Thumbnail Image

Note d’orientation: mesures non tarifaires dans le secteur agricole

Mettre la zone de libre-échange continentale africaine au service des femmes











FAO et CCI. Note d’orientation: mesures non tarifaires dans le secteur agricole - Mettre la zone de libre-échange continentale africaine au service des femmes. Rome.




Also available in:

Related items

Showing items related by metadata.

  • Thumbnail Image
    Policy brief
    Policy brief
    Note d’orientation: Facilitation des échanges dans le secteur agricole
    Mettre la zone de libre-échange continentale africaine au service des femmes
    2023
    Also available in:

    La Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) est une puissante stratégie qui promet de renforcer les moyens de subsistance des populations africaines. L'accord englobe plus de 54 pays et soutient un marché de plus de 1,4 milliard de personnes avec un produit intérieur brut combiné de 2,5 trillions de dollars et en pleine expansion. La nouvelle zone de libre-échange offre une occasion unique d'accroître la participation de l'Afrique au commerce mondial et d'atteindre les objectifs de l'Agenda 2063, mais ces objectifs peuvent uniquement être atteints si la mise en œuvre de l'accord est équitable et inclusive. Pour s'assurer que la mise en œuvre de la ZLECAf est équitable et inclusive, les obstacles liés au genre doivent être éliminés et les femmes doivent avoir une voix active dans les processus de prise de décision. Les entités chargées de la mise en œuvre et les autorités doivent effectuer des analyses de genre et donner la priorité aux besoins et aux défis des femmes, en facilitant leur transition vers des marchés et des chaînes de valeur de plus en plus formels. La FAO et le Centre du commerce international (CCI) se sont associés pour apporter leur soutien aux femmes afin qu'elles surmontent les obstacles liés au genre dans le cadre de l'accord. Le programme Renforcer l'autonomie des femmes et les moyens de subsistance par le biais du commerce agricole : Tirer parti de l'AfCFTA a été élaboré en 2021 avec l'objectif de promouvoir la participation des femmes à la zone de libre-échange et d'améliorer leur accès aux activités de renforcement des capacités et de production, en capitalisant sur les nouvelles opportunités de commerce régional créées par la ZLECAf. Dans le contexte du programme, des notes de synthèse ont été rédigées sur la base d'études approfondies sur la facilitation du commerce et les mesures non tarifaires, les mesures sanitaires et phytosanitaires et les obstacles techniques au commerce. Cette note politique examine le rôle de la ZLECAf dans la résolution des problèmes de facilitation du commerce liés au genre auxquels sont confrontées les femmes agripreneurs et commerçantes d'Afrique subsaharienne.
  • Thumbnail Image
    Policy brief
    Policy brief
    Note d'orientation nº7: Éléments de stratégies pour stimuler les investissements responsables des jeunes en vue d’un renforcement des filières agricoles et agroalimentaires territorialisées en Tunisie
    Note de synthèse des recommandations du Pôle de réflexion sur l’investissement des jeunes agri-entrepreneurs (PRIJA)
    2022
    Also available in:
    No results found.

    La Tunisie est confrontée à une crise économique de grande ampleur, conséquence de la covid-19 et de la guerre en Ukraine, frappant une économie qui ralentissait déjà. Ces crises conjoncturelles ont exacerbé des fragilités structurelles – en particulier le faible taux d’investissement et de création d’emplois dans les zones rurales, ainsi que le chômage élevé, notamment parmi les jeunes. Compte tenu de ces défis, il est impératif de stimuler des investissements responsables dans l’agriculture et les systèmes alimentaires, portés prioritairement par les jeunes, permettant de moderniser, renforcer et revaloriser les filières agricoles tunisiennes et d’y apporter l’innovation nécessaire pour augmenter la production et la productivité pour la sécurité alimentaire nationale; de renforcer l’organisation des producteurs autour d’une dynamique territoriale; et de créer des emplois décents, tout en respectant les ressources naturelles et en valorisant l’héritage culturel. Cette note vise à apporter des réponses en ce sens. Elle résume les principales recommandations du Pôle de réflexion sur les investissements des jeunes agri-entrepreneurs (PRIJA), animé par une équipe du Laboratoire d’économie rurale (LER) de l’Institut national de la recherche agronomique de Tunisie (INRAT), organisé en coopération avec l’Agence de promotion des investissements agricoles (APIA) et la FAO. Elle met en relief l’importance de la mise en place d’une stratégie nationale cohérente permettant d’articuler un ensemble de réformes potentielles qui devraient être concertées par les différentes institutions de l’écosystème de l’entrepreneuriat agricole.
  • Thumbnail Image
    Policy brief
    Policy brief
    Note d'orientation nº3: Des informations disponibles et accessibles pour un environnement favorable à l’investissement responsable des jeunes dans le secteur agricole et les systèmes agroalimentaires
    Solutions à court terme
    2021
    Also available in:
    No results found.

