QUESTIONS À SOUMETTRE À LA COMMISSION POUR EXAMEN Le
Comité: - est convenu davancer à létape
8 le Projet révisé de Directives pour la conception de mesures de
contrôle des aliments vendus sur la voie publique en Afrique, pour adoption
par la Commission, en recommandant lomission des étapes 6 et 7 (par.
27 et Annexe II);
- est convenu de présenter la candidature de Mme
Eve Kasirye-Alemu (Ouganda) au poste de Coordonnatrice pour lAfrique, pour
nomination par la Commission à sa 23ème session (par. 74);
-
est convenu de demander à la Commission:
- dapprouver lélaboration
dune norme pour les figues séchées (par. 77), et
-
de considérer les besoins en matière de communication des risques
des pays en développement comme lune des activités futures
du Comité (par. 78).
AUTRES QUESTIONS INTÉRESSANT LA
COMMISSION Le Comité: - a demandé au CCPR dexaminer
la question des résidus de pesticides dans le poisson en vue détablir
des LMRE (par.9);
- a souligné la nécessité dune
formation touchant les divers aspects de lapplication des Principes généraux
dhygiène alimentaire et du système HACCP (par.14);
-
a conclu que de bonnes pratiques de fabrication, de bonnes pratiques agricoles
ou de bonnes pratiques en matière dhygiène étaient
indispensables pour lapplication du système HACCP, mais sest
déclaré préoccupé des difficultés rencontrées
à cet égard par les petites et moyennes entreprises (par.17);
-
a proposé que tous les pays membres, y compris les pays en développement,
contribuent au processus danalyse des risques en procédant à
des évaluations de lexposition fondées sur les habitudes alimentaires
nationales et en assurant un suivi efficace des dangers pertinents (tels que les
contaminants) présents dans les aliments (par.20);
- a réaffirmé
le rôle de la science dans le processus décisionnel du Codex et approuvé
les recommandations de latelier sur lanalyse des risques et les normes
alimentaires (par.22);
- a identifié les principales difficultés
rencontrées par les pays africains dans le commerce des denrées
alimentaires (par.36);
- a reconnu limportance du rôle des
consommateurs dans les activités du Codex à léchelon
national, ainsi que le fait que leur participation était limitée
par le manque de ressources et des connaissances scientifiques insuffisantes (par.50);
-
a souligné et reconnu lutilité des ateliers FAO/Codex pour
la création et la gestion des structures nationales du Codex, indiquant
comme priorité la nécessité dune assistance suivie
pour le renforcement des structures nationales, afin den assurer lefficacité
à long terme (par.69).
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