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Rapport de la Consultation nationale pour examiner les systèmes de cogestion AMP et pêches au Cabo Verde









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    Brochure, flyer, fact-sheet
    Brochure
    Rapport final de la Consultation nationale (étude-analyse) sur les systèmes de cogestion au sein des AMPs du Sénégal 2014
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    Le projet « Démonstration des Aires marines protégées en tant qu’outils permettant de dégager des bénéfices de la gestion de ressources multiples » (Projet de Démonstration CCLME n°4, inclus sous l'égide du Projet de Protection du Grand Ecosystème Marin du Courant des Canaries (CCLME)), vise à appuyer la cogestion des pêches au sein des Aires Marines Protégées ouest-africaines. Une première étape a consisté à identifier les bonnes pratiques et leçons apprises dans les pays participants au projet de Démonstration n°4 (Cap-Vert, Gambie, Guinée, Guinée-Bissau, Mauritanie et Sénégal).
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    Booklet
    Technical study
    Rapport de la consultation nationale (études-analyses) sur les systèmes de cogestion au sein des AMPs de la Mauritanie 2014
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    Vaste zone marine qui s’étend du Maroc à la Guinée (le Cap Vert y compris), l’écosystème du courant des canaries constitue un des plus importants Grands Ecosystèms Marins (GEMs) de l’Afrique de l’Ouest. En effet, de part sa production halieutique annuelle comprise entre 2 à 3 millions de tonnes, ce GEM procure également à nos pays des biens et services inestimables en termes d’habitats critiques pour les poissons, du bois provenant des mangroves et des espaces côtiers et marins récréatifs et/ou pour le développement d’activités économiques (le tourisme, l’urbanisme, le transport, etc.). Cependant, cette zone n’échappe pas à la situation mondiale des GEMs qui se caractérise par une tendance globale à la dégradation.
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    Booklet
    Technical study
    Consultation nationale (étude-analyse) sur les systèmes de cogestion au sein des AMPs de la Guinée-Bissau 2014
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    La Guinée-Bissau a actuellement 6 aires protégées. Quatre de ces zones ont une composante maritime forte, y compris Orango et Joao Vieira Poilão, zone protégée des îles Communautaires Urok et le parc national parc naturel Tarrafes Cacheu. Il existe quatre (4) types de gouvernance d’une aire protégée : (a) Les aires protégées sous l’autorité du gouvernement ; (b) les aires protégées sous l’autorité de plusieurs parties prenantes (gouvernance partagée) ; (c) les aires protégées sous l’autorité des privés (généralement les propriétaires des terres ou des terres ou des ressources naturelles concernées), (d) les aires protégées sous l’autorité des peuples autochtones et des communautés locales sédentaires et mobiles avec des droits coutumiers et/ou légaux (ces aires protégées sont génériquement appelées Aires du Patrimoine Autochtones et Communautaire ou APACs). Dans le cas spécifique de nos aires protégées, le système de gouvernance est partagé dans lequel les communautés résidantes et les institutions de l'État sont membres du conseil d'administration et des structures de prise de décision. L’Institut de Biodiversité et des Aires Protégées (IBAP) est la structure de l’Etat de Guinée Bissau responsable de la gestion des Aires marines Protégées. Il travaille en collaboration avec le secteur des pêches qui est considéré comme stratégique dans le plan de développement de la Guinée-Bissau, et qui contribue substantiellement aux recettes fiscales de l’Etat. D'autre part, la pêche est également considérée comme un secteur important dans la stratégie nationale de lutte contre la pauvreté et la sécurité alimentaire du pays. L'Institut de la biodiversité et des aires protégées (IBAP) en tant que gestionnaire des aires protégées a pour mission de gérer les aires protégées et de la biodiversité, l’amélioration des connaissances scientifiques et des savoirs traditionnels, encourager la participation et les synergies au niveau local nationale et internationale.

