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Appui à la réforme de la chambre d’agriculture, d’élevage, des eaux, forêts, chasses, pêches et du tourisme - TCP/CAF/3604

Year of publication 2020

Place of publication Rome, Italie ;

Pages 7

Publisher FAO ;

Product type Project

Edition 1

Synopsis (short abstract) Le monde rural centrafricain est caractérisé depuis plusieurs décennies par un niveau d’insécurité élevé qui a limité l’activité agricole et les efforts de structuration en Organisations paysannes agricoles et rurales ( Faute du soutien actif de ces OPAR, toute relance durable de la filière agricole susceptible de contribuer au développement économique du pays demeure incertaine Dans le cadre de la stratégie nationale prioritaire pour le relèvement économique et une croissance inclusive et en s’appuyant sur de précédents projets, le Gouvernement s’est engagé dans la réforme de la Chambre d’agriculture, d’élevage, des eaux, forêts, chasses, pêches et du tourisme ( afin d’en accroître l’efficacité et la représentativité Le projet devait permettre la mise en place de structures décentralisées, les Chambres régionales d’agriculture ( représentatives de la profession agricole et capables de soutenir et former leurs adhérents.

Language French

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    La gestion durable des forêts est une priorité cruciale en Côte d'Ivoire, où le couvert forestier national a connu une régression alarmante, passant de 37 pour cent du territoire en 1960 à seulement 9 pour cent en 2015. Le taux moyen de déforestation, déjà préoccupant à 1,5 pour cent entre 1900 et 1980, a grimpé à 4,3 pour cent entre 1990 et 2015, ce qui en fait l’un des plus élevés au monde. Une grande partie de ces forêts a été convertie en cacaoyères, faisant de la culture du cacao la principale menace pour les forêts, malgré son rôle central dans l’économie nationale. Les données du recensement agricole 2015–2016 indiquent qu’environ 850 000 chefs d’exploitation cultivent le cacao, impliquant 8,5 millions de personnes et couvrant 8 millions d’hectares. La filière représente 15 pour cent du produit intérieur brut (PIB), 40 pour cent des recettes d’exportation et 16,3 pour cent des recettes fiscales du pays. Pour remédier durablement à cette déforestation, le Gouvernement ivoirien a adopté, en 2018, la Politique de préservation, de réhabilitation et d’extension des forêts (PREF).
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    Appui à l’élaboration du schéma direteur sur la valorisation integrée des ressources en eau pour l’agriculture, l’élevage et la pêche en République du Congo: départements de cuvette, plateaux, pool, niari, kouilou et bouenza - TCP/PRC/3604 2020
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    Le projet a permis la mise en évidence du potentieldes ressources en eau dans les régions ciblées et despossibilités pour en tirer le meilleur parti. La définitionet l’application d’un schéma directeur de valorisationintégrée des ressources en eau contribueront àintensifier et à améliorer de manière durable l’apportde biens et de services issus de l’agriculture, de laforesterie et des pêches par la mise en place dessystèmes intégrés d’utilisation des ressources à traversla gestion des ressources en eaux et la conservation dela fertilité des sols.
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    Appui à la restauration des paysages et forêts en Guinée - TCP/GUI/3702 2023
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    En Guinée, 85 pour cent de la population est tributaire des forêts (défrichements culturaux, exploitation du bois d’oeuvre, charbon de bois, produits forestiers non ligneux, chasse, etc Le secteur est actuellement caractérisé par une dégradation généralisée et poussée des ressources forestières et fauniques Cette situation est principalement due à une concurrence entre la satisfaction des besoins en produits forestiers et celle des besoins alimentaires (utilisation du foncier) d’une part, et à une mauvaise évaluation de l’importance des forêts dans l’économie nationale et une prolifération d’intervenants d’autre part L’impact négatif des activités humaines sur les ressources forestières est accentué par les facteurs climatiques, dont les manifestations majeures sont la baisse de la pluviométrie, les sécheresses épisodiques et les inondations.
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