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Brochure, flyer, fact-sheetCoordonner les actions locales et nationales pour réduire les pertes et le gaspillage alimentaires dans les villes méditerranéennes
Résultats du webinaire
2025Also available in:
Lors de ce webinaire, organisé par la Plateforme SFS-MED et tenu le 28 janvier 2025, des parties prenantes de toute la Méditerranée se sont réunies pour partager des idées, des stratégies et des expériences sur la manière de relever le défi croissant de la perte et du gaspillage de nourriture dans la région. Les panélistes ont souligné le rôle important que les villes peuvent jouer dans la promotion de l'innovation et du changement des systèmes en favorisant une utilisation plus efficace des ressources, en réduisant les émissions de gaz à effet de serre et en générant des avantages sociaux et économiques - de l'amélioration de la santé publique à la création de nouvelles opportunités d'emploi. La gouvernance urbaine stratégique a été soulignée comme étant essentielle pour identifier les facteurs locaux de gaspillage alimentaire et permettre des solutions spécifiques au contexte, soutenues par une législation claire, des politiques intersectorielles et des incitations pour le secteur privé. La discussion a souligné l'importance d'une coordination à plusieurs niveaux, reliant les efforts locaux, nationaux et internationaux, ainsi que la nécessité d'une collaboration plus étroite entre la science, la politique et la pratique. L'avancement de la recherche, de l'éducation et du transfert de technologie a été considéré comme essentiel pour débloquer des solutions pratiques et évolutives. En fin de compte, la réduction des pertes et gaspillages alimentaires n'est pas seulement un défi technique, mais une responsabilité partagée qui exige une action collective pour transformer les systèmes agroalimentaires en Méditerranée et accélérer les progrès vers les objectifs de développement durable. -
Book (stand-alone)Actions climatiques dans le secteur de l’élevage au Burkina Faso
Améliorer les contributions déterminées au niveau national pour un avenir durable
2023Also available in:
No results found.Le Burkina Faso s'est engagé à réduire les émissions de gaz à effet de serre de 29 pour cent d'ici 2030, par rapport aux scénarios de statu quo, grâce à sa contribution déterminée au niveau national (CDN). Bien que l'agriculture et l'élevage aient été identifiés comme des sources d'émissions de gaz à effet de serre, les mesures d'atténuation et d'adaptation spécifiques à l'élevage sont sous-représentées dans les actions climatiques nationales actuelles du Burkina Faso. Cette étude analyse les politiques climatiques et d'élevage du Burkina Faso afin de déterminer leur alignement avec la CDN et de fournir des recommandations pour l'élaboration de politiques. Les résultats de cette étude ont été validés lors d'un atelier national multi-acteurs en juillet 2022, qui a réuni gouvernements, secteurs privés, organisations de producteurs et organisations non étatiques. -
DocumentL’action de la FAO face au changement climatique: Élevage & changements climatiques 2016
Also available in:
Les petits éleveurs, les pêcheurs et les pasteurs font partie des populations les plus vulnérables aux changements climatiques. Les changements climatiques ont sur l'élevage non seulement un impact direct (par exemple, avec le stress thermique et l'augmentation de la morbidité et de la mortalité) mais aussi un impact indirect (par exemple, au niveau de la qualité et la disponibilité des aliments et des fourrages, et au niveau des maladies animales). Dans le même temps, le secteur de l'élevage co ntribue de manière significative aux changements climatiques. En effet, 14,5 pour cent des gaz à effet de serre (GES) d'origine anthropique proviennent des chaînes d'approvisionnement de l'élevage. Cela représente 7,1 gigatonnes (Gt) d'équivalent dioxyde de carbone (éq.-CO2) par an.
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