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Manuel d’amélioration des plantes par mutation










​FAO/AIEA. 2020. Manuel d’amélioration des plantes par mutation- Troisième édition. Sous la supervision de M.M. Spencer-Lopes, B.P. Forster et L. Jankuloski. Vienne, FAO. 




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    Book (stand-alone)
    Manual on Mutation Breeding 2018
    Also available in:

    The 2nd edition of Manual on Mutation Breeding (MMB) was published in 1977. After nearly 40 years it is necessary to update Member States (MSs) with current knowledge in practical plant mutation breeding methods and to provide a comprehensive overview and guidelines for crop improvement using induced mutation and mutation breeding techniques. In 1977 there were 106 IAEA Member States, and as of March 2015 there are 164 MSs. The irradiation services for mutation induction in plant breeding has risen proportionally with the number of MSs. Therefore, the interest for mutation breeding has been increasing. There are now over 3222 mutant varieties released worldwide in over 200 crop species, as compared to 571 mutant varieties in 84 crop species in 1977. Plant mutation breeding continues to be an active area for crop improvement. Plant mutation breeding is under-going a renaissance with new methods and wide application to more crop species in which it can provide shortcuts in developing new mutant varieties. This is particularly relevant in safeguarding food security and is required to meet environmental challenges caused by climate change (resistance to pest and diseases and tolerance to abiotic stresses).
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    Book (stand-alone)
    Légumes secs et exploitations durables en Afrique subsaharienne 2018
    Also available in:

    En Afrique subsaharienne, l’insécurité alimentaire touche 153 millions de personnes (soit 25 pour cent environ de la population). Le problème pourrait encore s’aggraver du fait de la dégradation constante des sols entraînée par la diminution du taux de matière organique et les apports insuffisants en éléments nutritifs. Plus de 75 pour cent des terres agricoles africaines pourraient être classées comme «dégradées» d’ici à 2020. Cette situation est susceptible de mettre en péril la production alimentaire en Afrique subsaharienne, tant que le plan quantitatif que qualitatif, ainsi que la durabilité des systèmes de production agricole existants. L’utilisation d’engrais pourrait renverser la tendance; or l’Afrique a une capacité de production d’engrais presque inexistante (elle dispose principalement d’installations qui effectuent des mélanges de produits fertilisants). Les engrais proviennent d’autres régions que l’Afrique et sont transportés à grands frais sur de longues distances. L’accès des agriculteurs d’Afrique subsaharienne aux engrais est de ce fait très limité, ce qui accroît encore le risque de dégradation des sols. Appréciés pour leurs multiples avantages, les légumes secs sont cultivés depuis longtemps en Afrique subsaharienne. Les légumes secs, et les légumineuses en général, peuvent être très utiles du fait de leur capacité à fixer biologiquement l’azote atmosphérique et à améliorer le renouvellement biologique du phosphore; ils pourraient donc devenir la pierre angulaire de l’agriculture durable en Afrique. À cet égard, un corpus de travaux publiés souligne l’importance de la diversification des systèmes de production existants, et notamment avec des légumineuses, qui apportent des services environnementaux essentiels – en matière de lutte contre l’érosion du sol et de reconstitution des stocks de nutriments des sols, par exemple. La présente publication s’intéresse à certaines des stratégies prometteuses qui s’attachent à promouvoir la culture et l’utilisation des légumineuses dans les petites exploitations agricoles d’Afrique subsaharienne. Elle s’inscrit dans le sillage de l’Année internationale des légumineuses, initiative ayant pour objet de mettre en avant la contribution des légumes secs au bien-être de l’humain et à l’environnement. L’un des problèmes rencontrés à l’échelle mondiale tient au fait que les statistiques ne reflètent pas bien la diversité des légumes secs. On ne sait pas précisément quels légumes secs sont cultivés, ni où ils sont cultivés. De ce fait, leur importance pour l’Afrique subsaharienne est sous-estimée, et on a tendance à moins investir dans la recherche sur les légumineuses. Les systèmes de production agricole existants sont dominés par les céréales, et se prêtent donc bien à une diversification par l’utilisation de variétés locales ou nouvelles de légumineuses. Le système de culture mixte basé sur le maïs se développe rapidement et est un exemple de diversification de ce type, notamment avec des variétés de haricot. Cela s’explique en partie par le nombre élevé de variétés de haricots qui ont été mises au point, dans le cadre de partenariats menés sur des décennies et soutenus par l’Alliance panafricaine de recherche sur le haricot, afin de répondre aux demandes des marchés locaux et régionaux. Ces recherches sur le haricot ont notamment permis de lancer des activités pionnières de sélection végétale participative et de vulgarisation, en association avec des organisations communautaires et des chaînes de valeur participatives, et de s’intéresser aux systèmes semenciers informels. Cet exemple montre comment la recherche sur les légumes secs peut changer la donne pour les petites exploitations d’Afrique subsaharienne, en élargissant l’éventail de possibilités offertes par la génétique et en soutenant l’innovation. De nombreuses variétés privilégiées par les agriculteurs méritent d’être mises en avant, de même que certaines techniques, telles que l’innovant système à double culture de légumineuses (SDCL) récemment annoncé par le Gouvernement malawien. Parallèlement, la présente étude met en évidence un retard dans le lancement de variétés s’agissant de certains légumes secs et la nécessité de mener sans délai de nouvelles recherches sur l’adoption, les obstacles à l’adoption et l’impact de l’adoption de nouvelles variétés. Parmi les priorités de recherche figurent les travaux destinés à mieux faire connaître et à diffuser les propriétés associées aux types de légumes secs polyvalents, qui sont très appréciés en Afrique subsaharienne. Les différents types de légumes secs remplissent différentes fonctions et, de manière générale, les légumes secs polyvalents sont ceux qui répondent le mieux aux divers besoins des agriculteurs (produits alimentaires, combustible, fourrage et services écosystémiques comme la pollinisation). Un compromis est nécessaire entre l’indice de récolte et les autres fonctions, trop souvent négligées par les chercheurs et les décideurs, qui ont tendance à se soucier presque exclusivement de l’augmentation des rendements en graines. Une autre question sur laquelle il faudrait se pencher sans délai est celle de la résistance aux organismes nuisibles et des approches éducatives et conseils agronomiques visant à renforcer la protection intégrée (PI) contre les ravageurs. Enfin, le rôle de certaines légumineuses et de leurs propriétés biochimiques dans la promotion de la santé des écosystèmes et des communautés est un domaine d’étude crucial, qui apportera des solutions urgentes nécessaires aux agricultrices et à la pérennité des communautés.
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    Book (stand-alone)
    Catalogue ouest africain des espèces et variétés végétales 2008
    Also available in:

