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Construire mieux pour l'avenir - Initiative

Domaine thématique – Productivité de l'eau agricole











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    Booklet
    Initiative «Construire mieux pour l’avenir»
    Renforcer les capacités de gestion des ressources naturelles pour revitaliser l'agriculture dans des contextes fragiles - Résumés en ligne
    2020
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    Les conflits et la fragilité sont au cœur de certains des plus grands défis d'aujourd'hui - ils sont capables d'entraver les progrès du développement et également d'inverser les gains de développement. Les facteurs environnementaux sont rarement, la seule cause de conflits. Les pays peuvent connaître des conditions de vulnérabilité à différents niveaux d'intensité et sous différentes dimensions. Les crises générées par les pandémies mondiales, comme le COVID 19, peuvent avoir d'autres effets négatifs sur les contextes fragiles. La gestion des ressources naturelles, en particulier les terres et les ressources en eau, devient également l'un des défis les plus critiques dans ces situations désastreuses. Le projet «Renforcer les capacités de gestion des ressources naturelles pour revitaliser l'agriculture dans des contextes fragiles» découle de la reconnaissance de l'importance d'investir dans le capital humain dans des contextes fragiles. Le projet vise à remédier à la perte de capacités humaines provoquée par la fragilité en Libye, au Niger et au Mali. Dans le cadre du projet, un certain nombre de webinaires (cours d’apprentissage en ligne) ont été organisés, axés sur 13 domaines thématiques liés à la gestion des ressources naturelles. Le E-learning Nugget Briefs a été conçu pour présenter l'ensemble du programme de formation réalisé via les e-nuggets, en présentant l'approche du projet et la structure de la formation. De plus, une brève description de chaque module est incluse, pour illustrer les outils et méthodologies qui seront abordés dans chaque session.
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    Document
    Rapport du comité d’évaluation des performances de la CTOI 2009
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    En réponse à des appels de la commuuté intertiole à une évaluation des performances des Organisations régioles de gestion des pêches (ORGP), la Commission des thons de l’océan Indien a accepté, en 2007, de mettre en place un processus d’évaluation. La CTOI a formé un comité d’évaluation comprent un juriste, un expert scientifique indépendant, six membres de la CTOI et un observateur représentant les ONG, comité qui a remis son rapport à la Commission en janvier 2009. L’évaluation réalisée par le comité est basée sur les critères élaborés lors de la réunion conjointe des différentes ORGP- thon qui eut lieu à Kobe (Japon) en 2007, et se concentre sur les points suivants : Adéquation de l’Accord portant création de la Commission des thons de l’océan Indien (« Accord ? CTOI ») aux principes actuels de gestion des pêches. Cohérence entre les avis scientifiques émis et les mesures de conservation et de gestion adoptées. Efficacité des mesures de contrôle établies par la CTOI. Efficacité et t ransparence de la gestion administrative et fincière. PRINCIPALES CONCLUSIONS DU COMITÉ D’ÉVALUATION I. Cadre légal de l’Accord CTOI L’alyse juridique de l’Accord CTOI a permis d’identifier une série de faiblesses et de failles qui peuvent être résumées comme suit. L’Accord CTOI est obsolète, dans la mesure où il ne tient pas compte des principes modernes de la gestion des pêches. L’absence de concepts tels que le principe de précaution ou l’approche écosystémique de la gestion des pêches est co nsidérée comme une faiblesse majeure. Le manque d’une claire définition des fonctions de la Commission ou des obligations des états du port ou du pavillon sont des exemples des obstacles au fonctionnement efficace de la Commission. Les limites imposées à la participation à cet ORGP, découlant du statut légal de la CTOI en tant qu’organe au titre de l’Article XIV de l’Organisation de Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), entrent en conflit avec les dispositions de l’Accord des Nations Unies sur les stocks (UNFSA) et empêchent certains acteurs principaux de la pêche dans l’océan Indien de participer aux travaux de la Commission. La relation entre la CTOI et la FAO, principalement d’un point de vue budgétaire, a un impact négatif sur l’efficacité des travaux de la Commission, ni les Membres ni le Secrétariat n’ayant pleinement le contrôle du budget. Cela soulève également des questions quant au niveau de ?????? transparence dans les affaires fincières de la Commission. Le Comité recommande que l’Accord CTOI soit amendé ou remplacé par un nouvel instrument. Le choix entre ces deux options devrait tenir compte de l’intégralité des problèmes identifiés dans cette évaluation. II. Évaluation des performances de la Commission selon les critères arrêtés L’alyse basée sur les critères de performance a mis en évidence de nombreuses faiblesses dans les travaux de la Commission, dont les principales sont indiquées ci-dessous. Haut niveau d’incertitude Les données quanti tatives fournies pour de nombreux stocks sous mandat de la CTOI sont très limitées.Cela provient d’un manque de respect des mesures –une grande proportion des captures provent de pêcheries artisales sur lesquelles on ne dispose que de peu d’informations– et d’un manque de coopération de la part des non membres