Les tendances en matière de gestion des forêts à l'aube de l'ère postindustrielle
Communities and forest management in Canada and the United States. Par M. Poffenberger. 1990. Working Group on Community Involvement in Forestry Management, Berkeley, Californie, Etats-Unis.
Les réformes des politiques et la restructuration des économies dans les pays tant développés qu'en développement ont souvent conduit à une réduction des budgets déjà insuffisants des organismes forestiers d'Etat, ce qui les a empêchés de gérer les forêts nationales de manière durable. Cette situation a stimulé des innovations dans ce domaine car quelques organismes forestiers ont tissé de nouveaux partenariats avec des communautés locales et créé une nouvelle dynamique animée par des coalitions de citoyens et des processus régionaux intégrant diverses parties prenantes. Ce rapport, qui devrait être le premier d'une série régionale, examine les expériences de gestion des forêts du Canada et des Etats-Unis, deux pays étroitement liés de par leur histoire, leur économie et leurs systèmes écologiques et sociaux similaires. Les différences dans les structures et les processus décisionnels des gouvernements des deux pays permettent des comparaisons intéressantes. A eux deux, ces pays possèdent 17 pour cent des terres forestières de la planète, représentant les écotypes les plus divers et une diversité biologique considérable, et la plupart de leurs expériences sont transposables dans d'autres régions du monde.
Communities and forest management in Canada and the United States.
Après une introduction générale, la deuxième partie retrace l'utilisation des forêts à travers l'histoire dans ces deux pays, à partir de la période antérieure à l'arrivée des Européens, où les populations indigènes ont configuré l'écologie forestière, jusqu'aux périodes coloniales et industrielles. La troisième partie examine de façon succincte les caractéristiques biologiques des principaux types de forêts, l'évolution de leur utilisation et les problèmes de gestion au niveau de la région. La quatrième partie décrit l'évolution des systèmes d'administration des forêts adoptés par les gouvernements nationaux et provinciaux dans les deux pays. La cinquième partie comprend 12 études de cas illustrant à la fois des initiatives locales et des dialogues sur les politiques nationales. Tous les cas reflètent les principaux contextes de la participation des communautés aux décisions concernant la gestion des forêts, depuis les populations indigènes jusqu'à la société civile plus large. Enfin, la sixième partie examine les toutes nouvelles tendances encourageant une plus grande collaboration des communautés à la gestion des terres publiques.
Ce rapport s'adresse à un public varié; il peut notamment intéresser les décideurs internationaux, les planificateurs nationaux s'occupant de formuler les stratégies de gestion des forêts, les techniciens des forêts et les spécialistes du développement.
Atelier panafricain sur les produits forestiers non ligneux.
Non-timber forest products; value, use and management issues in Africa, including examples from Latin America. Par S.A. Crafter, J. Awimbo et A.J. Broekhoven. 1997. IUCN Forest Conservation Programme. ISBN: 2-8317-0317-4.
Malgré les avantages tant directs (commerce et subsistance) qu'indirects (processus écologiques, diversité biologique, patrimoine culturel/rituel) que peuvent procurer les produits forestiers non ligneux (PFNL), l'importance de leur utilisation et de leur gestion a été sous-estimée dans les stratégies et programmes de gestion et de conservation des forets. L'Alliance mondiale pour la nature (UICN) a organisé un atelier panafricain au Kenya en mai 1994 pour que les individus et les institutions disposent d'une tribune pour échanger des informations et des expériences et analyser le rôle potentiel des PFNL dans les stratégies de gestion et de conservation des forêts. Les 43 participants venus de 14 pays d'Afrique et de quatre pays d'Amérique latine comprenaient des représentants d'institutions de recherche, de départements des forêts, de projets de terrain, d'ONG et d'organisations internationales.
