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Profil de la pêche continentale en Guinée













Dia, M. 2023. Profil de la pêche continentale en Guinée. Circulaire de la FAO sur les pêches et l'aquaculture, No. 1266. Rome, FAO.




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    Opérations conjointes pour lutter contre la pêche INN au lac Victoria 2014
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    Le lac Victoria, premier lac d’Afrique par sa taille, constitue sans doute à lui seul la source de poissons d’eau douce la plus importante du continent africain. Il contribue ainsi de façon significative aux économies nationales et régionales et aux moyens de subsistance de la population, estimée à trois millions, des trois pays bordant ses rives, à savoir le Kenya, la Tanzanie et l’Ouganda. La perche du Nil a été introduite dans le lac dans les années 1950 et sa biomasse s’est développée au poi nt de décimer la communauté de poissons endémiques du lac et d’en devenir l’espèce la plus importante ainsi que l’objet d’une pêche commerciale lucrative. Si l’Organisation des pêches du lac Victoria (OPLV) a été créée en 1994 pour assurer la gestion conjointe des ressources halieutiques du lac pour le compte des trois Etats partenaires, la pêche Illicite, non déclarée et non réglementée (INN) n’a jamais cessé d’affecter la perche du Nil. Si sa biomasse avait atteint le pic d’environ 2,3 million s de tonnes en 1999 et constituait 92% de la biomasse totale de poissons du lac, en 2008, elle ne s’élevait plus qu’à 300 000 tonnes. Pire, la longueur moyenne de la perche du Nil a chuté de 51,7 cm à 26,6 cm (longueur enregistrée en 2008), ce qui se situe bien en-dessous de la taille moyenne de 50 cm requise pour l’exportation.
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    Plan d’action pour la gestion des risques de catastrophes en Guinée-Bissau 2011 - 2013 2011
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    La Guinée-Bissau, un des pays les plus pauvres au monde, se classe au 164ème rang mondial sur 169 selon l’indice de développement humain calculé en 2010 par le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD). Plus de 65 pour cent de la population vit sous le seuil des 2 USD par jour. La pauvreté, prépondérante en zone rurale, est la principale cause de l’insécurité alimentaire. La production nette nationale ne suffit pas à couvrir les besoins alimentaires de la population dont les moyen s de subsistance sont en crise. Les faibles rendements des cultures vivrières, les risques phytosanitaires, la rareté des petits élevages familiaux, l’inexistence de la production piscicole, la faible demande des marchés ruraux pour les produits de la pêche artisanale et côtière ainsi que la rareté des petits jardins familiaux sont les principales causes du déficit énergétique et du déséquilibre nutritionnel, sources de la vulnérabilité alimentaire en Guinée-Bissau. Depuis 2008, l’Organisation d es Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) appuie le Gouvernement de Guinée-Bissau à travers l’Unité de coordination des opérations d’urgence et de la réhabilitation (ERCU) dans son effort visant à faire face à l’effondrement du cours de la noix de cajou et à la flambée des prix des denrées alimentaires. Pour répondre à ces problèmes, le Plan d’action de la Guinée-Bissau 2011-2013, dans une optique de réduction des risques de catastrophes, propose un programme composé d’une séri e de 12 projets dont les activités contribueront à la réduction du risque d’insécurité alimentaire. Parmi ces activités, on note la réhabilitation de digues anti-sel, l’introduction de variétés de semences améliorées résistantes à la sécheresse, la promotion de banques céréalières et la promotion d’un système d’alerte précoce. La mise en œuvre de ces activités sera effectuée en étroite collaboration avec les institutions nationales telles le Ministère de l’agriculture et du développement rural ( MADR) et le futur Service national de protection civile (SNPC), les organisations non gouvernementales nationales et internationales et les autres agences des Nations Unies dont notamment le Programme alimentaire mondial (PAM) et le PNUD. Les bailleurs de fonds actuels, l’Union européenne, l’Espagne, le Brésil, la Banque mondiale, la Banque africaine de développement (BAD) et le Fonds international de développement agricole (FIDA) sont des partenaires essentiels dans la mise en œuvre de ces proj ets.
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    Développement d’une aquaculture durable à petite échelle dans les lagons mauriciens 2014
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    Cette Smart FICHE a été rédigée suite au projet “Appui à un développement durable de l’aquaculture à travers la promotion de l'aquaculture en cages à petit échelle dans les lagons de l’île Maurice”. Ce projet a été conçu grâce à une étroite collaboration entre le Fishermen Investment Trust (FIT) et le Programme SmartFish, afin de favoriser la connaissance de l’aquaculture et d’en promouvoir le développement, à la fois chez les pêcheurs et chez les investisseurs intéressés par la diversification de leurs activités. Ce document est adressé aux institutions et aux membres du Gouvernement mauricien impliqués dans la planification et dans la gouvernance du secteur aquacole. Il a pour but d'accroître leur connaissance au sujet des activités menées jusqu’à présent dans le cadre du projet susmentionné et d’éveiller leur conscience sur les facteurs sous-tendant la mise en place de cette activité de façon durable.

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