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    Book (series)
    Technical study
    Fishing with beach seines 2011
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    This document provides a global overview of beach seine fisheries and identifies key issues relevant for the responsible use of beach seines and the sustainable livelihoods of beach seine fishers. It also gives guidelines for fisheries managers and other stakeholders on how best to address the issues of management processes and measures, which have the mutually beneficial goals of restoring and conserving the health of fishery resources and their habitats and safeguarding the livelihoo ds of fishers and their communities. The document draws on the findings of case studies coordinated and funded by the Food and Agriculture Organization of the United Nations (FAO) Fisheries and Aquaculture Department in the Gambia, India, Kenya, Mozambique, Peru and Sri Lanka, and by the FAO/United Kingdom Department for International Development (DFID) Sustainable Fisheries Livelihoods Programme (SFLP) in Benin, Ghana and Togo. In addition to the findings of the case studies, other studies and publications on beach seines were reviewed and used for the preparation of this document.
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    Book (series)
    Flagship
    The State of the World's Land and Water Resources for Food and Agriculture (SOLAW)
    Managing systems at risk
    2011
    This edition of The State of the World’s Land and Water Resources for Food and Agriculture presents objective and comprehensive information and analyses on the current state, trends and challenges facing two of the most important agricultural production factors: land and water. Land and water resources are central to agriculture and rural development, and are intrinsically linked to global challenges of food insecurity and poverty, climate change adaptation and mitigation, as well as d egradation and depletion of natural resources that affect the livelihoods of millions of rural people across the world. Current projections indicate that world population will increase from 6.9 billion people today to 9.1 billion in 2050. In addition, economic progress, notably in the emerging countries, translates into increased demand for food and diversified diets. World food demand will surge as a result, and it is projected that food production will increase by 70 percent in t he world and by 100 percent in the developing countries. Yet both land and water resources, the basis of our food production, are finite and already under heavy stress, and future agricultural production will need to be more productive and more sustainable at the same time.
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    Book (series)
    Guideline
    Développement de l’aquaculture. 4. Une approche écosystémique de l’aquaculture. 2011
    Les dimensions sociales et biophysiques des écosystèmes sont inextricablement liées de telle manière qu’un changement dans une seule dimension est très susceptible de générer un changement dans une autre. Bien que le changement est une conséquence naturelle des interactions complexes, il doit être surveillé et même géré si le taux et la direction du changement risquent de compromettre la résilience du système. “Une approche écosystémique de l’aquaculture (AEA) est une stratégie pou r l’intégration de l’activité dans l’écosystème élargi de telle sorte qu’elle favorise le développement durable, l’équité et la résilience de l’interconnexion des systèmes socio-écologiques.” Etant une stratégie, l’approche écosystémique de l’aquaculture (AEA) n’est pas ce qu’on a fait, mais plutôt comment on l’a fait. La participation des parties intéressées est à la base de la stratégie. L’AEA exige un cadre politique approprié dans lequel la stratégie se développe en plusieurs é tapes: (i) la portée et la définition des limites des écosystèmes et l’identification de la partie intéressée; (ii) l’identification des problèmes principaux; (iii) la hiérarchisation des problèmes; (iv) la définition des objectifs opérationnels; (v) l’élaboration d’un plan de mise en oeuvre; (vi) le processus de mise en oeuvre correspondant qui comprend le renforcement, le suivi et l’évaluation, et (vii) un critique des politiques à long terme. Toutes ces étapes sont informées par les meilleures connaissances disponibles. La mise en oeuvre de l’AEA exigera le renforcement des institutions et des systèmes de gestion associés de sorte qu’une approche intégrée du développement de l’aquaculture peut être mise en oeuvre et compte entièrement des besoins et des impacts d’autres secteurs. La clé sera de développer des institutions capables d’intégration, notamment en fonction des objectifs et des normes convenus. L’adoption généralisée d’une AEA exigera un couplag e plus étroit de la science, la politique et la gestion. Elle exige aussi que les gouvernements incluent l’AEA dans leurs politiques de développement de l’aquaculture, stratégies et plans de développement.