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Note d'orientation politique - Amélioration de la gestion des pertes après récolte dans les filières céréales et légumineuses au Burkina Faso










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    Book (stand-alone)
    Revue des filieres betail/viande et lait et des politiques qui les influencent au Burkina Faso 2016
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    L’élevage occupe une place économique majeure au Burkina Faso car pratiqué par plus de 80 pour cent des ménages. La contribution relative du sous-secteur de l’élevage au Produit Intérieur Brut (PIB) a varié entre 18,3 pour cent et 19,5 pour cent sur la période 2001 à 2008 (MRA-PNUD, 2011). Les produits de l’élevage occupent le second rang en termes de valeur des exportations dans le secteur primaire après le coton. Selon les statistiques de la balance des paiements, l es exportations de produits d’élevage en 2009 sont estimées à 60,3 milliards de FCFA (14,2 pour cent des exportations totales du pays), dont 52,2 pour cent pour le bétail et la volaille sur pied, 42,9 pour cent pour les cuirs et peaux, et 4,9 pour cent pour la viande et les abats. Les importations de produits animaux s’élevaient à 7,4 milliards de FCFA pour la même année, soit 1,1 pour cent du total des importations du Burkina Faso, et se composent à 92,4 pour cent de produits laitiers. Au plan microéconomique, l’enquête sur les conditions de vie des ménages de 2003 a révélé qu’environ 38,8pour cent des revenus monétaires des ménages ruraux proviennent de l’élevage (MRA-PNUD, 2011).De plus l’activité d’élevage occupe une place importante dans la stratégie de sécurité alimentaire et de réduction de la pauvreté dans les ménages ruraux. En effet, les incidences de recours à l’élevage pour la couverture des besoins alimentaires, de santé e t de scolarisation des enfants sont respectivement de 56,1 pour cent, 42 pour cent et 16 pour cent en 2007/2008.
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    Project
    Rapport terminal - Amélioration de l'environnement politique et institutionnel pour le développement de systemes de cogestion en pêche continentale au Burkina Faso, au Mali, en Côte d'Ivoire et au Ghana
    PILOT PROJECT 1
    2007
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    Les pêches artisanales en eau douce en Afrique de l’Ouest ont connu un développement notable à la suite de la construction de plusieurs barrages hydroélectriques sur les principaux cours d’eau. Le gigantesque barrage d’Akossombo avec le lac Volta de 9.344 km² de superficie (4% du territoire national) est mis en eau au Ghana en 1964. En Côte d’Ivoire, plusieurs barrages hydroélectriques sont érigés ; Kossou en 1971, donne naissance à un lac de 900 km². En 1980, le Mali construit le barr age de Sélingué qui inonde 409 km² de terre. Enfin, le Burkina Faso crée respectivement en 1988 et 1992, deux barrages qui donnent les lacs de Kompienga (210 km²) et Bagré (250 km²). La construction de ces ouvrages a fragilisé le tissu socio-économique des riverains (déplacement massif et réinstallation des populations sur de nouveaux sites, destruction de plantations, de forêts et de biens). L’objectif premier des barrages est de produire de l’électricité. Toutefois, les lacs de Sél ingué et de Bagré bénéficient d’un programme de production de riz irrigué et de culture maraîchère. Les activités de pêche qui se sont développées par la suite ont profondément modifié la configuration ethnosociologique des espaces lacustres. SFLP
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    Document
    Mesure des pertes post-production- Recommandations sur la conception d’un système statistique de calcul des pertes à la récolte et post-récolte de grains vivriers (céréales et légumes secs)
    Activités de formation Stratégie mondiale pour l’amélioration des statistiques agricoles et rurales - Support de formation – guide de l’utilisateur
    2018
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