Cette publication regroupe les travaux de l'atelier, composés de trois parties:
· Un résumé des débats, centrés sur l'identification des principaux problèmes liés aux PFNL et des activités de suivi pouvant être mises en uvre par les participants et par d'autres. Les principaux thèmes des débats ont été les suivants: valeurs, évaluation et impact des PFNL; approches pour l'utilisation durable et la conservation des PFNL; problèmes politiques, juridiques et institutionnels; et possibilités de suivi.· Un choix de documents sur des thèmes spécifiques présentés et examinés au cours de l'atelier. Onze études de cas sur des pays africains et quatre sur des pays d'Amérique latine décrivent le rôle des produits non ligneux dans certaines zones spécifiques, ainsi que les conditions plus générales d'utilisation de ces produits dans les régions couvertes par les études.
· Des rapports de synthèse nationaux sur 15 pays, couvrant des questions cruciales relatives aux PFNL. Chaque rapport fournit pour chaque pays une description succincte du couvert forestier et du taux de déforestation, des institutions de gestion, des politiques et de la législation; des principaux produits forestiers non ligneux; et des projets spéciaux. Des cartes nationales indiquent les forets denses tropicales humides et les réserves de conservation ou de protection. Une bibliographie figure à la fin de chaque rapport.
Le BIT publie un nouveau code d'usages sur la sécurité et l'hygiène du travail dans le secteur forestier
Safety and health in forest work. 1998. Organisation internationale du travail, Genève.
Les travaux forestiers sont encore ceux qui comportent le plus de risques dans la majorité des pays malgré les efforts déployés par de nombreux gouvernements, sociétés et individus pour rendre la profession plus sûre. Les maladies professionnelles sont aussi particulièrement fréquentes dans ce secteur. C'est dans les pays tropicaux que la situation est la plus grave, mais il reste aussi beaucoup à faire dans les pays des zones tempérées. Fait encourageant, de plus en plus de gouvernements et de sociétés refusent de considérer les morts accidentelles, les accidents et les départs anticipés à la retraite comme des réalités inéluctables. La nouvelle publication du BIT Safety and health in forest work s'inspire des expériences internationales les plus récentes pour donner des conseils dans le domaine de la conception et de la mise en uvre de la gestion de la sécurité et de l'hygiène, aux niveaux des pays, des entreprises et du lieu de travail.
Le code couvre tous les types de professions forestières, notamment les groupes dans lesquels la fréquence des accidents est supérieure à la moyenne tels que les entrepreneurs, les propriétaires exploitants et les agriculteurs forestiers. Le code ne traite pas les mesures techniques et les pratiques d'exécution sûres, mais il souligne que la sécurité, dans le pays, commence au sommet, en particulier dans l'entreprise mais aussi sur le lieu de travail. Il décrit un système de gestion de la sécurité dans lequel les questions de sécurité sont intégrées dans la gestion globale de l'entreprise. Des directives pour des entreprises individuelles sont présentées dans l'ordre suivant: organisation du travail, personnel et équipement, et exécution des tâches.
Le code stipule que la formation et la délivrance obligatoire d'un certificat d'aptitude professionnelle sont des conditions clés de la sécurité dans le secteur forestier. Il énonce les prescriptions générales pour la main d'uvre, en termes de conditions d'emploi et de qualifications professionnelles, de conditions d'hébergement et de nutrition. Il résume les normes requises pour les outils, les machines et les produits chimiques dangereux, ainsi que pour la tenue vestimentaire et l'équipement de protection du personnel, y compris pour l'essai et la certification de l'équipement. Il donne des orientations techniques détaillées sur l'exploitation forestière et sur certaines opérations qui comportent un risque particulièrement élevé - grimper aux arbres, récolter des chablis et lutter contre les feux de forêt - principalement à l'intention des pays et des sociétés dans lesquels il n'existe pas de réglementations spécifiques pour les forêts.
Le Code est disponible en anglais, espagnol et français et une brochure d'informations accessoires et un programme de formation sont également prévus.
