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ProjectAppui à la Culture Maraîchère en Mauritanie - TCP/MAU/3503 2019
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No results found.Malgré une demande croissante, la productivité de la filière maraîchère reste faible en Mauritanie en raison de la faible maîtrise de la culture par les producteurs et de l’absence d’une stratégie nationale de développement. Par ailleurs, l’agriculture urbaine ou péri-urbaine autour de Nouakchott est très peu encadrée et pâtit des problèmes liés au morcellement des parcelles, à la rareté de l’eau et à la pression immobilière. Malgré son potentiel, cette activité ne contribue donc que faiblement à la sécurité alimentaire des populations qui en vivent. Le projet devait apporter un appui à la formulation d’une stratégie nationale et d’un plan d’action pour le développement du maraîchage en Mauritanie, et accompagner le Gouvernement dans l’installation de nouveaux périmètres irrigués autour de Nouakchott. -
ProjectAmélioration de la productivité des élevages bovins et petits ruminants par le renforcement des capacités des petits producteurs dans la production et la conservation du fourrage - TCP/CMR/3705 2023
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No results found.Bien qu’en constante évolution, l’élevage au Cameroun reste caractérisé par une faible productivité (élevage extensif, fondé sur la mobilité saisonnière des animaux) et n’est pas encore en mesure de soutenir les taux de croissance souhaités par les pouvoirs publics. La production des filières bovines et petits ruminants s’établit à 274 630 tonnes/an, face à un besoin de 434 630 tonnes/an. Le niveau de production laitière équivaut à une consommation moyenne de 7,81 kg/habitant/an, alors que la consommation moyenne mondiale se situe autour de 45 kg/habitant/an. Pour satisfaire la demande nationale, le Cameroun est contraint d’importer, avec des conséquences négatives sur sa balance commerciale. Dans l’optique de réduire les importations des denrées de première nécessité, le Gouvernement s’est engagé en faveur du secteur, encourageant la sédentarisation des éleveurs nomades. Dans le cadre du programme d’accélération de la croissance, la région de l’Adamaoua a été dotée d’un abattoir moderne de 250 têtes par jour, constituant pour cette zone un véritable atout pour l’embouche bovine. -
ProjectProjet d’appui au développement de l’horticulture urbaine et périurbaine dans la périphérie de N’Djaména - TCP/CHD/3705 2021
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No results found.Le projet a permis d’accroître les rendements des cultures à travers la fourniture de semences maraîchères de qualité et de matériel aratoire de base ainsi que l’organisation de formations à la fabrication du compost biologique Au total, ce sont 440 kg de semences maraîchères ( oignon, gombo, persil, céleri, laitue, chou, aubergine), 6 500 articles de petit matériel aratoire et équipements ainsi que du matériel de transformation qui ont été distribués En plus de cet appui, le projet a construit deux citernes d’irrigation et fourni quatre motopompes Les systèmes citernes hangar permettent de récupérer les eaux de pluie à l’aide d’une gouttière reliant la toiture au réservoir Le disponible hydrique est ainsi utilisé en irrigation d’appoint Compte tenu du fait que le projet a été en grande partie mis en oeuvre durant la crise sanitaire de la Covid 19 des dispositions spécifiques de protection (kits de lavage des mains) ont été prises durant les opérations sur le terrain et l’interaction avec les bénéficiaires en respect du principe «Ne pas nuire» Dans le cadre du renforcement des capacités, 100 producteurs du site d’ Amnaback ont bénéficié de formations sur la fabrication du compost naturel et la transformation et la conservation des produits horticoles Les bénéficiaires ont reçu également une formation sur la gestion des comptes d’exploitation agricole Ces différentes activités ont été réalisées en deux phases (théorie et pratique) sur le site du projet.
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