    Le Catalogue ouest africain des espèces et variétés végétales (COAFEV) est un instrument majeur de l’harmonisation de la réglementation semencière mise en place par la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA), et le Comité permanent inter-Etats de lutte contre la sécheresse au Sahel (CILSS). Il représente la liste limitative des variétés ou types variétaux dont les semences peuvent être produites e t commercialisées dans la zone. Il est constitué par la somme des variétés inscrites dans les catalogues nationaux des États membres. Cette première version du catalogue contient également, pour une phase transitoire, les variétés les plus largement diffusées dans les pays de la zone. Onze espèces y sont inclues : le mil, le sorgho, le maïs, le riz, l’arachide, le niébé, l’igname, le manioc, la pomme de terre, l’oignon et la tomate. L’objectif de la mise en place de ce catalogu e régional est de simplifier les démarches permettant à une variété d’être commercialisée en Afrique de l’Ouest tout en garantissant la qualité des variétés mises sur le marché. Ce système permettra ainsi de donner accès aux agriculteurs de la zone à une plus grande diversité de variétés intéressantes pour l’agriculture ouest-africaine.
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    Manual on Mutation Breeding 2018
    Also available in:

    The 2nd edition of Manual on Mutation Breeding (MMB) was published in 1977. After nearly 40 years it is necessary to update Member States (MSs) with current knowledge in practical plant mutation breeding methods and to provide a comprehensive overview and guidelines for crop improvement using induced mutation and mutation breeding techniques. In 1977 there were 106 IAEA Member States, and as of March 2015 there are 164 MSs. The irradiation services for mutation induction in plant breeding has risen proportionally with the number of MSs. Therefore, the interest for mutation breeding has been increasing. There are now over 3222 mutant varieties released worldwide in over 200 crop species, as compared to 571 mutant varieties in 84 crop species in 1977. Plant mutation breeding continues to be an active area for crop improvement. Plant mutation breeding is under-going a renaissance with new methods and wide application to more crop species in which it can provide shortcuts in developing new mutant varieties. This is particularly relevant in safeguarding food security and is required to meet environmental challenges caused by climate change (resistance to pest and diseases and tolerance to abiotic stresses).
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    Légumes secs et exploitations durables en Afrique subsaharienne 2018
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    En Afrique subsaharienne, l’insécurité alimentaire touche 153 millions de personnes (soit 25 pour cent environ de la population). Le problème pourrait encore s’aggraver du fait de la dégradation constante des sols entraînée par la diminution du taux de matière organique et les apports insuffisants en éléments nutritifs. Plus de 75 pour cent des terres agricoles africaines pourraient être classées comme «dégradées» d’ici à 2020. Cette situation est susceptible de mettre en péril la production alimentaire en Afrique subsaharienne, tant que le plan quantitatif que qualitatif, ainsi que la durabilité des systèmes de production agricole existants. L’utilisation d’engrais pourrait renverser la tendance; or l’Afrique a une capacité de production d’engrais presque inexistante (elle dispose principalement d’installations qui effectuent des mélanges de produits fertilisants). Les engrais proviennent d’autres régions que l’Afrique et sont transportés à grands frais sur de longues distances. L’accès des agriculteurs d’Afrique subsaharienne aux engrais est de ce fait très limité, ce qui accroît encore le risque de dégradation des sols. Appréciés pour leurs multiples avantages, les légumes secs sont cultivés depuis longtemps en Afrique subsaharienne. Les légumes secs, et les légumineuses en général, peuvent être très utiles du fait de leur capacité à fixer biologiquement l’azote atmosphérique et à améliorer le renouvellement biologique du phosphore; ils pourraient donc devenir la pierre angulaire de l’agriculture durable en Afrique. À cet égard, un corpus de travaux publiés souligne l’importance de la diversification des systèmes de production existants, et notamment avec des légumineuses, qui apportent des services environnementaux essentiels – en matière de lutte contre l’érosion du sol et de reconstitution des stocks de nutriments des sols, par exemple. La présente publication s’intéresse à certaines des stratégies prometteuses qui s’attachent à promouvoir la culture et l’utilisation des légumineuses dans les petites exploitations agricoles d’Afrique subsaharienne. Elle s’inscrit dans le sillage de l’Année internationale des