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DocumentPerspectives agricoles de l'OCDE et de la FAO 2016-2025. Aperçus par produit: Produits halieutiques et aquacoles 2016
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En 2015, la production et la consommation de produits halieutiques et aquacoles ont enregistré une croissance soutenue. En 2014, pour la première fois, la part de l’aquaculture dans l’offre totale de poisson destiné à la consommation humaine a dépassé celle de la pêche et cette tendance s’est poursuivie en 2015. La même année, après une période d’expansion continue, les échanges de produits halieutiques et aquacoles ont reculé, en valeur. Ce fléchissement s’explique par une contraction de l’acti vité économique sur des marchés essentiels, l’évolution des taux de change et la diminution des prix du poisson. La Chine, premier pays producteur, transformateur et exportateur, et troisième importateur de produits halieutiques et aquacoles, est entrée dans une période de grande incertitude, allant jusqu’à réduire ses exportations de poissons, de mollusques et de crustacés en raison d’un ralentissement de son secteur de la transformation. La consommation de poissons et de fruits de mer de la Fé dération de Russie a subi les effets de son embargo commercial qui se poursuit sur les importations provenant de certains pays. En Norvège, la valeur totale des exportations a atteint des niveaux sans précédent, tandis qu’en Thaïlande et dans d’autres grands pays fournisseurs de crevettes, la baisse du prix de ce produit a fait chuter la valeur totale des exportations. Les captures d’anchois (destinées principalement à produire de la farine et de l’huile de poisson) ont été meilleures que prévu, réduisant ainsi certaines pressions exercées à court terme sur le prix de la farine et de l’huile de poisson.Lire le Résumé du rapport.
Télécharger les Perspectives chapitre par chapitre:
- Avant-propos
- Sigles et abréviations
- Sommaire
- Chapitre 1. Vue d’ensemble des Perspectives agricoles de l’OCDE et de la FAO 2016-2025
- Chapitre 2. L’agriculture en Afrique subsaharienne : Perspectives et enjeux pour la décennie à venir
- Chapitre 3. Aperçu par produit
- Céréales
- Oléagineux et produits oléagineux
- Sucre
- Viande
- Lait et produits laitiers
- Produits halieutiques et aquacoles
- Biocarburants
- Coton
- Annexe statisque
Des informations complémentaires sont disponibles en ligne sur le OCDE-FAO Perspectives Agricoles site internet.
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Book (series)La situation mondiale des pêches et de l'aquaculture 2014 (SOFIA)
Possibilités et défis
2014Le secteur de la pêche et de l’aquaculture, source vitale de moyens d’existence, d’aliments nutritifs et de débouchés économiques, a un rôle essentiel à jouer pour relever l’un des plus grands défis mondiaux: nourrir une population qui devrait atteindre 9.6 milliards d’individus en 2050. Cette année, La situation mondiale des pêches et de l’aquaculture revient sur la façon dont l’aquaculture poursuit sa remarquable progression, tant en volumes produits qu’en qualité de production. Cependant, il faut, pour répondre à la demande croissante d’une population en expansion, que le secteur dans son ensemble accroisse sa production de façon durable et réduise ses déperditions dans un contexte de changement climatique, de concurrence plus vive autour des ressources naturelles et d’intérêts divergents. Les progrès scientifiques et technologiques et l’amélioration de la gouvernance, alliés à une meilleure compréhension et à une plus grande volonté d’action à l’échelle mondiale, aident à concrétiser les objectifs d’utilisation responsable et durable des ressources aquatiques. Dans cet effort visant à accroître l’offre de poisson et de produits de la pêche, on innove en adoptant des approches axées sur une logique écosystémique et sur la protection des droits sociaux, le but ultime étant de préserver des ressources précieuses pour les générations présentes et futures. On trouvera les statistiques les plus récentes sur les pêches et l’aquaculture pour l’analyse de la situation et de l’évolution du secteur à l’échelle mondiale. Sont également abordés des problèmes plus généraux tels que la conservation et la gestion des requins, les pertes après capture dans la pêche artisanale et la gestion des eaux continentales dans l’intérêt de la pêche. Un certain nombre d’études apportent un éclairage sur des sujets tels que la gouvernance des régimes fonciers et l’utilisation des sous-produits de la pêche. Enfin, on trouvera un aperçu des perspectives du secteur et des approches qui permettront de répondre à la demande future de poisson. -
Book (series)Évaluation de l’avantage comparatif pour l’aquaculture: cadre d’évaluation et application à certaines espèces dans les pays en voie de développement. 2010
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Le commerce international des produits de la pêche s’est développé, en même temps que l’importance absolue et relative de l’aquaculture comme source de production halieutique. La crevette et le saumon sont deux exemples d’espèces élevées dans des pays en voie de développement et commercialisées au niveau international. Le degré de compétitivité d’un pays vis-à-vis d’autres producteurs est fonction, en partie, des modes de transport et de l’offre de produits alimentaires, mais aussi des coûts de production. L’avantage comparatif est un moyen de comparer les coûts relatifs et de désigner les espèces et les marchés présentant les plus grandes chances de réussite. Il existe toutefois des problèmes pour estimer l’avantage comparatif: la méthode peut être statique plutôt que dynamique et peut ne pas être révélatrice d’opportunités à long terme. Cependant, elle représente un outil utile pour les planificateurs qui élaborent des stratégies aquacoles et pour les pisciculteurs individuels. Deux méthodes existent pour évaluer les avantages comparatifs – elles ont toutes les deux été appliquées à l’aquaculture. La méthode du coût de la ressource intérieure (CRI) s’appuie sur les données de coûts de production pour comparer l’efficacité. L’existence de distorsions peut exiger l’évaluation de prix de référence pour refléter de véritables coûts d’opportunité sociaux, mais, sous réserve d’un ajustement convenable des prix de référence, le pays qui a le plus bas CRI a un avantage comparatif . La méthode CRI est dynamique, et fournit des informations utiles aux décideurs; cependant, les données relatives aux coûts peuvent être difficiles à obtenir et la fixation des prix de référence est alors problématique. La deuxième méthode est l’avantage comparatif révélé (ACR), où l’avantage comparatif est déduit d’après une évaluation a posteriori du commerce réel et du niveau de spécialisation. D’après les statistiques commerciales on peut savoir si un pays exporte une espèce en direction d’ un pays particulier plus que vers le reste du monde; s’il en est ainsi, il est jugé avoir un avantage comparatif dans ce marché particulier. La méthode ACR est plus descriptive et possède un potentiel prédictif moins marqué que l’approche CRI, mais elle a l’avantage de la disponibilité des données.Le présent document illustre le concept d’avantage comparatif et certaines de ses implications en termes de politiques en proposant deux études de cas: la première se concentre sur les pays exportateur s de crevettes alors que la deuxième est axée sur la production aquacole en eau douce de carpe, silure et tilapia. La méthode CRI est utilisée dans les deux cas.
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