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Le crédit sur nantissement des stocks

Une stratégie de développement des marchés agricoles









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    Book (stand-alone)
    La transition vers l'appui conseil
    Experience de processus multi-acteurs (le Niger, Mauritanie, le Maroc, Algérie)
    2019
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    Jusqu’au milieu des années 90, la vulgarisation auprès des exploitants agricoles était réalisée directement par des systèmes publics de vulgarisation, en partie financés par des bailleurs internationaux. Mais la pérennité de ces dispositifs a été remise en cause. L’assistance de la coopération internationale a alors privilégié la consolidation institutionnelle des dispositifs de vulgarisation et la recherche d’une rationalisation de leur fonctionnement. Un processus de décentralisation et de désengagement partiel des services étatiques s’est développé, entraînant l’émergence de prestataires privés de conseil agricole. Au tournant du siècle, les bailleurs ont commencé à refinancer le conseil agricole, mais souvent en associant la promotion des organisations de producteurs. L’orientation prise actuellement est celle de rapprocher l’offre de services avec la demande des entrepreneurs agricoles à travers des démarches ascendantes basées sur les besoins identifiés par les hommes et les femmes producteurs et les organisations ainsi que sur la priorisation de leurs attentes afin de mieux formuler et négocier leurs demandes. Les révisions réalisées dans de nombreux pays du monde entier ont permis de mettre en évidence les forces et les faiblesses actuelles des institutions de vulgarisation dans l’optique de lever les contraintes rencontrées et, à l’inverse, de renforcer leurs atouts pour s’impliquer dans de nouveaux dispositifs d’appui conseil. Améliorer une situation peut prendre plusieurs formes, allant du plus simple au plus complexe, et de manière rapide ou échelonnée.
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    Book (series)
    Economies financières et de carburant dans la pêche artisanale 2003
    Also available in:

    La pêche continue à être la méthode de production alimentaire la plus grande consommatrice d’énergie dans le monde actuel, et elle dépend presque exclusivement des moteurs à explosion consommant des produits dérivés du pétrole. On ne voit pas encore quelle autre source d’énergie pourrait se substituer au moteur à explosion dans un avenir proche ou à moyen terme. Cette activité continue à être exposée aux prix mondiaux du carburant et il est impossible de dire que ces derniers demeureront stables indéfiniment. La pêche artisanale produit environ la moitié de la production halieutique mondiale et, bien qu’elle ait généralement besoin de plus de main-d’œuvre que la grande pêche industrielle, elle est de plus en plus affectée par les coûts de l’énergie. Dans les pays en développement, en dépit des mesures d’économie d’énergie des années 80 – (suite à l’augmentation énorme du prix des carburants fossiles), la mécanisation continue à croître. Les coûts de carburant ont toujours plus d’impact , non seulement sur le prix au consommateur, mais également sur le revenu net des pêcheurs et armateurs. Quand on considère le niveau de l’emploi et le système de répartition des coûts, on saisit l’importance croissante, d’un point de vue social, d’améliorer et de conserver l’efficacité énergétique dans la pêche artisanale. Ce guide présente l’information sur les points clés techniques qui affectent le rendement énergétique, mais seule une partie de l’information donnée ici s’appliquera à une pê che particulière. Ce guide n’est pas le résultat d’un travail de terrain déterminé mais est le fruit de la recherche et de l’expérience des 20 dernières années, remis à jour pour inclure les innovations techniques. Ce guide est divisé en deux parties principales: la première expose les modifications des techniques de travail; la seconde donne les informations aux exploitants de bateaux qui prévoient la construction d’un bateau neuf, ou la révision et le rééquipement d’un bateau existant.
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    Brochure, flyer, fact-sheet
    Les caisses de résilience en République centrafricaine
    Consolider la résilience des communautés dans le contexte d'une crise complexe
    2016
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    Depuis 2012 la République centrafricaine (RCA) a traversé une crise militaro-politique qui a touché la quasi-totalité de son territoire et de sa population. Le conflit a provoqué une « crise humanitaire complexe ». Aux problématiques structurelles qui caractérisent le pays depuis trois décennies (dysfonctionnement du système éducatif, absence d’investissement et de création d’emploi, faible gouvernance) se sont rajoutés les effets de cette dernière crise: déplacements des populations, violations des droits, destruction et pillage de la majorité des infrastructures étatiques et privées et vol des biens des ménages. Au plus fort de la crise, début 2014, plus de 930 000 personnes étaient déplacées, et la population en phase humanitaire a été estimée à 1 670 000 (hors Bangui), soit 45 pour cent de la population totale des zones concernées (IPC, avril-mai 2014). Cette situation a plongé la majorité des populations dans une situation d’extrême fragilité et de vulnérabilité à la fois sociale (rupture des liens inter et intracommunautaires rendus plus aigüs par l’insecurité et la pauvreté grandissante), économique (pertes des biens et des équipements de production, bétail, semences, etc.), financière (pertes des épargnes, manque d’accès aux crédits) et psychologique (traumatismes, détresse émotionnelle, perte de confiance en soi et en l’autre, etc.). Dans ce contexte, la FAO accompange le gouvernement dans le processus de relance du secteur agricole à travers « les Caisses de rési lence », une approche intégrée et adaptée au relèvement économique et à la consolidation de la cohésion sociale

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