FAO. 2020. Mali | Plan de réponse de la maladie à coronavirus 2019 (covid-19): mai 2020–mai 2021. Rome.
Also available in:
No results found.
Related items
Showing items related by metadata.
-
Brochure, flyer, fact-sheetRépublique démocratique du Congo | Plan de réponse (avril-décembre 2020)
Atténuer l’impact de la maladie à coronavirus 2019 (covid-19) sur la sécurité alimentaire
2020Also available in:
No results found.La République démocratique du Congo est confrontée à des défis liés à la vulnérabilité de sa population et à l’insécurité alimentaire, principalement en raison d’un accès réduit aux services de base et aux infrastructures, à l’insécurité, aux conflits, et aux épidémies et épizooties. Par ailleurs, la prévalence des maladies à caractère épidémique (cholera, maladie à virus Ébola, paludisme, rougeole) contribue à la fragilité structurelle du pays, qui aggrave l’accès déjà limité des populations aux services sociaux de base. Aujourd’hui, la maladie à coronavirus 2019 (covid-19) touche la population congolaise et vient détériorer la situation d’un pays déjà fortement affaibli par les effets des épidémies. Les conflits, l’insécurité, les problèmes sanitaires et les mouvements de population ont perturbé les systèmes de production et de commercialisation des aliments de base au niveau de la plupart des provinces et des territoires, occasionnant ainsi une insécurité alimentaire et des taux de malnutrition alarmants. La République démocratique du Congo reste le deuxième pays le plus touché par l’insécurité alimentaire aiguë, après le Yémen. La stratégie de la FAO vise à renforcer la résilience des populations vulnérables face à la covid-19 et repose sur quatre priorités stratégiques: (i) la prévention de la propagation de la maladie à travers les campagnes d’information et de sensibilisation sur les mesures de prévention; (ii) la fourniture de données probantes pour la programmation et la prise de décision; (iii) le renforcement de la disponibilité et de l’accessibilité aux produits alimentaires; et (iv) une approche de développement territorial des chaînes de valuer. -
Brochure, flyer, fact-sheetMali | Plan de réponse humanitaire 2021 2021
Also available in:
En 2020, le Mali a été touché par des chocs multiples et persistants. La crise sociopolitique, l’insécurité accrue dans les régions du centre et du nord, et les aléas climatiques ont provoqué des déplacements de population, perturbé les moyens de subsistance, et exacerbé la vulnérabilité et l’insécurité alimentaire des ménages. De plus, les difficultés économiques liées aux effets de la maladie à coronavirus 2019 (covid-19) conduisent à une augmentation des besoins humanitaires dans le pays. Il est essentiel d’aider les agriculteurs et les éleveurs vulnérables à restaurer rapidement leurs moyens de subsistance et à renforcer leur résilience aux chocs futurs. -
DocumentPlan de réponse face à la crise alimentaire et nutritionnelle au Sahel. Document Strategique 2012. Version 2 2012
Also available in:
No results found.1. En 2011, des pluies sporadiques, des récoltes insuffisantes localisées ainsi que la hausse des prix alimentaire et des effets des crises dans la région ont eu un impact combiné sur les populations déjà très vulnérables dans les pays du Sahel. Il est estime que plus de 10 million de personnes sont en situation d’insécurité alimentaire et que plus d’un million d’enfants sont à risque de malnutrition aigüe sévère. Si la malnutrition et l’insécurité alimentaire devaient encore s’aggraver, le nomb re d’enfants voués à mourir ne cesserait d’augmenter. 2. La résilience de plus en plus limitée des populations face aux crises récurrentes au Sahel est une des caractéristiques de la région, où les ménages ne parviennent plus, au lendemain d’une crise, à reconstituer leurs moyens d’existence avant que n’arrive le choc suivant. Les enfants de la région du Sahel souffrent d’un taux très élevé de malnutrition, non seulement au moment du pic de soudure, mais également en période post récoltes. On e stime que chaque année, dans les 8 pays de la région sahélienne (Burkina Faso, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal, Tchad, nord du Nigéria et nord du Cameroun), environ 226.000 enfants meurent à cause de la malnutrition et ses conséquences sur leur santé. La vulnérabilité des ménages est encore accrue par des facteurs extérieurs, notamment le retour de plusieurs centaines de milliers de travailleurs migrants de Libye ou de Côte d’Ivoire, du fait des crises que ces pays ont connues en 2011. 3. Face à cette situation, les partenaires humanitaires regroupés au sein du Groupe de Travail Régional sur la Sécurité Alimentaire et la Nutrition présentent cette stratégie dont les objectifs sont de : i) renforcer la préparation au niveau régional ; ii) soutenir la coordination des acteurs de la réponse et faciliter le suivi de la situation ; iii) servir comme document de référence au cas où d’autres appels (Flash Appeals par exemple) sont élaborés dans les pays de la région ; iv) sensibiliser des b ailleurs ainsi que les partenaires et Gouvernements de la région à l’ampleur de ces crises et à leur caractère transfrontalier et à la nécessité d’y répondre à temps ; et v) faciliter la mobilisation des ressources. 4. En l’absence d’un appel consolidé (CAP) régional en 2012, ce document plus souple vise à appuyer les efforts en cours des différentes autorités nationales à travers une perspective régionale. Il inclut un plan de réponse chiffré des interventions indispensables pour atténuer les effets de la crise. Le montant total des interventions prévues pour répondre à la crise s’élève à US$724.546.917 dont $480.906.207 pour la sécurité alimentaire et $243.640.710 pour la nutrition Les chiffres des bénéficiaires par activité se trouvent dans les tableaux des budgets et besoins estimés, repris dans les plans de réponse (pages 16 et 19). 5. Il est toutefois important de signaler que les vulnérabilités actuelles ne pourront être éliminées par des interventions uniquement humanitaires. Le vrai défi consiste à briser le cercle vicieux de crises alimentaires et nutritionnelles qui semblent frapper à intervalles toujours plus rapprochés des populations dont la résilience ne cesse de faiblir. Il est donc indispensable de fournir des ressources adéquates pour des programmes à long terme qui permettront de traiter durablement les causes structurelles de l’insécurité alimentaire et de la malnutrition dans le Sahel. Il faudra pour cela adopter des stratégies intégrées au sein des gou vernements, entre les gouvernements de la région et avec la participation active de la société civile, des partenaires au développement et du secteur privé.
Users also downloaded
Showing related downloaded files
No results found.