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Le Niger – Programme de résilience (juillet 2021-juin 2024)

Améliorer la résilience, la sécurité alimentaire et la nutrition des populations touchées par les chocs naturels et les conflits dans la région de Diffa









FAO. 2021. Le Niger – Programme de résilience (juillet 2021-juin 2024). Améliorer la résilience, la sécurité alimentaire et la nutrition des populations touchées par les chocs naturels et les conflits dans la région de Diffa. Rome. 


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    Article
    Optimisation de la gestion actuelle des ressources forestières : critique constructive du Projet pilote REDD+ de Lagdo au nord Cameroun
    XVe Congrès forestier mondial, du 2 au 6 mai 2022
    2022
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    Le processus REDD+ est une initiative internationale qui s’adresse aux pays en développement, les incitants à travers des projets pilotes à mieux conserver leurs forêts. Le Bassin du Congo – 2 e plus grand massif forestier après la forêt amazonienne - qui est une zone riche en biodiversité et surtout en stock de carbone, constitue une zone propice à la mise œuvre de l’initiative REDD+. Le Cameroun y possède une richesse forestière d’environ 19 millions ha repartie dans une zone méridionale et une zone soudano-sahélienne. L’espace soudano-sahélien est le plus fragilisé, et dans le cadre du projet pilote REDD+ à Lagdo, les sources de dégradation relevées dans ce projet ont été examinées ainsi que leurs conséquences. Pour évaluer la durabilité de ce projet, une enquête a été effectuée sur 2274 ménages riverains, et des mesures d’optimisation ont été proposées. Il en résulte que les activités socioéconomiques des riverains figurent parmi les vecteurs de la dégradation forestière. Ces activités seraient également en parti responsable de l’ensablement du Lac de Lagdo (582km2) sur lequel a été construit le barrage permettant de desservir environ 6,5 millions d’habitants en énergie électrique, et de fournir des services écosystèmiques aux populations du nord-Cameroun et des pays voisins (Nigéria, Tchad et RCA). Pour atténuer cette situation, le projet a octroyé 600 foyers améliorés aux riverains, fabriqués par 30 artisans locaux. Ceci a conduit à une réduction de 57% du bois pour la cuisson. Par ailleurs, 1012 ha ont été reboisés et 60 agriculteurs ont été formés sur la fabrication du compost. Toutefois, des limites ont été observées d’après notre étude notamment ceux qui utilisent déjà le compost (17%) dont 5% de manière combinée, certains plants d’arbres sont consommés par les bovins etc. Pour optimiser le fonctionnement du projet, des mesures adaptées ont été préconisées notamment les champs école-paysans, les technologies améliorées (biodigesteur, biocharbon, etc.). Mots clés : Changement climatique ; Déforestation et dégradation des forêts ; Gestion durable des forêts ; Agriculture ; Conflit. ID: 3624045
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    Bulletin d’information FAO Burkina Faso, juillet 2021 - no. 1
    Sécurité alimentaire et analyse des risques dans le Centre-Nord, Est, Nord et Sahel
    2021
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    Au Burkina Faso, les quatre régions les plus touchées par la crise sécuritaire – le Centre-Nord, l’Est, le Nord et le Sahel – continuent de faire face à une situation humanitaire sans précèdent. La détérioration de l’insécurité dans le pays provoque des déplacements massifs de population, un accès limité à certaines communes et entrave l’accès aux marchés et aux champs, impactant gravement les moyens d'existence et les activités de production agricole. La soudure pastorale (mars-avril 2021) a été rendue difficile pour les éleveurs en raison de l’interdiction de l’entrée des transhumants étrangers sur le territoire béninois et la fermeture récente de la frontière du Togo liée à la pandémie de covid-19, la fermeture de certains marchés à bétail et la perturbation des mouvements des animaux. Les éleveurs ont également été touchés par la raréfaction des pâturages naturels, le tarissement des points d’eau, avec souvent pour seule source disponible les puits et les forages, et une augmentation des prix du bétail. Dans les quatre régions du pays, de nouveaux déplacés ont déjà été enregistrés ou sont attendus au cours des prochains mois et leurs besoins d’assistance, notamment alimentaire, en soins vétérinaires, aliments pour bétail, intrants et équipements de production agropastorale, ainsi que pour un accès sécurisé aux terres agricoles, pâturages et ressources naturelles, n’ont pas encore été couverts. Pour une réponse en phase avec les besoins des PDI et des personnes vulnérables, il est indispensable de disposer d’informations sur l’effectif du cheptel exposé à la soudure pastorale, les besoins en intrants agropastoraux des PDI et les superficies disponibles et accessibles à mettre à leur disposition pour la production agricole. Il est crucial de permettre aux populations de produire leur propre nourriture pendant la prochaine campagne humide, et de mettre en place des activités génératrices de revenus pour la promotion de leur autonomie financière et le rétablissement de leurs moyens d’existence.
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    Journal, magazine, bulletin
    Sécurité alimentaire et implications humanitaires en Afrique de l’ouest et au Sahel. N°49 - Septembre 2013 2013
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    La situation alimentaire au nord du Mali reste très précaire, à cause des effets du conflit sur les moyens d’exis-tence des ménages, des prix élevés des céréales, de la baisse du pouvoir d’achat des ménages et du retard dans la mise en oeuvre de certaines interventions alimentaires ou non alimentaires. Près de la moitié de la population a recours à des stratégies d’adaptation d’urgence ou de crises. Les estimations provisoires des récoltes indiquent que l’abondance et la bonne répartition des pl uies aux mois d’août et de septembre ont atténué les effets du retard de l’arrivée des pluies dans la plupart des zones agricoles du Sahel. Cependant, dans certaines zones, les pluies doivent continuer jusqu’en octobre pour espérer des ren-dements satisfaisants. Globalement, on s’attend à une année relativement moyenne dans la région. En terme de présence de pâturage et d’état d’embonpoint du bétail, la situation pastorale correspond également à une an-née moyenne, avec toutefois des déficits lo calisés de pâturage observés en Mauritanie, au Mali, au Niger, au Sénégal et au Tchad.

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