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Rapport de la Consultation d'experts chargés d’élaborer un cadre d’évaluation de la conformité des









FAO.Rapport de la Consultation d'experts chargés d’élaborer un cadre d’évaluation de la conformité desprogrammes publics et privés d’écolabellisation aux directives de la FAO pour l’étiquetage écologiquedu poisson et des produits des pêches de capture marines. Rome, 24-26 novembre 2010.FAO Rapport sur les pêches et l'aquaculture n° 958. Rome, FAO. 2011. 51 p.



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    Book (series)
    Rapport de la Consultation d’experts chargée d’élaborer un projet d’instrument juridiquement contraignant sur les mesures du ressort de l’État du port. Washington D.C., États-Unis d’Amérique, 4-8 septembre 2007 2008
    Le présent document contient le rapport de la Consultation d’experts chargée d’élaborer un projet d’instrument juridiquement contraignant sur les mesures du ressort de l’État du port, qui s’est tenue à Washington D.C., États-Unis d’Amérique, du 4 au 8 septembre 2007. Compte tenu du paragraphe 68 du rapport de la vingt-septième session du Comité des pêches de la FAO (Rome, 5-9 mars 2007), la Consultation avait pour objet de préparer un projet de texte juridiquement contraignant sur les mesures du ressort de l’État du port à partir du Plan d’action international visant à prévenir, à contrecarrer et à éliminer la pêche illicite, non déclarée et non réglementée (FAO, 2001) et du Dispositif type relatif aux mesures du ressort de l’État du port dans le contexte de la lutte contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée (FAO, 2005). La Consultation d’experts a travaillé à partir d’un projet préliminaire d’accord sur les mesures du ressort de l’État du port préparé par la FAO. Ce pr ojet initial a permis à la Consultation d’experts d’élaborer un projet d’accord sur les mesures du ressort de l’État du port pour prévenir, contrecarrer et éliminer la pêche illicite, non déclarée et non réglementée qui sera soumis pour examen à la Consultation technique chargée d’examiner les mesures du ressort de l’État du port qui se tiendra en juin 2008. Toutefois, faute de temps, la Consultation d’experts n’a pas pu examiner le préambule, les clauses finales et les annexes du projet d’accor d. La Consultation d’experts a été accueillie par le gouvernement des États-Unis d’Amérique et financée par le Programme ordinaire de la FAO, le gouvernement norvégien et le Conseil nordique des ministres dans le cadre du projet GCP/INT/032/NOR financé par un fonds fiduciaire.
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    Book (series)
    Évaluation de l’avantage comparatif pour l’aquaculture: cadre d’évaluation et application à certaines espèces dans les pays en voie de développement. 2010
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    Le commerce international des produits de la pêche s’est développé, en même temps que l’importance absolue et relative de l’aquaculture comme source de production halieutique. La crevette et le saumon sont deux exemples d’espèces élevées dans des pays en voie de développement et commercialisées au niveau international. Le degré de compétitivité d’un pays vis-à-vis d’autres producteurs est fonction, en partie, des modes de transport et de l’offre de produits alimentaires, mais aussi des coûts de production. L’avantage comparatif est un moyen de comparer les coûts relatifs et de désigner les espèces et les marchés présentant les plus grandes chances de réussite. Il existe toutefois des problèmes pour estimer l’avantage comparatif: la méthode peut être statique plutôt que dynamique et peut ne pas être révélatrice d’opportunités à long terme. Cependant, elle représente un outil utile pour les planificateurs qui élaborent des stratégies aquacoles et pour les pisciculteurs individuels. Deux méthodes existent pour évaluer les avantages comparatifs – elles ont toutes les deux été appliquées à l’aquaculture. La méthode du coût de la ressource intérieure (CRI) s’appuie sur les données de coûts de production pour comparer l’efficacité. L’existence de distorsions peut exiger l’évaluation de prix de référence pour refléter de véritables coûts d’opportunité sociaux, mais, sous réserve d’un ajustement convenable des prix de référence, le pays qui a le plus bas CRI a un avantage comparatif . La méthode CRI est dynamique, et fournit des informations utiles aux décideurs; cependant, les données relatives aux coûts peuvent être difficiles à obtenir et la fixation des prix de référence est alors problématique. La deuxième méthode est l’avantage comparatif révélé (ACR), où l’avantage comparatif est déduit d’après une évaluation a posteriori du commerce réel et du niveau de spécialisation. D’après les statistiques commerciales on peut savoir si un pays exporte une espèce en direction d’ un pays particulier plus que vers le reste du monde; s’il en est ainsi, il est jugé avoir un avantage comparatif dans ce marché particulier. La méthode ACR est plus descriptive et possède un potentiel prédictif moins marqué que l’approche CRI, mais elle a l’avantage de la disponibilité des données.Le présent document illustre le concept d’avantage comparatif et certaines de ses implications en termes de politiques en proposant deux études de cas: la première se concentre sur les pays exportateur s de crevettes alors que la deuxième est axée sur la production aquacole en eau douce de carpe, silure et tilapia. La méthode CRI est utilisée dans les deux cas.
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    Book (series)
    Aquaculture commerciale et croissance économique, réduction de la pauvreté et sécurité alimentaire: cadre d’évaluation. 2011
    Also available in:

    Le présent document propose des méthodes pour quantifier la contribution de l’aquaculture aux économies nationales, à la réduction de la pauvreté et à l’amélioration de la sécurité alimentaire afin de renforcer l’aide politique et financière dont le secteur a grand besoin pour son développement. La contribution de l’aquaculture à l’économie d’un pays peut être mesurée par «le multiplicateur de valeur ajoutée de l’aquaculture», un indicateur qui représente l’augmentation du PIB correspondant à un e augmentation d’une unité de la valeur ajoutée de l’aquaculture. Comme la réduction de la pauvreté s’obtient en créant des emplois rémunérateurs, l’évaluation de la contribution de l’aquaculture à la réduction de la pauvreté peut se faire à travers le «multiplicateur de l’emploi de l’aquaculture», l’augmentation de la totalité des emplois pour l’économie toute entière correspondant à un emploi supplémentaire créé dans le secteur aquacole. La contribution à la disponibilité de nourriture, une de s trois dimensions de la sécurité alimentaire, peut être évaluée à travers la «somme nette de l’équivalent en protéines» (contribution directe) et le «ratio entre le gain net en devises du secteur aquacole et la valeur totale des importations de denrées alimentaires (contribution indirecte)». Les «multiplicateurs de revenus générés par le travail et d’emploi» du secteur aquacole peuvent être utilisés pour mesurer la contribution de l’aquaculture à l’accès à la nourriture, deuxième dimension de la sécurité alimentaire. Le multiplicateur d’impôt de l’aquaculture et le «ratio entre le gain net en devises du secteur aquacole et le gain net en devises de l’économie toute entière» peuvent être utilisés pour évaluer la contribution du secteur à l’utilisation de la nourriture, troisième dimension de la sécurité alimentaire.

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