La diversité biologique et culturelle dans l'une des plus vastes régions forestières du monde
The Congo Basin: human and natural resources. C. Besselink et P. Sips, éds. 1988. UICN, Amsterdam. 214 p. ISBN: 90-75909-047
Le bassin du Congo couvre une très vaste région de l'Afrique centrale, caractérisée par un couvert forestier plus ou moins continu et une grande diversité biologique. Outre les énormes problèmes que pose l'instabilité politique actuelle pour les populations et pour la nature, certains facteurs comme l'exploitation du bois d'uvre, les feux de forêt, les plantations, la chasse, la croissance démographique et l'exploitation minière contribuent fortement à la déforestation et à l'appauvrissement de la diversité biologique dans la région. De plus, l'environnement dans lequel vivent les communautés forestières est gravement perturbé.
A travers une série d'articles de plusieurs auteurs connaissant bien la région, ce livre décrit la diversité biologique et culturelle de la région, ainsi que les dangers qui la menacent. Des initiatives locales, nationales et internationales axées sur la protection, l'utilisation durable et l'aménagement du bassin du Congo sont également analysées.
The Congo Basin: human and natural resources
Les articles, certains écrits par des auteurs de la région, sont imprimés en anglais ou en français, avec un résumé dans les deux langues. Seuls, l'introduction de Assitou Ndinga (coordonnateur régional pour l'UICN) et un article sur le processus de Brazzaville figurent dans les deux langues. Les articles sont regroupés sous plusieurs thèmes:
· Biogéographie:
Biological diversity of the Congo Basin; The fora of the Congo Basin; A brief overview of the herpetofauna of the Congo Basin; The Kakamega forest: the easternmost representative of Central African rainforest biome;
· Peoples of the Congo Basin: Forest peoples of the Congo Basin: past exploitation, present threats and future prospects; Forest peoples in the Central African rainforest: focus on the Pygmies; Initiatives to assist the Pygmies in Cameroon: A local NGO's point of view;
· Menaces: Perception de la forêt et conflits au Sud-Cameroun; Urban threats to Biodiversity in the Congo Basin; The situation of tropical moist forests and forest management in Central Africa and markets for African timber; About tropical hardwood, hunters and gorillas. Conservation of forest fauna in South Cameroun; The forest series; Projet pipeline Tchad-Cameroun: une menace pour les écosystèmes et la biodiversité dans la forêt dense équatoriale; Out of Africa: mining in the Congo Basin; Impact de la crise économique et de la dévaluation du franc CFA sur la conservation des ressources forestières du bassin du Congo: cas du Cameroun;.
· Initiatives: Regional collaboration for conservation and sustainable use of the forest resources of the central African region; NGO's in Central Africa, some characteristics from an European perspective; Community Forestry: a new experience in the Congo Basin; Gestion durable et participative des ressources forestières de la République démocratique du Congo; The role of the European Community in the rainforest of Central Africa; Gabon: conservation during the crisis.
La propriété collective comme système de gouvernance
Managing forests as common property. Par J.E.M. Arnold. 1998. Etude FAO: Forêts n° 136. Rome.
A travers l'histoire, dans de nombreuses régions du monde, une part importante des ressources forestières ont été gérées comme des biens collectifs et, dans une certaine mesure, contrôlées par les communautés locales qui les utilisaient pour prévenir leur surexploitation. Aujourd'hui, les ressources, comme les systèmes de propriété collective, sont, un peu partout dans le monde, de plus en plus menacées par la croissance démographique et par l'évolution des environnements politiques et économiques.
Dans certains cas, les systèmes de propriété collective ont été interdits par la loi; dans d'autres, les mécanismes de gestion locaux se sont affaiblis ou ont progressivement disparu, à mesure que les communautés évoluaient et se transformaient. Toutefois, la gestion communautaire est restée une stratégie importante pour la conservation et l'utilisation durable d'une bonne partie des forêts du monde. Les modes d'utilisation des sols, qui prévoient des périodes de jachère forestière ou arbustive ou nécessitent l'accès à des ressources forestières situées en dehors des exploitations, restent cruciaux pour le fonctionnement de bon nombre de systèmes économiques ruraux. Le contrôle local est aussi tout à fait conforme aux tendances actuelles qui visent à réduire l'intervention et les budgets des gouvernements, en décentralisant et en déléguant des responsabilités et des activités, mais aussi en augmentant la participation des intéressés locaux.
