ANNEXE A - Ordre du jour
ANNEXE B - Liste des participants
ANNEXE C - Extrait du Rapport de la vingt-quatrième session du Comité des pêches de la FAO concernant lexamen du point 8 de lordre du jour: «Conclusions et recommandations de la Consultation dexperts sur les incitations économiques et la pêche responsable»
1. Ouverture de la réunion2. Arrangements administratifs pour la réunion
3. Adoption de lordre du jour
4. Présentation et examen des programmes de travail concernant les subventions de la pêche par les organisations participantes
5. Objectifs et marche à suivre éventuelle/Questions pour lavenir
6. Adoption du rapport
Hussein Abaza
Chef de lUnité Économie et
Commerce
Programmes des Nations Unies pour
lenvironnement
[email protected]
Ola Flaaten
Chef de la Division des pêches
Organisation de coopération et de développement
économiques
[email protected]
Burger Oelofsen
Directeur de la gestion des ressources
Ministère de la pêche, Namibie
[email protected]
Carl-Christian Schmidt
Administrateur principal
Direction de lalimentation, de lagriculture et des
pêcheries
Organisation de coopération et de développement
économiques
[email protected]
Jan-Eirik Sorensen
Directeur de la Division du commerce et de
lenvironnement
Organisation mondiale du commerce
[email protected]
FAO
I. Nomura
Sous-Directeur général
Département des pêches
S.Z Karnicki
Directeur de la Division des politiques et de la planification
de la pêche
U. Wijkström
Chef du Service de la planification du
développement
Division des politiques et de la planification de la
pêche
A. Gumy
Fonctionnaire principal (planification des
pêches)
Service de la planification du développement
Division des politiques et de la planification de la
pêche
82. Le secrétariat a présenté le point de lordre du jour sur la base du document COFI/2001/9. Il convient dattirer lattention sur les conclusions et recommandations du Rapport de la Consultation dexperts sur les incitations économiques et la pêche responsable (document FIPP/R638) qui sest tenue à Rome du 28 novembre au 1er décembre 2000. Le Comité a été invité à donner son avis sur la manière dont le travail dévaluation des effets des subventions devrait se poursuivre ainsi que sur les partenariats qui lui paraissaient appropriés à cette fin.
83. Le Comité a apprécié les travaux entrepris par le secrétariat et pris note du rapport de la Consultation dexperts ainsi que des conclusions et recommandations quil contient. Certains membres ont estimé que la Consultation dexperts avait soulevé plus de questions quelle navait apporté de réponses. Il a toutefois noté quil restait encore à faire sur ce sujet, notamment sur les questions concernant linformation technique relative à la nature des subventions et à leurs effets.
84. Certains membres se sont déclarés préoccupés par la pratique des subventions dans le secteur de la pêche, considérant quun complément détude sur leurs effets était une question importante que la FAO devrait traiter comme une priorité.
85. Le Comité a décidé que les travaux futurs sur les subventions devraient se fonder sur les travaux passés et viser à déterminer les effets quantitatifs et qualitatifs des subventions sur le commerce du poisson et des produits de la pêche et sur la viabilité des ressources halieutiques, et que létude de laspect commercial devait être à caractère technique et étroitement coordonné avec lOrganisation mondiale du commerce (OMC) en tant quorganisme compétent pour la discipline en matière de commerce. Il a également été décidé que les travaux sur ce sujet seraient étroitement coordonnés, dans un souci de complémentarité, avec ceux réalisés par les autres organisations intergouvernementales compétentes, et recommandé que la FAO, en tant quorganisation pluridisciplinaire mondiale assume un rôle moteur dans la promotion de cette coopération et dans la coordination des travaux sur les subventions de la pêche et leur relation avec une pêche responsable.
86. Le Comité a décidé quune seconde consultation dexpert serait organisée par la FAO, mais que dimportants travaux préparatoires, dont un inventaire des travaux déjà accomplis ou en cours, soient dabord réalisés par le secrétariat. Il a demandé instamment que la Consultation soit constituée dune plus grande diversité dexperts ayant une expérience pratique et multidisciplinaire de la gestion des pêches et de leurs aspects commerciaux. Cette consultation devrait en outre refléter un équilibre régional et thématique des questions à examiner. Il a été décidé que les gouvernements devraient être consultés pour le choix des experts.
87. Certains membres ont insisté sur la nécessité de tenir compte des besoins et des conditions propres aux pays en développement, notamment des problèmes liés aux différences entre les pêcheries de grande envergure et les pêcheries de faible envergure ou de type artisanal. Certains membres ont aussi insisté pour que, sur la question des subventions et du commerce, la consultation se concentre sur les aspects techniques du débat politique.
88. Le secrétariat a informé le Comité que les ressources requises pour tenir la seconde Consultation dexperts nétaient pas disponibles dans le budget de lexercice en cours. On pourrait disposer de ces ressources dans le budget 2002-03, mais le secrétariat ne le saura pas avant novembre 2001. Aussi le secrétariat a-t-il laissé entendre que des fonds extrabudgétaires seraient éventuellement nécessaires aux fins dune seconde consultation dexperts.
89. Il a été décidé que la Consultation dexperts serait suivie dune consultation technique gouvernementale sur la question, en partie comme moyen de diffuser rapidement les informations sur la question, aussi bien aux membres quaux autres organisations intergouvernementales.
90. Comme activité complémentaire pour
traiter la question des subventions de la pêche, un membre a
indiqué quil serait utile de commencer à tenir des
réunions pour y étudier tous les facteurs ayant un effet
néfaste sur la viabilité. Alors que de nombreux membres ont
exprimé leur accord de principe avec cette proposition, qui a
également reçu le soutien de quelques membres, le sentiment
général était que ces efforts feraient largement double
emploi avec les travaux déjà engagés.