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ANNEXEES


Annexe 1: Liste des participants
Annexe 2: Ordre du jour
Annexe 3: Nombre de crevettiers opérant par pays
Annexe 4: Résumé des informations disponibles pour le Ghana
Annexe 5: Résumé des informations disponibles pour le Togo
Annexe 6: Résumé des informations disponibles pour le Bénin
Annexe 7: Résumé des informations disponibles pour le Nigéria
Annexe 8: Résumé des informations disponibles pour le Cameroun
Annexe 9: Résumé des informations disponibles pour le Gabon
Annexe 10: Carte de répartition géographique des sédiments et des crevettes en Côte d’Ivoire (Lutites: particules £ 50 m) (d’après S. Garcia, 1977)
Annexe 11: Carte des fonds du plateau continental du Ghana (d’après P. Williams, 1968)
Annexe 12: Carte des fonds du plateau continental du Togo - Bénin (d’après F. Williams, 1968)
Annexe 13: Zones de pêche de Penaeus duorarum au Nigeria (d’après A. Crosnier et E. de Bondy, 1967)
Annexe 14: Carte des fonds du plateau, continental camerounais (d’après A. Crosnier, 1964)
Annexe 15: Répartition des fonds durs et des fonds meubles sur le plateau continental gabonais (d’après M. Rossignol, J. Blache et R. Repelin, 1962)
Annexe 16: Prises de poisson (tonnes) par les crevettiers ivoiriens en Côte d’Ivoire

Annexe 1: Liste des participants

S. Garcia

CRODT B.P. 2241, Dakar, Sénégal

J. Marcille

CRO, B.P. V 18, Abidjan, Côte-d’Ivoire

M. Ansa-Emmim

Projet COPACE, PNUD, B.P. 154, Dakar, Sénégal

P. Lhomme

CRODT, B.P. 2241, Dakar, Sénégal

A. Caveriviere

CRO, B.P. V 18, Abidjan, Côte-d’Ivoire

Annexe 2: Ordre du jour

Lundi 6 février

Données disponibles
Les pêcheries
Stocks de P. duorarum dans la région



Mardi 7 février

Biologie



Mercredi 8 février

Prises, efforts et pue
Potentiels des stocks



Jeudi 9 février

Potentiels des stocks
Etat d’exploitation
Evaluation spéciale des stocks de crevettes du secteur
Bénin - Nigéria - Cameroun



Vendredi 10 février

Mesures d’aménagement
Priorités en matière de recherche
Adoption du rapport

Annexe 3: Nombre de crevettiers opérant par pays

Année

Côte d’Ivoire1

Ghana2

Bénin3

Cameroun4

Gabon5

Nigéria6

1966

-

0

0

1

0

-

1967

-

0

0

1

0

-

1968

-

0

0

2

0

-

1969

1 - 10

1

0

2 - 8

1

-

1970

10 - 23

1 - 6

0

10

0

8 - 23

1971

14 - 18

2 - 5

-

10

0

18 - 23

1972

12 - 14

2 - 5

-

10

0

21 - 25

1973

7 - 10

-

23

13

0

19 - 27

1974

3 - 10

-

-

17

0

23 - 32

1975

6 - 10

-

-

10

0

-

1976

6

2

-


0

-

1977

6

2

-


-

-


1 Garcia, 1976.
2 Les bateaux ivoiriens peuvent pêcher au Ghana.
3 Rapport (anonyme)
4 1974 à 1976 (Everett, 1977; Talarczak, 1977).
5 Fontana et Bâ, 1972.
6 Bayagbona, 1976.

Annexe 4: Résumé des informations disponibles pour le Ghana

Pêche industrielle en mer

La pêche crevettière au Ghana existe certainement depuis fort longtemps. Jusqu’en 1968, l’exploitation ne s’effectuait que de manière sporadique avec les incursions de navires industriels venant d’autres pays mais ne débarquant pas leurs prises au Ghana. C’est ainsi que quelques navires en provenance de Côte d’Ivoire pêchaient parfois dans le secteur d’Axim, du cap des Trois Pointes et de Keta, et que d’autres basés au Bénin travaillaient dans le secteur de Keta et du cap St. Paul.

