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Note d'information: Programme de formation de la FAO dans le domaine des pêches en appui à la mise en œuvre des instruments internationaux









FAO. 2024. Note d'information: Programme de formation de la FAO dans le domaine des pêches en appui à la mise en œuvredes instruments internationaux. Rome. 




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    Project
    Améliorer les capacités des Etats à lutter contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée (INDNR) - GCP/INT/307/NOR 2024
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    La pêche illicite, non déclarée et non réglementée (INDNR) sape les efforts nationaux et régionaux de conservation et de gestion des stocks halieutiques et entrave les progrès vers la réalisation des objectifs de durabilité à long terme. Les répercussions de la pêche INDNR sont particulièrement graves pour les États côtiers en développement et les petits États insulaires en développement (PEID), car ils ont une incidence sur les économies nationales, les moyens d’existence et l’environnement. En réponse à ce phénomène, une série d’instruments internationaux a été développée au cours des dernières décennies, le plus important étant l’Accord relatif aux mesures du ressort de l’État du port visant à prévenir, contrecarrer et éliminer la pêche illicite, non déclarée et non réglementée (l’Accord relatif aux mesures du ressort de l’État du port). Dans ce contexte, le présent projet financé par l’Agence norvégienne de coopération au développement (NORAD) visait à améliorer la capacité des pays en développement et des PEID à mettre en œuvre de manière cohérente des dispositions et des procédures conformes à l’Accord relatif aux mesures du ressort de l’État du port et aux instruments internationaux connexes, aux mécanismes régionaux et aux outils de lutte contre la pêche INDNR. Les principaux pays bénéficiaires de l’assistance juridique et technique de la FAO et du développement des capacités étaient le Ghana, la Guinée, l’Indonésie, Madagascar, la Namibie et Sri Lanka. Plusieurs autres pays en développement, qu’ils soient ou non Parties à l’Accord, ont bénéficié des activités du projet visant à renforcer la coordination et la coopération régionales sur les mesures du ressort de l’État du port (MREP)/ l’Accord et les instruments complémentaires de lutte contre la pêche INDNR.
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    Book (series)
    Rapport de la troisième réunion des Parties à l’Accord relatif aux mesures du ressort de l’État du port visant à prévenir, contrecarrer et éliminer la pêche illicite, non déclarée et non réglementée
    Bruxelles, 31 mai-4 juin 2021 (Réunion en ligne)
    2021
    Les Parties ont analysé les résultats du questionnaire établi aux fins de l’examen et de l’évaluation de l’efficacité de l’Accord relatif aux mesures du ressort de l’État du port (ci-après dénommé «l’Accord») et ont abouti à la conclusion qu’il s’agissait d’un outil utile qu’il faudrait néanmoins encore améliorer. Elles ont chargé la FAO de réexaminer le questionnaire et décidé qu’il serait rempli tous les quatre ans. Les Parties ont noté qu’il restait un certain nombre de problèmes à régler malgré les progrès réalisés dans l’utilisation efficace de l’Accord aux fins de la lutte contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée (INDNR). Les Parties ont pris note avec satisfaction des informations utiles communiquées par les organes régionaux des pêches (ORP) concernant l’avancement de la mise en œuvre de l’Accord et sont convenues qu’il fallait un questionnaire uniformisé pour les ORP. Elles ont chargé la FAO d’élaborer une première version du questionnaire. Les Parties ont accueilli favorablement le prototype du système mondial d’échange d’information (GIES) et ont décidé qu’il devait passer en phase pilote. Elles ont également redit l’importance de la disponibilité d’informations sur les points de contact nationaux pour l’Accord. Les Parties ont affirmé qu’il était important de recevoir un appui pour l’exécution de mesures efficaces de suivi, de contrôle et de surveillance ainsi que la mise en service du GIES et son application effective. Le Secrétariat a annoncé l’inauguration du Portail mondial consacré au renforcement des capacités. Les Parties ont demandé que les débats sur l’élaboration d’une stratégie visant à améliorer l’efficacité de l’Accord soient reportés et confiés à un groupe de travail ad hoc et ont approuvé le mandat du Groupe de travail ad hoc sur la stratégie relative à l’Accord.
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    Book (series)
    Rapport de la trente-huitième session de la Commission générale des pêches pour la Méditerranée. Siège de la FAO, Rome, 19–24 mai 2014 2014
    Also available in:

    Les représentants de vingt-deux Parties contractantes, de trois États non membres de la Commission générale des pêches pour la Méditerranée (CGPM) et de quinze organisations gouvernementales et non gouvernementales ont assisté à la trente-huitième session de la CGPM, ainsi qu’à la cinquième session du Comité de l’administration et des finances (CAF) et à la huitième session du Comité d’application. À la lumière des conclusions de sa troisième session extraordinaire (Grèce, avril 2014), la Commi ssion a approuvé l’Accord portant création de la CGPM amendé, qui fixe d’ambitieux objectifs fondés sur des principes tels que l’approche sous-régionale, la gestion pluriannuelle et la participation des parties prenantes. Compte tenu de l’importance qu’attache la Commission à la coopération avec des organisations partenaires, trois protocoles d’accord ont été officiellement conclus avec le Fonds mondial pour la nature (WWF), l’Union internationale pour la conservation de la nature – Centre de co opération pour la Méditerranée (UICN-Med) et le Centre d’information et de conseil sur la commercialisation des produits de la pêche dans la région arabe (Infosamak). Cette session a en outre offert l’opportunité de progresser dans la lutte contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée (INDNR) grâce à l’adoption de directives relatives au système de surveillance des navires par satellite (SSN), d’une feuille de route pour la lutte contre la pêche INDNR en Méditerranée et d’une liste des navires INDNR qui devrait être largement diffusée. D’importantes décisions ont également été prises, notamment l’adoption d’une recommandation concernant l’identification des cas de non-application, afin d’assurer une meilleure application des décisions de la CGPM, notamment dans le cadre du processus d’éclaircissements qui devrait aboutir, en 2015, à l’identification des cas de non-application par les membres et les non-membres de la CGPM. En ce qui concerne la gestion des pêches, les mesu res adoptées par la Commission comprennent en particulier une recommandation relative à des mesures de précaution et d’urgence en 2015 pour les stocks de petits pélagiques de la sous-région géographique 17. En outre, la Commission a approuvé des directives relatives à la gestion des populations de corail rouge, des directives pratiques relatives aux récifs artificiels en Méditerranée et en mer Noire, ainsi qu’un nouveau cadre de référence pour la collecte des données de la CGPM. Reconnaissant le rôle crucial joué par la pêche artisanale dans la région et le besoin de développer la gouvernance de ce secteur, la Commission a également appuyé le lancement du premier programme régional de coopération en vue de promouvoir le développement durable de la pêche artisanale. Dans le domaine de l’aquaculture, la Commission a rappelé qu’il était nécessaire de soutenir le développement durable de ce secteur dans la région et a accueilli favorablement le lancement d’une nouvelle Plateforme aquacole multi-acteurs (AMShP) ainsi que la rédaction de directives pour la gestion durable des lagunes côtières. Elle a également pris bonne note des éléments principaux relatifs à des directives pour un programme de suivi environnemental harmonisé en ce qui concerne l’élevage de poissons dans des cages marines en Méditerranée et en mer Noire. Enfin, la Commission est convenue de reconduire M. Abdellah Srour à la fonction de Secrétaire exécutif de juin 2016 jusqu’en 2021. Elle a adopté son budget auto nome pour l’année 2014, s’élevant à 2 245 916 USD, et elle a examiné la possibilité de passer à l’adoption d’un budget triennal à l’avenir. Enfin, elle a approuvé son programme de travail pour la période intersessions, y compris au titre du premier Programme-cadre de la CGPM.

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