Il est désormais indispensable de bien comprendre les possibilités et les contraintes des systèmes de gestion des ressources collectives afin de permettre aux intéressés locaux et extérieurs d'obtenir des biens et services sans mettre en péril les objectifs à long terme, en termes de ressources et de développement.
Cette étude rassemble les informations disponibles sur le rôle de la propriété collective comme système de gouvernance, et sur ses applications actuelles dans les domaines de la gestion et de l'utilisation des forêts. Un tour d'horizon des différents systèmes de propriété collective indigènes qui ont disparu ou survécu, et des résultats de certains programmes de gestion collective contemporains dans différents pays, révèle les principaux facteurs de succès ou d'échec. L'étude explore divers facteurs d'ordre général: politiques, pression démographique et environnement économique propice, facteurs d'organisation locale et motivation à gérer en tenant compte des ressources disponibles, et facteurs institutionnels au niveau des gouvernements et des donateurs. Le dernier chapitre résume les conséquences pour les politiques, la recherche et les pratiques forestières.
Mieux connaître et relater les pratiques actuelles de commercialisation des plantes médicinales indigènes pour jeter les bases du développement de cette activité
Marketing of indigenous medicinal plants in South Africa: a case study in KwaZulu-Natal. 1988. FAO, Rome. 162 p.
Actuellement, la demande de nombreuses espèces végétales appréciées par les indigènes pour leurs propriétés médicinales est supérieure à l'offre. Aujourd'hui, plusieurs espèces de ce type, dont le gingembre sauvage et le poivrier, ont disparu à l'extérieur des zones protégées de KwaZulu-Natal. Le déclin de l'offre de plantes médicinales indigènes devrait entraîner de lourdes pertes économiques et sociales, compte tenu du nombre élevé de consommateurs en Afrique du Sud (27 millions) et de l'importance des industries de transformation associées. Mais il y aura aussi d'autres pertes, dues à la non-réalisation des possibilités de création de revenu associées à la croissance de la demande locale et internationale. En outre, avec plus de 700 espèces végétales actuellement commercialisées en Afrique du Sud, l'exploitation intensive des stocks sauvages constitue une grave menace pour la diversité biologique dans la région.
Le peu de réaction aux recommandations de cultiver des plantes médicinales et aux augmentations des prix du marché a montré que les aspects économiques de la production des végétaux indigènes et les marchés associés sont mal compris. Ce manque d'information a empêché des individus, des organisations et des organismes gouvernementaux d'évaluer les possibilités de cultiver des plantes médicinales indigènes à des fins commerciales. Un projet de recherche a été lancé pour déterminer s'il était rationnel sur le plan économique de cultiver des plantes médicinales de haute valeur pour les écouler sur les marchés locaux, en centrant l'attention sur le potentiel de culture, les coûts de production et la commercialisation. Le présent rapport couvre la composante de commercialisation du projet de recherche et décrit la demande, l'offre, les pratiques de commercialisation actuelles, les possibilités et les contraintes sur le marché des plantes médicinales, et formule des recommandations à l'intention d'une vaste gamme de décideurs.
L'étude de cas est centrée sur la province de KwaZulu Natal, une zone active sur le plan de l'agriculture, du commerce et de la consommation; et plus spécifiquement sur Durban (une ville de 4 millions d'habitants), qui est le pôle régional pour le commerce des végétaux. Le rapport se réfère aussi parfois à d'autres provinces de l'Afrique du Sud où le commerce des plantes médicinales indigènes est actif. Il examine l'offre et la demande potentielles, analyse les principaux facteurs ayant une influence sur la commercialisation ainsi que l'appui aux institutions et aux infrastructures de commercialisation, et se conclut par une série de recommandations.