    En Tunisie, le renouvellement générationnel des chefs d'exploitation et la revitalisation de l'environnement de la production agricole et des territoires nécessitent une intensification des opérations d'investissement réalisées en priorité par les jeunes. En même temps, les investissements capables de revitaliser les zones rurales contribueraient à lutter contre le chômage des jeunes en Tunisie, qui est particulièrement élevé dans les régions intérieures du pays. Ce document d’orientation fournit des recommandations concrètes pour rendre l'information plus accessible et disponible pour les jeunes afin de renforcer leur capacité à investir par des actions à court terme, y compris (i) le renforcement de l'accès à l'information sur les opportunités d'investissement, les services et les incitations; (ii) la mobilisation des opportunités que les technologies de l'information et des communications présentent pour améliorer l'accès et la disponibilité de l'information; et (iii) des incitations pour encourager les jeunes agro-entrepreneurs à s'organiser, à se mettre en réseau et à former des partenariats. Le document d’orientation fait partie d'une série de notes sur la promotion de l'investissement responsable des jeunes en Tunisie couvrant (i) la coordination et le cadre institutionnel; (ii) les services financiers; et (iii) l'accès à l'information et la communication. Ces notes sont le résultat du travail de trois groupes de travail mis en place dans le cadre du Pôle de réflexion sur les investissements des jeunes agri-entrepreneurs (PRIJA) de l'Institut National de la Recherche Agronomique de Tunisie (INRAT), organisé en coopération avec la FAO et l'Agence de Promotion des Investissements Agricoles (APIA).

Users also downloaded

Showing related downloaded files

  • Thumbnail Image
    Booklet
    Corporate general interest
    Emissions due to agriculture
    Global, regional and country trends 2000–2018
    2021
    Also available in:
    No results found.

    The FAOSTAT emissions database is composed of several data domains covering the categories of the IPCC Agriculture, Forestry and Other Land Use (AFOLU) sector of the national GHG inventory. Energy use in agriculture is additionally included as relevant to emissions from agriculture as an economic production sector under the ISIC A statistical classification, though recognizing that, in terms of IPCC, they are instead part of the Energy sector of the national GHG inventory. FAO emissions estimates are available over the period 1961–2018 for agriculture production processes from crop and livestock activities. Land use emissions and removals are generally available only for the period 1990–2019. This analytical brief focuses on overall trends over the period 2000–2018.
  • Thumbnail Image
    Booklet
    High-profile
    FAO Strategy on Climate Change 2022–2031 2022
    The FAO Strategy on Climate Change 2022–2031 was endorsed by FAO Council in June 2022. This new strategy replaces the previous strategy from 2017 to better FAO's climate action with the Strategic Framework 2022-2031, and other FAO strategies that have been developed since then. The Strategy was elaborated following an inclusive process of consultation with FAO Members, FAO staff from headquarters and decentralized offices, as well as external partners. It articulates FAO's vision for agrifood systems by 2050, around three main pillars of action: at global and regional level, at country level, and at local level. The Strategy also encourages key guiding principles for action, such as science and innovation, inclusiveness, partnerships, and access to finance.
  • Thumbnail Image
    Book (stand-alone)
    Technical book
    Russian Federation: Meat sector review
    Country highlights prepared under the FAO/EBRD Cooperation
    2014
    Also available in:

    World food demand has seen massive changes, including a shift from staple foods to animal proteins and vegetable oils. In the short to medium term, this trend in global food demand will continue. There will be an increased demand for vegetable oils, meat, sugar, dairy products and livestock feed made from coarse grains and oilseed meals. There are numerous mid-term forecasts for the Russian Federation’s meat sector. Most of them agree on the following trends: (i) the consumption of poultry and p ork meat will increase; (ii) the consumption of beef will decrease or stabilize; and (iii) the Russian Federation will remain a net importer of meat on the world market. According to OECD and FAO projections, meat imports from the Russian Federation will decrease from 3 to 1.3 million tonnes, owing to an anticipated growth in domestic chicken meat and pork production. The country’s share in global meat imports is anticipated to decrease from 12 percent in 2006–2010, to 4 percent in 2021. While t he Russian Federation will continue to play an important role in the international meat market, it will fall from its position as the largest meat importing country in 2006–2010 to the fourth largest global meat importer by 2021, behind Japan, sub-Saharan African countries, and Saudi Arabia.