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No Thumbnail AvailableProjectRentabilite d'une ferme piscicole commerciale en Republique Centrafricaine
Vulgarisation de la Pisciculture et Autofinancement des Stations Principales
1984Also available in:
No results found.La ralisation de fermes piscicoles d'envergure commerciale est techniquement possible et d'un point de vue social souhaitable pour atteindre l'auto-suffisance alimentaire de la population Centrafricaine. Trois techniques d'exploitation, actuellement utilises, ont t analyses au niveau de la rentabilit : 1o) La monoculture de TILAPIA NILOTICA, qui est la technique la plus applique l'heure actuelle et aussi la plus facile, comprend l'auto-approvisionnement en alevins ainsi qu'une alimentation trs simple. Les productions, bnfices annuels et la rentabilit restent toutefois assez faibles. 2o) La monoculture de CLARIAS LAZERA, comporte les rendements les plus levs par surface productive et par investissement. Malheureusement, l'aliment complet indispensable pour obtenir ces rendements cote trop cher. 3o) La polyculture du TILAPIA NILOTICA avec du CLARIAS LAZERA permet d'atteindre base d'une alimentation trs simple, de fortes productions. Les bnfices annuels et la rentabilit sont trs intressants par rapport des surfaces productives et des investissements relativement restreints en comparaison aux deux autres techniques. En fonction des objectifs viss, les trois techniques peuvent tre prises en considration. Les premires limites au dveloppement des fermes piscicoles commerciales en Rpublique Centrafricaines sont l'investissement et le fond de dmarrage qui s'lvent, selon la technique applique, de huit millions de francs C.F.A. afin d'obtenir une rentabilit annuelle d e + ou - 20 %. L'installation d'un crdit piscicole pourrait remdier ces besoins. -
No Thumbnail AvailableProjectRepublique Centraficaine - Vulgarisation de la pisciculture en Republique Centrafricaine en 1979. Rapport préparé pour le project vulgarisation de la pisciculture - phase II 1980
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No results found.Le Departement des eaux et forts de la Rpublique centrafricaine comprend un service de vulgarisation de la pisciculture. L'organisation, le fonctionnement et le soutien de ce service sont assurs sous la conduite du personnel FAO et grce divers fonds affects au projet. Au cours des quatre annes prcdentes, le personnel FAO avait mis en oeuvre un plan gnral d'oprations (Miller, 1978) qui a t poursuivi en 1979. En outre, le Service de vulgarisation s'est acquitt de trois fonctions supplmentaires, savoir (1) distribuer des outils du FISE aux pisciculteurs; (2) commencer acqurir des aliments pour poissons de haute qualit; (3) mettre en valeur des sites dtermins de pisctculture er constituant des groupes de pisciculteurs travaillant en coopration. -
No Thumbnail AvailableProjectCommercialisation et consommation des poissons produits dans les etangs familiaux en Republique Centrafricaine, 1983
Vulgarisation de la Pisciculture et Autofinancement des Stations Principales
1984Also available in:
No results found.Une enqute a t mene dans 9 rgions de la REPUBLIQUE CENTRAFRICAINE afin de dterminer : la destination de la production piscicole, les difficults ventuelles d'coulement du poisson frais, l'auto-approvisionnement en alevins. Dans ce but, les animateurs piscicoles ont assist aux vidanges des bassins et ont not le poids des poissons destins au rempoissonnement, la consommation familiale, la vente, ainsi que les prix et lieux de vente. Pour l'ensemble du pays, nous pouvons constater que : II,5 % de la production est utilise pour le rempoissonnement des bassins du pisciculteur, 25,6 % est consomm par la famille, 62,9 % est mis en vente. L'endroit de vente, le prix obtenu et le pourcentage de la production sortie de l'tang, indiquent que la vente du TILAPIA ne pose pas de problme tant donn que : pour seulement 4,7 % de la production totale, le pisciculteur est oblig de se rendre vers un autre march, les prix obtenus dpassent souvent ceux de la viande la vente a priori t sur la consommation familiale. L'auto-approvisionnement en alevins est ralis dans la moiti du pays. Pour les autres pisciculteurs, nous avons constat un manque d'alevins d'une moyenne de 20 % de leurs besoins. ( 3.3. et tableau XI). Dans 4 rgions recenses dont les rendements sont levs, la production piscicole dpasse largement les besoins de la famille en protines d'origine de poisson. Par contre, dans les 5 rgions bas rendements, la production piscicole ne couvre que la moiti de ces mmes besoins. ( 3.3. et tableau XI).
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