En 1969-70, la Continental Seafood armait cinq chalutiers qui opérèrent jusqu’en 1972. Les rendements devenant trop faibles, cet armement cessait alors son activité. En 1971, Mankoadse Fisheries Ltd., armait deux navires crevettiers mais les rendements furent si faibles que les bateaux furent transférés au Nigéria. En 1972, Ameyi Fisheries Ltd., arma pour le Ghana des crevettiers modernes qui, eux aussi, du fait des faibles rendements, furent convertis au chalutage du poisson. En 1976, Alpha Fisheries Ltd., arma des chalutiers pour la pêche crevettière; ils ne péchèrent la crevette que quelques mois. Faute de rendements suffisants, ils durent se reconvertir à la pêche du poisson.

Pêche artisanale en lagune

Il faut noter qu’en 1967 et 1968, la pêche crevettière artisanale était active dans la lagune de Keta, ouverte sur la mer par un canal qui avait été alors creusé. En 1969, ce canal fut fermé; la pêche put encore se poursuivre quelque temps dans la lagune puis cessa complètement. Depuis cette date il ne subsiste une activité que dans certains estuaires, mais les prises sont minimes.

La pêche de la crevette se fait principalement en lagune à l’aide de filets fixes, de barrages de bambou et de petits chaluts à main. Les prises peuvent également s’effectuer au moyen de sennes de plage sur le littoral à proximité des lagunes et des rivières. Le gros des prises, essentiellement composé de Parapenaeopsis atlantica, est capturé par la pêche artisanale piroguière et par les chalutiers en mer de façon accidentelle.

Il est intéressant de noter que les très faibles rendements de Penaeus duorarum obtenus dans la zone de Keta par les chalutiers semblent étroitement liés à la fermeture de la passe qui ouvrait précédemment cette lagune à la mer. Les prises par unité d’effort des crevettiers ivoiriens en 1970 au Ghana étaient encore en moyenne de 10,7 kg/h de chalutage. Elles sont tombées à 6,5 kg/h en 1971, les abandons successifs des essais de pêche industrielle au Ghana doivent être attribués à la chute des rendements consécutifs à la fermeture de la pasee. Une autre conséquence aura été l’augmentation observée de 1969 à 1971 de la taille moyenne des crevettes Penaeus duorarum dans la lagune, la longueur céphalothoracique moyenne des femelles passant de 18 mm à 30 mm avant la disparition de la population et de la pêcherie. Cet accroissement de la taille moyenne peut être attribué sans doute au vieillissement de la population piégée dans la lagune par la fermeture du canal (Figure 10).

Si le potentiel de P. atlantica au Ghana semble important, il apparaît que celui de P. duorarum demeurera faible tant que les lagunes resteront fermées.

Tableau 4.1

PUE DES CREVETTIERS IVOIRIENS AU GHANA (en kg/h étêtées)


1970

1971

Janvier



Février


4,9

Mars

13,0

4,1

Avril

12,3

3,7

Mai

9,6

7,1

Juin

14,9

4,3

Juillet

15,9

9,9

Août

11,4

9,0

Septembre

9,6

5,2

Octobre

7,4

9,9

Novembre

7,7

6,7

Décembre

5,5


Tableau 4.2

PRISES (CREVETTES ENTIERES (tonnes)) EU GHANA (1967/1976)


1967

1968

1969

1970

1971

1972

1973

1974

1975

1976

P. duorarum

0

0

40

190

0

20

83

91

10

11

Mélange1

240

248

569

278

469

575

401

700

412

726

TOTAL

240

248

609

468

469

595

484

791

422

737


1 Constitué essentiellement de P. atlantica

Annexe 5: Résumé des informations disponibles pour le Togo

Pêche industrielle en mer

La côte du Togo est très limitée en longueur (40 milles) et en largeur (15 à 20 milles). Le faible développement des fonds doit se répercuter directement sur la taille des ressources. A notre connaissance, aucune pêche spécialisée n’a lieu actuellement à partir de ce pays.

Pêche artisanale en lagune

Il existe au Togo, en estuaire, une pêche artisanale se faisant à partir de pirogues. Les passes reliant les estuaires à la mer se ferment en saison sèche, piégeant ainsi les crevettes et créant alors une situation favorable pour la pêche artisanale. A la saison des pluies, les passes se rouvrent, ce qui permet au cycle biologique des crevettes de se poursuivre. Aucune estimation des prises artisanales n’a pu être faite.

