Thumbnail Image

Appui à la lutte contre les maladies, ravageurs et les parasites d’anacardier (Anacardium Occidentale) en Guinée-Bissau - TCP/GBS/3801










Also available in:
No results found.

Related items

Showing items related by metadata.

  • Thumbnail Image
    Project
    Factsheet
    Projet d’appui à la lutte contre la chenille légionnaire d’automne en Guinée-Bissau - TCP/GBS/3605 2020
    Also available in:
    No results found.

    La Chenille légionnaire d’automne (CLA) s’attaque aux principales cultures de céréales et aux cultures maraîchères. Elle a été identifiée pour la première fois en Guinée Bissau en août 2017. L’importante diminution des rendements agricoles qu’elle a d’ores et déjà provoquée, alors que plus de 90 pour cent de la population dépendent de ces denrées pour assurer leur sécurité alimentaire et nutritionnelle, ont amené le Gouvernement à déclarer l’état d’urgence face à l’infestation. Parallèlement à une aide d’urgence qui avait pour but de limiter la propagation du ravageur et les pertes de productions, le projet visait à protéger les moyens de subsistance et la sécurité alimentaire des populations des zones touchées par la CLA et à renforcer les capacités de surveillance et de gestion du ravageur, en limitant le recours aux pesticides synthétiques toxiques habituellement utilisés.
  • Thumbnail Image
    Project
    Factsheet
    Appui au renforcement des capacités et opérationnalisation du Laboratoire national des sols en Guinée-Bissau - TCP/GBS/3802 2025
    Also available in:
    No results found.

    L’agriculture demeure l’activité économique dominante en Guinée Bissau, contribuant, en 2017, à plus de 50 pour cent du produit intérieur brut (PIB), représentant plus de 80 pour cent des exportations et employant 82 pour cent de la population active. Elle se divise en deux catégories de producteurs: d’une part, les petits exploitants des villages (tabancas), estimés à près de 130 000, qui constituent l’essentiel de la population rurale et réalisent 90 pour cent de la production; d’autre part, les producteurs modernes, appelés ponteiros, qui sont généralement des agriculteurs disposant de concessions foncières importantes. Ces derniers exploitent 27 pour cent des terres cultivables et cultivent les meilleures terres agricoles du pays. Malgré son fort potentiel agricole, le pays ne disposait en 2021 d’aucune information fiable sur les types de sols agricoles et non agricoles, des données essentielles pour attirer de nouveaux investisseurs dans le secteur rural. De plus, le seul laboratoire national des sols (LNS) existant, placé sous la tutelle du Ministère de l’agriculture et du développement rural (MADR), était dans un état de délabrement avancé.
  • Thumbnail Image
    Project
    Factsheet
    Appui à la mise en place de systèmes techniques et organisationnels de multiplication des semences de cultures vivrières commerciales en Guinée-Bissau - TCP/GBS/3601 2020
    Also available in:
    No results found.

    La Guinée-Bissau est un Pays à faible revenu et à déficit vivrier (PFRDV) et fait partie des Pays les moins avancés (PMA). L’agriculture est considérée comme le moteur de l’économie nationale et constitue une source d’emploi pour une grande majorité de la population (près de 82 pour cent de la population active). Cependant, elle reste rudimentaire et de subsistance. L’augmentation de la production est essentiellement due à l’extension des superficies mises en valeur, plutôt qu’à un accroissement des rendements, qui demeurent faibles (autour de 2 à 3 tonnes/ha pour le riz, par exemple). Les difficultés d’accès aux intrants, notamment aux semences et aux plants de qualité, ont été identifiées par les structures techniques du Ministère de l’agriculture et du développement rural (MADR) comme l’une des contraintes majeures à l’amélioration de la productivité des systèmes de production actuels. En effet, les agriculteurs bissau-guinéens connaissent de sérieuses difficultés pour s’approvisionner en semences de qualité des cultures vivrières. Cette situation entrave la relance de la production vivrière, l’amélioration de la sécurité alimentaire, la création des emplois et la génération des revenus.

Users also downloaded

Showing related downloaded files

  • Thumbnail Image
    Book (stand-alone)
    Technical book
    Russian Federation: Meat sector review
    Country highlights prepared under the FAO/EBRD Cooperation
    2014
    Also available in:

    World food demand has seen massive changes, including a shift from staple foods to animal proteins and vegetable oils. In the short to medium term, this trend in global food demand will continue. There will be an increased demand for vegetable oils, meat, sugar, dairy products and livestock feed made from coarse grains and oilseed meals. There are numerous mid-term forecasts for the Russian Federation’s meat sector. Most of them agree on the following trends: (i) the consumption of poultry and p ork meat will increase; (ii) the consumption of beef will decrease or stabilize; and (iii) the Russian Federation will remain a net importer of meat on the world market. According to OECD and FAO projections, meat imports from the Russian Federation will decrease from 3 to 1.3 million tonnes, owing to an anticipated growth in domestic chicken meat and pork production. The country’s share in global meat imports is anticipated to decrease from 12 percent in 2006–2010, to 4 percent in 2021. While t he Russian Federation will continue to play an important role in the international meat market, it will fall from its position as the largest meat importing country in 2006–2010 to the fourth largest global meat importer by 2021, behind Japan, sub-Saharan African countries, and Saudi Arabia.
  • Thumbnail Image
    Booklet
    Corporate general interest
    Emissions due to agriculture
    Global, regional and country trends 2000–2018
    2021
    Also available in:
    No results found.

    The FAOSTAT emissions database is composed of several data domains covering the categories of the IPCC Agriculture, Forestry and Other Land Use (AFOLU) sector of the national GHG inventory. Energy use in agriculture is additionally included as relevant to emissions from agriculture as an economic production sector under the ISIC A statistical classification, though recognizing that, in terms of IPCC, they are instead part of the Energy sector of the national GHG inventory. FAO emissions estimates are available over the period 1961–2018 for agriculture production processes from crop and livestock activities. Land use emissions and removals are generally available only for the period 1990–2019. This analytical brief focuses on overall trends over the period 2000–2018.
  • Thumbnail Image
    Book (stand-alone)
    Technical book
    The future of food and agriculture - Trends and challenges 2017
    Also available in:
    No results found.

    What will be needed to realize the vision of a world free from hunger and malnutrition? After shedding light on the nature of the challenges that agriculture and food systems are facing now and throughout the 21st century, the study provides insights into what is at stake and what needs to be done. “Business as usual” is not an option. Major transformations in agricultural systems, rural economies, and natural resources management are necessary. The present study was undertaken for the quadrennial review of FAO’s strategic framework and for the preparation of the Organization Medium-Term plan 2018-2021.