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DocumentDistribution et perspectives pour les produits maraîchères au Niger
Réseau Africain pour le Développement de l'Horticulture (RADHORT)
2012Also available in:
No results found.Le Niger, le pays le plus sahélien des pays du Sahel, doit faire face à un déficit alimentaire chronique qui devient de plus en plus aigu. L’accroissement rapide de la population (3,2 % par an) et les sécheresses des deux dernières décennies sont à l’origine de ce déficit. La production agricole stagne depuis plusieurs années. La situation est d’autant plus préoccupante que les productions sont principalement des productions céréalières pluviales (mil, sorgho) et que les ressources naturelles (s ol, eau, couvert végétal) sont menacées de dégradation. Une des mesures prises par le Gouvernement pour surmonter cette situation est l’intensification et la diversification des productions agricoles, en particulier par la production de cultures irriguées de contre-saison et plus particulièrement de cultures maraîchères (oignon, ail, chou, laitue, tomate et haricot vert). -
DocumentApprovisionnement de la ville de N’Djamena en légumes
Réseau Africain pour le Développement de l'Horticulture (RADHORT)
2012Also available in:
No results found.Mis en place en avril 1991 pour assurer le suivi des produits céréaliers, le Système d’Information sur les Marchés (SIM) du Tchad a étendu ses activités aux légumes à partir du même mois de l’année 1993, grâce aux expériences du Projet Pilote de Commercialisation des Fruits et Légumes (ACDI1/USAID2) qui a transféré, à la fin de son intervention, ses moyens humains, matériels et informatiques au SIM. Le projet ACDI, lors de son intervention au Tchad, a organisé les producteurs maraîchers en group ements et les a formé à différentes techniques de culture, de manutention et de cueillette. Le projet a également, après étude des besoins des consommateurs, commandé et distribué des variétés de semences de tomate (Marmande, Roma, et hybrides). Cet article traite de l’approvisionnement de la ville de N’Djaména en légumes, en étudiant le cas de la tomate fraîche. Les principales zones de production qui approvisionnent les marchés de la capitale en tomate fraîche sont dans leur ensemble situées d ans un rayon de 200 km par rapport à N’Djaména. Parmi ces zones, les plus importantes sont : Karal, Linia, Dourbali, Bougoumen, Koundoul et Chedra. La tomate consommée à N’Djaména est soit produite en saison des pluies et disponible au marché d’août à octobre, soit produite en hiver et disponible de décembre à mars. Lorsque la tomate produite localement se fait rare sur le marché, on voit apparaître celle provenant du Cameroun et quelquefois même celle du Nigéria. -
DocumentUtilisation des fumures organique et minerale sur cultures maraîchères en Cote d’IvoireUtilisation des fumures organique et minerale sur cultures maraîchères en Cote d’Ivoire
Réseau Africain pour le Développement de l'Horticulture (RADHORT)
2012Also available in:
No results found.La mise à la disposition des maraîchers ivoiriens des techniques culturales adaptées aux conditions locales est l’un des objectifs de la filière de l’IDESSA chargée des cultures maraîchères. Afin de mieux apprécier les techniques actuelles de fertilisation de ces cultures, une enquête a été effectuée par cette filière, en mai 1993, dans le domaine maraîcher ivoirien. Il en ressort, que l’engrais NPK (10-18-18), le fumier (constitué de déchets d’animaux: volaille et bovin) et l’urée sont les prin cipales fumures utilisées dans la fertilisation des cultures maraîchères. Sur le plan national, on a noté que 67 % des paysans emploieraient l’engrais NPK, 69 % l’urée et 44 % le fumier. Par contre, 16 % resteraient en marge de l’utilisation de la fertilisation. Par rapport aux méthodes d’application des engrais, on a noté que 65 % des paysans du Nord préféreraient employer l’engrais NPK comme fumure de fond, le fumier après la levée et l’urée au stade de la floraison. On a aussi noté une utilis ation plus généralisée des fumures, par les paysans des zones de savanes que par ceux des zones de forêts. Les légumes recensés, au cours de l’enquête, ont été classés en deux catégories: les légumes locaux et les légumes de type européen. Selon ces catégories, les méthodes de fertilisation différaient d’une région à l’autre. De la zone côtière (Abidjan et sa région) à la zone de savane (Korhogo et Ferkessédougou), en passant par celle des forêts, les légumes locaux feraient de moins en moins l’ objet de fertilisation. Les fumures seraient alors prioritairement destinées aux légumes de type européen.
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