Annexe 6: Résumé des informations disponibles pour le Bénin

Pêche industrielle en mer

On ne sait que peu de choses sur la pêche en mer. Jusqu’en 1967 celle-ci était en tout cas inexistante, les chalutiers de Cotonou ne recherchant que le poisson et ne chalutant pratiquement pas sur les fonds à P. duorarum.

Il existe au Bénin, entre les fonds de 15 et 35 m, une large bande de sable grossier encadrée par de la vase sableuse ou des roches du côté de la côte et des fonds plus ou moins vaseux au large. La bande de sable grossier est pratiquement azoïque et la plupart des chalutiers pèchent sur les fonds sablo-vaseux qui s’étendent tout près de la côte négligeant les fonds vaseux situés vers 50 m de profondeur, fonds sur lesquels les P. duorarum sont plus particulièrement cantonnées comme l’a montré la campagne de prospection de l’Ombongo, navire du Centre ORSTOM de Pointe Noire (Crosnier, De Bondy, 1967). Les rendements obtenus par l’Ombongo sur ces fonds avec un chalut à poisson de 20 m de corde de dos pouvaient atteindre 20 kg/h, ce qui laissait supposer des possibilités de pêche intéressantes, au moins à certaines saisons. La superficie totale de ces fonds (environ 160 milles2)indiquerait que les prises totales industrielles au Dahomey ne pourraient dépasser 300 à 400 tonnes.

En 1973, sur 32 navires pratiquant la pêche à partir de Cotonou, il y avait environ 23 crevettiers. Les débarquements effectués à Cotonou ont atteint 440 tonnes en 1973 et 502 tonnes en 1974, puis ont diminué fortement entre 1975 et 1976. La majeure partie de ces prises provient certainement des fonds de pêche situés devant le Nigéria. De novembre 1970 à décembre 1971, quelques crevettiers ivoiriens sont allés pêcher au Bénin. Les rendements obtenus sont résumés dans le tableau ci-dessous:

Tableau 6.1

RENDEMENTS (en kg/h étêtées) OBTENUS AU BENIN PAR LES CREVETTIERS IVOIRIENS


1970

1971

Janvier

-

5,0

Février

-

5,7

Mars

-

5,1

Avril

-

-

Mai

-

-

Juin

-

-

Juillet

-

-

Août

-

-

Septembre

-

-

Octobre

-

10,5

Novembre

7,1

9,0

Décembre

6,7

3,1


Pêche artisanale en lagune

Les captures du P. duorarum représentent la quasi-totalité (plus de 97 pour cent) des tonnages de crevettes pêchées et sont presque toutes effectuées en lagune ou en lac (Crosnier, De Bondy, 1967). La pêche se pratique dans les lacs Nokoué, Ahémé et plus accessoirement dans les lagunes de Porto Novo, Ouidah et Grand Popo. La pêche se fait au moyen de petits chaluts traînés par deux hommes ou avec des filets fixes. Outre les filets, les nasses sont aussi très utilisées. La saison de pêche s’étend habituellement de janvier à juillet, lorsque les eaux sont saumâtres, mais elle peut se prolonger jusqu’en septembre. Elle est pratiquement arrêtée en octobre, novembre et décembre, mois durant lesquels la salinité des eaux est habituellement très basse. La production du lac Ahémé a été en 1966 de 120 tonnes, celle du lac Nokoué de 150 tonnes. En 1967 les prises du lac Nokoué ont pu atteindre 200 tonnes.

Annexe 7: Résumé des informations disponibles pour le Nigéria

Pêche industrielle en mer

En 1963, le “Guinean Trawling Survey” enregistre devant le delta du Niger les meilleurs rendements en crevette rose de tout le golfe de Guinée, cela avec un chalut à poisson (Williams, 1968). En 1964, un chalutier espagnol péchait à titre expérimental la crevette sur le plateau continental du Nigeria avec un filet du type employé dans le golfe du Mexique. L’année suivante, deux bateaux venus du golfe du Mexique opéraient a partir de Lagos et confirmaient la présence de concentrations intéressantes de crevettes sur le plateau continental nigérian.

