lutte utilisées contre les nématodes visent à réduire le nombre de nématodes qui attaquent la plante, soit en les tuant dans le sol (par exemple avec des «nématicides»), soit en entravant leur développement dans les tissus végétaux (variétés résistantes, plantes pièges ou toxiques), soit en les empêchant de détecter la présence des racines (plantes non hôtes). Malheureusement, il semble que ces plantes particulières, comme les plantes non hôtes ou résistan tes, attirent nettement moins les juvéniles de Meloi-dogyne que les plantes sensibles. Ceux-ci survivent dans le sol sous diverses formes de résistance ou d’attente (par exemple en profondeur). Il subsiste donc une infestation résiduelle susceptible d’être mobilisée lorsqu’une culture sensible sera mise en place.

Users also downloaded

Showing related downloaded files

No results found.