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ProjectApoyo a la Comunidad Económica de los Estados del África Central (CEEAC) para reformular la Política Agrícola Común (PAC) y el Programa Regional de Inversiones Agrícolas y de Seguridad Alimentaria y Nutricional (PRIASAN) de segunda generación - TCP/SFC/3804 2025
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El África Central se distingue por su gran diversidad agroecológica y sus abundantes recursos naturales, cuya explotación sensata podría transformar la agricultura de la región. Se trata de una región de contrastes, que abarca zonas ecológicas saharianas al norte del Chad, zonas sahelianas en el extremo septentrional del Camerún y en una parte del Chad, zonas forestales que cubren más de la mitad de la región, zonas montañosas y una vasta franja costera que se extiende desde el litoral camerunés hasta las costas de Angola. Con una superficie total de unos 6 667 047 km² y una población estimada en cerca de 173 millones de habitantes en 2019, la región del África Central cuenta con 346,2 millones de hectáreas de bosques, 135,5 millones de hectáreas de pastos y 26,9 millones de hectáreas de tierras cultivables. No obstante, de los 14,2 millones de hectáreas irrigables, tan solo 601 000 hectáreas (esto es, el 4,2 % de la superficie cultivada) tienen regadío. La región goza asimismo de una importante reserva de recursos naturales en forma de aguas subterráneas renovables, cuyo volumen alcanza cerca de 1 715 km³, es decir, el 44 % de los recursos internos del continente africano. A pesar del gran potencial de diversificación, la economía de los Estados miembros de la CEEAC sigue dependiendo principalmente de la explotación de sus recursos naturales, en particular, de los hidrocarburos y las minas. La producción agrícola interna en África Central satisface apenas una escasa proporción de las necesidades alimentarias regionales. La pobreza afecta a cerca del 50 % de los habitantes de la región y, en algunos países, las tasas superan el 70 %. Asimismo, persiste el problema de la malnutrición. -
PresentationFallen Leaves Compost Agroforestry System in Musashino Upland, in the peri-urban area of Tokyo
Webinar: Sustainable production and agrifood systems based on GIAHS approaches
2024Also available in:
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ProjectPSoutien à l’utilisation de données ventilées par sexe dans l’agriculture pour des plans nationaux d’investissement agricole (PNIA) et des programmes régionaux d’investissement agricole (PRIA) de deuxième génération sensibles au genre - TCP/RAF/3803 2024
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Le manque de données ventilées par sexe dans le secteur agricole est un obstacle majeur à la compréhension et à la résolution des disparités entre hommes et femmes qui perdurent dans les communautés rurales africaines. Les plans et stratégies existants ne tiennent pas compte de la complexité de la vie des femmes, ce qui a des répercussions sur leur capacité à exploiter les possibilités d’investissement et de croissance. Des données de meilleure qualité sont nécessaires pour: 1) prendre en compte toutes les dimensions du travail fourni par les femmes; 2) contribuer à améliorer la productivité, la sécurité alimentaire et la nutrition des femmes; 3) mieux comprendre et lutter plus efficacement contre la pauvreté. Les données ventilées par sexe aident les décideurs politiques à élaborer des plans sensibles au genre. À cet égard, une étude conjointe de la Commission de l’Union africaine (CUA) et de la FAO indique que les programmes nationaux et régionaux d’investissement agricole (PNIA/PRIA) n’intègrent pas encore suffisamment cette dimension. Les PNIA orientent les politiques et les stratégies d’investissements nationaux dans l’agriculture et sont indispensables à la production alimentaire, à la création de richesses nationales grâce à l’agriculture, à la gestion des risques, à la constitution d’actifs et à la réduction de la pauvreté. Une révolution «féministe» des données est donc nécessaire pour faciliter des prises de décision informées intégrant la dimension du genre. Les efforts consentis à cette fin doivent être coordonnés et harmonisés avec les initiatives statistiques existantes, telles que l’initiative «Making Every Woman and Girl Count» d’ONU Femmes, qui vise à documenter les indicateurs de genre d’une manière plus cohérente. La FAO et ONU Femmes se sont donc associées pour combler les lacunes en matière de parité hommes- femmes et intégrer la dimension du genre dans les plans d’investissement agricole. Cette intervention collaborative s’est étendue à la CUA, aux organismes économiques régionaux et à plusieurs pays, et visait à informer le processus de réponse aux lacunes en matière de prise en compte du genre de la dernière génération des PNIA.
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