Les campagnes du navire de recherches “KIARA”, appartenant au Federal Department of Fisheries, ainsi que les campagnes de prospection des chercheurs nigérians embarqués sur des bateaux commerciaux ont mis en évidence l’existence de quantités de crevettes d’intérêt commercial, en particulier P. duorarum, P. atlantica, P. longirostris (Bayagbona, 1971). P. duorarum est l’espèce la plus importante. Beaucoup de chalutiers côtiers ont été transformés pour la pêche crevettière. Selon Bayagbona (1976), la pêcherie crevettière du Nigeria a réellement débuté en 1970 avec l’arrivée de crevettiers spécialisés. En 1974f les bateaux suivants ont obtenu une licence pour la pêche à la crevette:

2 bateaux

(50 - 100 t j.b.)

30 bateaux

(100 - 150 t j.b.)

6 bateaux

(150 - 200 t j.b.)


Les captures réalisées sont les suivantes:

Année

Prises (tonnes)

Nombre moyen de bateaux

Poisson

Crevette1

1970

943,2

911,8

16

1971

1972,2

1 345,0

21

1972

1 555,2

1 245,1

23

1973

2 088,2

1 358,8

23

1974

2 576,7

2 021,5

29

1975 (1)

-

2 139

-

1976 (2)

-

2 213

-


1 Principalement P. duorarum (entière).

(1) et (2) peuvent contenir des prises de crevettes par des chalutiers non crevettiers.

Source: Rapport de la 3ème session du Groupe de travail COPACE sur l’évaluation des ressources (COPACE, 1976 (b) sauf (1) et (2): FAO Yearbook.


La chalutiers côtiers débarquent également des crevettes capturées comme priée accessoire. En 1974 ces bateaux, au nombre de 33, ont péché 75,6 tonnes de crevettes.

Le tableau ci-dessous donne les prises par unité d’effort de la flotte ivoirienne sur le plateau continental du Nigeria (en kg/h, étêtées, crevettier normalisé de 250 CV).


1971

1973

Janvier

8,9

-

Février

9,6

-

Mars

7,3

-

Avril

11,5

-

Mai

20,4

13,6

Juin

13,8

16,1

Juillet

12,8

16,5

Août

11,5

9,0

Septembre

12,9

11,4

Octobre

7,8

8,9

Novembre

9,8

5,7

Décembre

8,7

13,8


Pêche artisanale en lagune

Il existe une importante pêcherie artisanale de crevettes en lagune. Les prises ne sont pas connues avec certitude, mais Obakin (1969) les estime à 250 tonnes pour la lagune de Lagos. Selon Bayagbona (1970), la saison de pêche s’étend d’avril à juillet.

Annexe 8: Résumé des informations disponibles pour le Cameroun

Pêche industrielle en mer

En 1966, un rapport anonyme signale la présence d’un chalutier expérimental de 300 CV avec lequel l’armement Cotonnec a réalisé une prise de 25 tonnes (rendement moyen 120 kg/trait de 2,5 h le jour ou 4 h la nuit). Ce bateau a débarqué 18 tonnes pendant le premier semestre 1967. Les fonds vaseux favorables se trouvent tous dans la partie nord du plateau continental où le réseau d’estuaires est bien développé. Les meilleures pêches y sont réalisées entre 20 et 40 m, de mai à août.

En 1968, les prises sont de l’ordre de 100 tonnes par 2 crevettiers. La pêche industrielle a réellement débuté en 1969. Huit des 33 chalutiers basés à Douala sont des crevettiers glaciers. En 1971, on dénombre 13 crevettiers de 24 m dont 10 armés par la CRECAM et 3 par la SIPEC (Talarczak, 1977).

La pêche crevettière camerounaise a beaucoup souffert en 1972 de la fermeture des eaux du Nigéria. En effet la saison de pêche au Cameroun ne dure que quatre mois et les crevettiers travaillaient au Nigéria le reste de l’année (Pease et Foison, 1974). Un accord a été signé depuis entre les deux pays, mais le Nigeria a imposé au Cameroun une limitation du nombre de bateaux. En 1974, 9 des 17 crevettiers en activité sont des congélateurs.

Everett (1977) signale que 20 pour cent des prises sont constituées de P. atlantica et de P. longirostris.

En 1977, la CRECAM reste le seul armement crevettier. Sa flotte se compose de 17 crevettiers à double gréément de type “Gulf”, de 23-25 m et 185-190 tjb. Chaque bateau effectue en moyenne 300 jours de pêche par an. Les crevettes sont étêtées en mer et conservées en glace. Soixante-sept pour cent de la production est exportée sur le Japon, 20 à 25 pour cent sur les E.-U., le reste sur l’Europe.

