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DocumentRecherche et étude génétique de la resistance de l’aubergine africaine (Solanum aethiopicum L., spp Kumba) aux acariens phytophages
Réseau Africain pour le Développement de l'Horticulture (RADHORT)
2012Also available in:
No results found.Les légumes de type africain, qui pendant longtemps ont été considérés comme secondaires, sont de nos jours progressivement pris en compte aux niveaux national et international. Ceci s’explique par leur valeur nutritive dans l’alimentation des zones rurales et le risque réel d’érosion génétique dont ils sont aujourd’hui menacés. Les aubergines africaines regroupent plusieurs espèces dont Solanum macrocarpon, S. anguivi et S. aethiopicum. Cette dernière, appelée jaxatu au Sénégal, est très répand ue en Afrique sous diverses formes variétales, et porte différents noms vernaculaires suivant les ethnies et les pays. La sous-espèce Kumba, la seule cultivée au Sénégal à travers plusieurs variétés locales et sélectionnées, compte parmi ses principaux problèmes phytosanitaires les attaques de deux familles d’acariens qui peuvent réduire les rendements de manière notable. Face aux difficultés rencontrées avec le contrôle chimique en raison entre autres du phénomène de résistance, les recherches se sont orientées depuis 1983 vers l’exploration des possibilités de la lutte génétique. Dans cet article, nous nous proposons de présenter et de discuter les principaux résultats de recherche relatifs à la mise en évidence de la résistance aux acariens du jaxatu et à la caractérisation de cette résistance au plan génétique. Ensuite, nous discuterons des perspectives d’exploitation horticole et de recherche qui ressortent de cette étude. -
DocumentRecherche et étude génétique de la resistance de l’aubergine africaine (Solanum aethiopicum L., spp Kumba) aux acariens phytophages
Réseau Africain pour le Développement de l'Horticulture (RADHORT)
2012Also available in:
No results found.Les légumes de type africain, qui pendant longtemps ont été considérés comme secondaires, sont de nos jours progressivement pris en compte aux niveaux national et international. Ceci s’explique par leur valeur nutritive dans l’alimentation des zones rurales et le risque réel d’érosion génétique dont ils sont aujourd’hui menacés. Les aubergines africaines regroupent plusieurs espèces dont Solanum macrocarpon, S. anguivi et S. aethiopicum. Cette dernière, appelée jaxatu au Sénégal, est très répand ue en Afrique sous diverses formes variétales, et porte différents noms vernaculaires suivant les ethnies et les pays. La sous-espèce Kumba, la seule cultivée au Sénégal à travers plusieurs variétés locales et sélectionnées, compte parmi ses principaux problèmes phytosanitaires les attaques de deux familles d’acariens qui peuvent réduire les rendements de manière notable. Face aux difficultés rencontrées avec le contrôle chimique en raison entre autres du phénomène de résistance, les recherches se sont orientées depuis 1983 vers l’exploration des possibilités de la lutte génétique. Dans cet article, nous nous proposons de présenter et de discuter les principaux résultats de recherche relatifs à la mise en évidence de la résistance aux acariens du jaxatu et à la caractérisation de cette résistance au plan génétique. Ensuite, nous discuterons des perspectives d’exploitation horticole et de recherche qui ressortent de cette étude. -
DocumentEtude de l’effet du piochage repete des parcelles, de la culture de patate douce et de l’utilisation du roundup dans la lutte contre cyperus rotundus en parcelles de maraîchage
Réseau Africain pour le Développement de l'Horticulture (RADHORT)
2012Also available in:
No results found.La lutte contre Cyperus rotundus (mauvaise herbe des parcelles de maraîchage) est une contrainte importante pour les paysans. En effet, du fait de son mode de reproduction presque exclusivement végétatif, cette adventice est difficile à éliminer. L’étude de trois méthodes de désherbage a permis de noter que l’ombrage provoqué par une culture dense de plantes étouffantes comme la patate douce sur parcelles infestées n’a pas donné de résultats satisfaisants dans la lutte contre Cyperus rotundus. L a culture de la patate douce arrête le développement de l’adventice, mais les bulbes déjà formés dans le sol restent en dormance et germent dès que les conditions redeviennent favorables. Il ressort également que le piochage répété des parcelles infestées est une pratique qui permet de réduire considérablement la population de C. rotundus. Cette technique est cependant lente et doit s’étendre sur une période assez longue au cours de laquelle la parcelle n’est pas cultivée. La lutte contre C. rot undus avec le Roundup (glyphosate) a montré que trois applications à la dose de 4 l/ha permet de réduire la population à un seuil où elle ne cause pas de dégâts aux cultures. Par contre, les parcelles entretenues n’ayant fait l’objet d’aucune pratique de lutte permettent à C. rotundus de boucler son cycle ; la réserve de bulbes du sol devient très importante. Ces organes se conservent dans le sol pendant plusieurs années et germent dès qu’on procède à la préparation du sol.
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