Tout sur les perspectives futures des forêts dans la Région Asie et Pacifique
Asia-Pacific Forestry Towards 2010: Report of the Asia-Pacific Forestry Sector Outlook Study. 1988, FAO. Rome. 242 p.
Ce rapport présente les résultats de l'Etude des perspectives du secteur forestier dans la région Asie et Pacifique, qui décrit l'état, les tendances et les perspectives pour le secteur jusqu'à l'an 2010, et analyse le secteur forestier dans le contexte de l'environnement macroéconomique et social plus général, en accordant l'attention voulue aux relations avec d'autres secteurs étroitement associés à celui des forêts tels que l'agriculture et l'énergie, et à certains paramètres, comme les produits de substitution et l'évolution des prix.
L'étude donne une vue d'ensemble du secteur forestier, notamment de la dynamique de l'offre et de la demande de toute la gamme de produits et de services (ligneux et non ligneux) procurés par les forêts de la région, dans le cadre de contextes sociaux, écologiques et économiques plus larges. L'étude a identifié huit grands facteurs qui devraient avoir une influence déterminante sur l'avenir de la foresterie dans la région:
· La demande de la vaste gamme de biens et de services actuellement fournis par les forêts continuera à augmenter.· Les contraintes de type physique ou réglementaire limitant l'utilisation des ressources forestières se multiplieront.
· Les pressions en faveur de la gestion durable (et d'autres politiques «écologiques») iront en s'intensifiant.
· Une attention accrue sera accordée aux fonctions multiples des forêts et aux efforts de gestion des écosystèmes forestiers.
· Le commerce des produits forestiers continuera de tenir une place importante dans ce secteur.
· Les effets de la globalisation et la régionalisation seront de plus en plus fortement ressentis dans le secteur forestier.
· Les pressions en faveur de l'équité sociale iront en s'intensifiant.
· De nouvelles fonctions et possibilités apparaîtront pour tous ceux qui interviennent dans le secteur forestier.
L'un des thèmes centraux de l'étude est que le futur sera déterminé par les solutions que l'on trouvera pour résoudre les tensions et les conflits entre les dimensions économiques, sociales et environnementales des forêts. En termes généraux, cependant, les principaux moteurs du changement dans la Région Asie et Pacifique seront d'ordre socioéconomique: sous l'effet de la croissance de la population et de l'augmentation de la prospérité, la demande de produits ligneux industriels et de bois de feu augmentera, et des pressions de plus en fortes seront exercées pour que les terres forestières soient converties en terres agricoles ou en terrains à bâtir. A l'inverse, grâce à l'accroissement de la prospérité, les fonctions moins matérielles de la forêt seront mieux reconnues et appréciées à leur juste valeur (fonctions de protection, valeurs culturelles et esthétiques). Les coûts implicites des utilisations matérielles des forêts (par exemple pour la production d'énergie et de bois d'oeuvre industriel) devraient également être davantage pris en considération.
Asia-Pacific Forestry Towards 2010: Report of the Asia-Pacific Forestry Sector Outlook Study
La plupart des causes directes de la déforestation sont dictées dans une large mesure par des politiques extérieures au secteur. Les responsables du secteur peuvent cependant se montrer plus actifs pour faire appliquer les lois, promouvoir des mesures correctives par le boisement et le reboisement, encourager une gestion responsable, et démontrer l'importance relative des forêts par rapport à d'autres modes d'utilisation des terres. Les options politiques qui ont le plus de chances de limiter la déforestation sont liées à l'augmentation de la productivité agricole, à la création d'emplois et d'autres activités génératrices de revenu, et à l'élévation de la prospérité en général, de façon à réduire la dépendance directe à l'égard des ressources naturelles.
Cette publication devrait alimenter le débat sur ces questions dans la Région Asie et Pacifique, mais aussi dans d'autres régions.