Pêche artisanale en lagune

Aucune information n’est disponible sur cette pêche.

Tableau 8.1

CAMEROUN: STATISTIQUES DISPONIBLES SUR LA PECHE CREVETTIERE EN MER


PUE

Année

Prise
(tonnes, c. entières)

Flottille
(nombre de bateaux)

Puissance moyenne
(CV)

t/bateau/an
(c. entières)

kg/bateau/jour
(c. entières)

1966

25

1

150

25,0


1967

50

1

150

50,0


1968

100

2

350 à 400

50,0


1969

257

2 à 8

350 à 400

42,8


1970

295

10

350 à 400

29,5

260

1971

859

10

350 à 400

85,9

379

1972

1 018

10

350 à 400

101,8

398

1973

972

13

350 à 400

74,8

342½

1974

1 114

17

350 à 400

65,5

291

1975

1 001

17

350 à 400

58,9

267

1976

882

17

350 à 400

51,9

222

1977

831

17

350 à 400

48,9

1861


1 Valeur extrapolée à partir des 10 premiers mois.

Annexe 9: Résumé des informations disponibles pour le Gabon

Pêche industrielle en mer

Le nombre important de lagunes et d’estuaires, comme ceux de l’Ogoué et du Gabon, ainsi que l’étendue des fonds vaseux constituent des facteurs favorables au développement de l’espèce P. duorarum. La présence de crevettes avait été observée dans la partie nord du plateau continental gabonais lors des campagnes du “Guinean Trawling Survey” (Williams, 1968). La raréfaction des crevettes dans le sud est liée à l’augmentation de la proportion de fonds durs et à la diminution des communications mer/lagune.

En 1966, une prise totale de 3 tonnes est signalée (Crosnier, De Bondy, 1968). En 1968 est créée la PECIG qui arme en 1969 un crevettier expérimental de 650 CV pêchant avec deux chaluts. Les résultats de ces prospections ont été analysés de façon détaillée (Fontana et Bâ, 1972). Les rendements obtenus étant relativement faibles (215 kg/j de crevettes entières, rendement ramené à celui d’un crevettier de 300 CV), cette expérience n’a pas eu de suite. Les prises totales ont atteint 30 tonnes en 1969f avec des rendements de 10 à 20 kg/h de crevettes étêtées.

Pêche artisanale en lagune

La pêche artisanale est inexistante au Gabon.

Annexe 10: Carte de répartition géographique des sédiments et des crevettes en Côte d’Ivoire (Lutites: particules £ 50 m) (d’après S. Garcia, 1977)

Carte de répartition géographique des sédiments et des crevettes en Côte d’Ivoire (Lutites: particules £ 50 m) (d’après S. Garcia, 1977)

Annexe 11: Carte des fonds du plateau continental du Ghana (d’après P. Williams, 1968)

Carte des fonds du plateau continental du Ghana (d’après P. Williams, 1968)

Annexe 12: Carte des fonds du plateau continental du Togo - Bénin (d’après F. Williams, 1968)

Carte des fonds du plateau continental du Togo - Bénin (d’après F. Williams, 1968)

Annexe 13: Zones de pêche de Penaeus duorarum au Nigeria (d’après A. Crosnier et E. de Bondy, 1967)

Zones de pêche de Penaeus duorarum au Nigeria (d’après A. Crosnier et E. de Bondy, 1967)

Annexe 14: Carte des fonds du plateau, continental camerounais (d’après A. Crosnier, 1964)

Carte des fonds du plateau, continental camerounais (d’après A. Crosnier, 1964)

Annexe 15: Répartition des fonds durs et des fonds meubles sur le plateau continental gabonais (d’après M. Rossignol, J. Blache et R. Repelin, 1962)

Répartition des fonds durs et des fonds meubles sur le plateau continental gabonais (d’après M. Rossignol, J. Blache et R. Repelin, 1962)

Annexe 16: Prises de poisson (tonnes) par les crevettiers ivoiriens en Côte d’Ivoire

Année

Prises (t)

1969

230

1970

1000

1971

610

1972

1250

1973

800

1974

1040

1975

2150

1976

1450



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