de la CTOI. Par ailleurs, les données déclarées à la CTOI sont souvent de mauvaise qualité. Cela contribue au fort niveau d’incertitude sur l’état de nombreux stocks sous mandat de la CTOI . Mauvais respect des mesures et faiblesses des moyens visant à répondre au non respect Il est courant que les mesures et obligations adoptées par la CTOI ne soient que peu respectées. La Commission, à ce jour, n’a pris que peu d’actions pour remédier à ce problème (il n’existe actuellement aucune sanction/pélité en cas de non respect). De plus, la liste des vires illicites, non déclarés et non réglementés (« INN ») ne s’applique qu’aux non membres. Besoins spécifiques des états en développement De nombreux États en développement conissent de sérieuses contraintes en terme de capacité/infrastructure qui limitent leur capacité à respecter leurs obligations, en particulier en termes de collecte, traitement et déclaration de données. Un certain nombre d’entre eux manquent également de l’expertise scientifique nécessaire et même lorsque cette expertise existe, des problèmes budgétaires limitent souvent leur participation aux réunions de la Commission, en particulier à celles du Comité scie ntifique et des groupes de travail. III. Au vu de ces conclusions, et en plus des recommandations spécifiques concernt chaque critère, le Comité d’évaluation attire l’attention de la Commission sur les problèmes globaux suivants Incertitude Régler le problème de l’incertitude sur les données et l’évaluation des stocks est l’une des actions les plus fondamentales et urgentes à entreprendre pour améliorer l’efficacité de la Commission. Cela nécessitera une gamme d’actions, dont les plus importante s sont : l’application de méthodes d’évaluation scientifiques adaptées aux données disponibles ; mise en place d’un programme régiol d’observateurs scientifiques pour améliorer la collecte des données sur les espèces cibles et accessoires ; amélioration de la collecte des données et de la capacité de déclaration pour les États en développement.Il est également crucial de faire participer les non membres pêchant dans la zone de compétence de la CTOI, afin de réduire l’incertitude. De même, il con viendra de mettre en place un cadre permettant d’agir en réponse à l’incertitude dans les avis scientifiques et d’améliorer le fonctionnement du Comité scientifique et des organes subsidiaires ainsi que la participation à leurs réunions. Application Il est impératif de renforcer la capacité du Comité d’application à contrôler la non application et à conseiller la Commission sur les actions pouvant être prises en réponse à la non application. Il conviendrait de prévoir des mécanismes de sanction en cas de non application, ainsi que des dispositions de réponses aux infractions. La résolution sur la mise en place de la liste INN devrait être amendée pour permettre l’inclusion de vires battant pavillon d’un membre de la Commission. Besoins particuliers des États en développement Il conviendrait d’augmenter l’effort fincier pour le développement des capacités des États en développement. La Commission devrait améliorer les mécanismes de fincement existants pour améliorer la capacité des État s en développement en matière de collecte, traitement et déclaration des données, ainsi qu’en matière de compétences scientifiques et techniques. Dans ce contexte, il faudrait envisager la possibilité de mettre en place un fonds spécial pour faciliter la participation aux travaux de la Commission et de ses organes subsidiaires. Il conviendrait également de renforcer le rôle et la capacité du Secrétariat à mener des actions ciblées de développement des capacités.
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    Book (stand-alone)
    Cadre de gestion environnementale et sociale 2022
    Le Cadre de gestion environnementale et sociale a pour objectif d’améliorer l’application de l’approche fondée sur les droits humains etdes autres principes directeurs des PCCNUDD dans les programmes de la FAO. L’objectif est de faireen sorte que les êtres humains et l’environnement soient protégés des éventuelles incidences négatives des programmes et projets de la FAO. Le Cadre permet également de veiller à ce que toutes les parties prenantes aient amplement l’occasion de participer aux activités de ces programmes et projets et aient accès à des voies de communication efficaces pour faire part de leurs préoccupations au sujet de ces derniers. Il présente un dispositif novateur d’analyse des risques liés au changement climatique et aux catastrophes visant à cerner les risques potentiels et à définir des mesures d’atténuation des risques et de renforcement de la résilience. Des obligations nouvelles et actualisées y sont également définies quant à la préservation et la remis een état des ressources naturelles renouvelables et de la biodiversité, à la protection du bien-être animal, au renforcement de la résilience des moyens de subsistance, au traitement des déchets et des matières dangereuses autres que des pesticides, à la promotion de l’efficacité de l’utilisation des ressources, à la protection de la santé des populations et à la promotion des emplois décents,au renforcement des obligations de lutte contre les violences fondées sur le genre, notamment la prévention de l’exploitation et des abus sexuels, au respect des peuples autochtones qui souhaitent vivre isolés, et à l’amélioration des mécanismes de responsabilisation, de règlement des conflits et d’examen des plaintes et doléances.

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