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Directives relatives au changement climatique à l'intention des gestionnaires forestiers













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    Book (stand-alone)
    Quelles perspectives pour une mobilisation de la finance carbone en appui au programme de reboisement libanais ?
    Perspectives et opportunités
    2016
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    Les forêts méditerranéennes d’Algérie, Liban, Maroc, Tunisie et Turquie couvrent une superficie totale de près de 19 millions d’hectares. Ces forêts ont été et seront soumises de manière croissante à des pressions anthropiques (surpâturage, collecte de bois de chauffe, incendies, conversions agricoles, etc.) et aux effets dus au changement climatique (augmentation des températures et de la fréquence des événements extrêmes, diminution des précipitations, attaques parasitaires, etc.) Ainsi, des p hénomènes de déforestation et de dégradation forestière sont observés. Ces problématiques sont d’autant plus marquées que les populations sont généralement fortement dépendantes des écosystèmes forestiers et que les administrations forestières et les gestionnaires sont confrontés à des difficultés techniques et financières pour gérer durablement ces forêts. À des degrés divers, les politiques forestières des pays bénéficiaires apportent des réponses à ces enjeux liés à la fourniture durable de b iens et services par les forêts méditerranéennes dans un contexte de changements climatiques. Cependant, les stratégies de gestion des espaces boisés ne prennent pas suffisamment en compte les impacts du changement climatique. La valeur des biens et services fournis par les forêts n’est pas assez reconnue, que ce soit au niveau local et national, par les autres secteurs de l’économie qui en bénéficient (tourisme, élevage, eau…), ou au niveau international (les forêts méditerranéennes ont ainsi j usqu’à récemment été absentes des programmes liés au mécanisme REDD+).
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    Book (series)
    Nature & Faune, 28(2)
    Gestion durable des ressources naturelle dans l'équation de l'alimentation et de la nutrition dans les zones urbaines en Afriques
    2014
    Also available in:

    Fidèle à sa tradition d‟exploration des principales questions émergentes, Nature & Faune a choisi de consacrer cette édition à l‟examen de cette urbanisation rapide et de ses conséquences pour les denrées urbaines et la sécurité alimentaire, mettant en exergue les rôles spécifiques de la gestion et de l‟utilisation durables des ressources naturelles dans l‟évolution rapide de l‟alimentation urbaine et de l‟équation nutritionnelle en Afrique. Dix-huit articles examinent et débattent des défis qu‟ une urbanisation continue présente pour la sécurité alimentaire et nutritionnelle dans les centres urbains de l‟Afrique dans le contexte de la gestion et de l‟utilisation durables des ressources naturelles. Les articles soulignent le rôle complémentaire des ressources naturelles dans l‟alimentation urbaine et la sécurité nutritionnelle avec comme élément central la production agricole. L‟éditorial attire l‟attention sur les options de structuration des systèmes de production agricole et de promo tion des entreprises agricoles comme étant des mesures pertinentes pour anticiper les problèmes changeants de la sécurité alimentaire en milieu urbain. Son auteur soutient qu‟il est difficile de réaliser la sécurité alimentaire en milieu urbain au niveau de chaque pays, et approuve ainsi l‟idée selon laquelle la sécurité alimentaire en milieu urbain est probablement plus réalisable lorsque les approches régionales sont renforcées. Comme perspectives futures, il suggère l‟adoption de politiques c ommunes pour l‟agriculture et la gestion des ressources naturelles dans la région Afrique. L‟article spécial de cette édition souligne la contribution des arbres, arbustes et autres plantes ligneuses à l‟alimentation et à la nutrition comme reconnu dans le tout premier rapport de l‟État des ressources génétiques forestières‟ publié par la FAO en juin 2014. Toujours dans l‟article spécial, Martin Nganje souligne le fait que les forêts contribuent directement à la sécurité alimentaire et à une mei lleure nutrition sur le continent africain à travers leurs produits forestiers non ligneux. Il examine aussi comment les forêts contribuent à l‟autosuffisance alimentaire autrement qu‟à travers leurs parties comestibles. Michela Conigliaro, Simone Borelli et Fabio Salbitano fournissent quelques exemples de la contribution substantielle des initiatives de protection et de restauration des forêts et du couvert arboré au sein et autour des villes africaines à la réduction de la pauvreté et de la ma lnutrition et à la garantie d‟un développement urbain plus durable des points de vue environnemental et socioéconomique. Enfin, ce numéro met la République démocratique du Congo (RDC) sous les feux de la rampe dans sa rubrique Pays à la Une dans laquelle Ruhiza Boroto donne ses impressions de la gestion des ressources en eau dans le cadre de l‟horticulture urbaine et périurbaine en RDC. Je vous invite à visiter la page des liens et à consulter attentivement les ressources sur lesquelles sont bas és les articles au menu. Bonne lecture à tous et à toutes.
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    Project
    Évaluation régionale du carbone forestier pour l’atténuation du changement climatique (REDD+) en Afrique de l’Ouest - TCP/RAF/3605 2020
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    Dans le contexte de la REDD+, l’établissement d’un inventaire des ressources forestières constitue la base tant des Systèmes nationaux de surveillance des forêts ( que des Niveaux d’émissions de référence pour les forêts ( L'inventaire forestier est essentiel pour évaluer la biomasse forestière et les stocks de carbone, ainsi que pour élaborer des Facteurs d'émission ( spécifiques aux pays et régions en développement, qui peuvent être utilisés pour estimer les émissions de Gaz à effet de serre ( GES)(principalement le dioxyde de carbone) dans le secteur forestier En général, dans les pays en développement, les données nécessaires à l’établissement d’un inventaire forestier national sont soit inexistantes, soit insuffisantes pour estimer les FE pour la REDD+ C'est le cas de la plupart des pays d'Afrique de l'Ouest, ainsi que l'indiquent l'évaluation des besoins et les études de soutien ciblées financées par le Programme ONU REDD en 2015 qui ont révélé une capacité limitée d'estimation de la biomasse pour les cinq réservoirs de carbone de la région En outre, les équations allométriques existantes pour l’estimation de la biomasse, qui servent à convertir les données des inventaires forestiers, ont été élaborées sans pouvoir intégrer des données provenant d'Afrique de l'Ouest et elles ont montré des limites lors de leur application à la région De même, les données sur la densité du bois utilisées dans les équations allométriques de la biomasse proviennent d’une base de données sur la densité du bois au niveau mondial, ce qui suscite des interrogations quant à leur exactitude et à leur fiabilité lorsqu'elles sont appliquées au niveau régional ou national Ce niveau d'incertitude compromet la crédibilité des données communiquées par l'Afrique de l'Ouest à la Convention cadre des Nations unies sur les changements climatiques ( et à d'autres conventions internationales Les inventaires forestiers étant coûteux à réaliser, certains pays ne sont pas toujours en mesure d'investir dans des efforts visant à combler les lacunes en matière de capacités techniques et de technologies nécessaires à leur développement sans financement extérieur.

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