légumineuses, initiative ayant pour objet de mettre en avant la contribution des légumes secs au bien-être de l’humain et à l’environnement. L’un des problèmes rencontrés à l’échelle mondiale tient au fait que les statistiques ne reflètent pas bien la diversité des légumes secs. On ne sait pas précisément quels légumes secs sont cultivés, ni où ils sont cultivés. De ce fait, leur importance pour l’Afrique subsaharienne est sous-estimée, et on a tendance à moins investir dans la recherche sur les légumineuses. Les systèmes de production agricole existants sont dominés par les céréales, et se prêtent donc bien à une diversification par l’utilisation de variétés locales ou nouvelles de légumineuses. Le système de culture mixte basé sur le maïs se développe rapidement et est un exemple de diversification de ce type, notamment avec des variétés de haricot. Cela s’explique en partie par le nombre élevé de variétés de haricots qui ont été mises au point, dans le cadre de partenariats menés sur des décennies et soutenus par l’Alliance panafricaine de recherche sur le haricot, afin de répondre aux demandes des marchés locaux et régionaux. Ces recherches sur le haricot ont notamment permis de lancer des activités pionnières de sélection végétale participative et de vulgarisation, en association avec des organisations communautaires et des chaînes de valeur participatives, et de s’intéresser aux systèmes semenciers informels. Cet exemple montre comment la recherche sur les légumes secs peut changer la donne pour les petites exploitations d’Afrique subsaharienne, en élargissant l’éventail de possibilités offertes par la génétique et en soutenant l’innovation. De nombreuses variétés privilégiées par les agriculteurs méritent d’être mises en avant, de même que certaines techniques, telles que l’innovant système à double culture de légumineuses (SDCL) récemment annoncé par le Gouvernement malawien. Parallèlement, la présente étude met en évidence un retard dans le lancement de variétés s’agissant de certains légumes secs et la nécessité de mener sans délai de nouvelles recherches sur l’adoption, les obstacles à l’adoption et l’impact de l’adoption de nouvelles variétés. Parmi les priorités de recherche figurent les travaux destinés à mieux faire connaître et à diffuser les propriétés associées aux types de légumes secs polyvalents, qui sont très appréciés en Afrique subsaharienne. Les différents types de légumes secs remplissent différentes fonctions et, de manière générale, les légumes secs polyvalents sont ceux qui répondent le mieux aux divers besoins des agriculteurs (produits alimentaires, combustible, fourrage et services écosystémiques comme la pollinisation). Un compromis est nécessaire entre l’indice de récolte et les autres fonctions, trop souvent négligées par les chercheurs et les décideurs, qui ont tendance à se soucier presque exclusivement de l’augmentation des rendements en graines. Une autre question sur laquelle il faudrait se pencher sans délai est celle de la résistance aux organismes nuisibles et des approches éducatives et conseils agronomiques visant à renforcer la protection intégrée (PI) contre les ravageurs. Enfin, le rôle de certaines légumineuses et de leurs propriétés biochimiques dans la promotion de la santé des écosystèmes et des communautés est un domaine d’étude crucial, qui apportera des solutions urgentes nécessaires aux agricultrices et à la pérennité des communautés.
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    Catalogue ouest africain des espèces et variétés végétales 2008
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    Le Catalogue ouest africain des espèces et variétés végétales (COAFEV) est un instrument majeur de l’harmonisation de la réglementation semencière mise en place par la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA), et le Comité permanent inter-Etats de lutte contre la sécheresse au Sahel (CILSS). Il représente la liste limitative des variétés ou types variétaux dont les semences peuvent être produites e t commercialisées dans la zone. Il est constitué par la somme des variétés inscrites dans les catalogues nationaux des États membres. Cette première version du catalogue contient également, pour une phase transitoire, les variétés les plus largement diffusées dans les pays de la zone. Onze espèces y sont inclues : le mil, le sorgho, le maïs, le riz, l’arachide, le niébé, l’igname, le manioc, la pomme de terre, l’oignon et la tomate. L’objectif de la mise en place de ce catalogu e régional est de simplifier les démarches permettant à une variété d’être commercialisée en Afrique de l’Ouest tout en garantissant la qualité des variétés mises sur le marché. Ce système permettra ainsi de donner accès aux agriculteurs de la zone à une plus grande diversité de variétés intéressantes pour l’agriculture ouest-africaine.

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