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Evaluation finale du projet «Appui à la mise en place d’un Système d’Information durable sur la sécurité alimentaire et d’alerte précoce»

Symbole du projet: GCP/CHD/038/EC









Réponse de la Direction

Rapport de Suivi


FAO. 2018. Évaluation finale du projet «Appui à la mise en place d’un Système d’Information durable sur la sécurité alimentaire et d’alerte précoce». Série évaluation de projet. Rome. 


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    Project
    Faire progresser les mesures de réduction des risques liés aux catastrophes naturelles, événements climatiques extrêmes compris, à Grenade, Haïti et Sainte-Lucie - TCP/SLC/3704 2023
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    Les désastres naturels représentent une menace importante pour la sécurité alimentaire et nutritionnelle dans la région des Caraïbes Ces dernières années, la Grenade, Haïti et Sainte Lucie ont connu des événements climatiques extrêmes à répétition, aux conséquences de plus en plus désastreuses, tels qu’ouragans, glissements de terrain, tempêtes et sécheresses, contre lesquels des mesures de réduction des risques liés aux catastrophes sont nécessaires Les gouvernements des trois îles ont demandé l’appui de la FAO pour faire progresser les pratiques de gestion de la réduction des risques de catastrophes ( afin de prévenir les répercussions négatives des catastrophes naturelles sur le secteur agricole, en particulier dans les sous secteurs des cultures, de l’élevage et de la pêche Le projet a été conçu pour réduire l’insécurité alimentaire, renforcer les capacités de réponse des gouvernements et garantir la résilience des populations locales face aux phénomènes dangereux induits par le changement climatique L’équipe du projet a axé son travail sur trois priorités de GRC spécifiques à chaque pays À la Grenade, sur la base d’études antérieures, il était nécessaire de créer un produit d’assurance agricole contre les risques pour les exploitations de noix de muscade et de cacao À Sainte Lucie, le Ministère de l’agriculture, des pêches, de la sécurité alimentaire et du développement rural recherchait une équipe experte pour exploiter les données de télédétection et les systèmes d’information géographique ( participatifs Enfin, en Haïti, le besoin de messages radio d’alerte précoce était la priorité à laquelle le projet devait répondre.
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    Document
    Plan de réponse face à la crise alimentaire et nutritionnelle au Sahel. Document Strategique 2012. Version 2 2012
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    1. En 2011, des pluies sporadiques, des récoltes insuffisantes localisées ainsi que la hausse des prix alimentaire et des effets des crises dans la région ont eu un impact combiné sur les populations déjà très vulnérables dans les pays du Sahel. Il est estime que plus de 10 million de personnes sont en situation d’insécurité alimentaire et que plus d’un million d’enfants sont à risque de malnutrition aigüe sévère. Si la malnutrition et l’insécurité alimentaire devaient encore s’aggraver, le nomb re d’enfants voués à mourir ne cesserait d’augmenter. 2. La résilience de plus en plus limitée des populations face aux crises récurrentes au Sahel est une des caractéristiques de la région, où les ménages ne parviennent plus, au lendemain d’une crise, à reconstituer leurs moyens d’existence avant que n’arrive le choc suivant. Les enfants de la région du Sahel souffrent d’un taux très élevé de malnutrition, non seulement au moment du pic de soudure, mais également en période post récoltes. On e stime que chaque année, dans les 8 pays de la région sahélienne (Burkina Faso, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal, Tchad, nord du Nigéria et nord du Cameroun), environ 226.000 enfants meurent à cause de la malnutrition et ses conséquences sur leur santé. La vulnérabilité des ménages est encore accrue par des facteurs extérieurs, notamment le retour de plusieurs centaines de milliers de travailleurs migrants de Libye ou de Côte d’Ivoire, du fait des crises que ces pays ont connues en 2011. 3. Face à cette situation, les partenaires humanitaires regroupés au sein du Groupe de Travail Régional sur la Sécurité Alimentaire et la Nutrition présentent cette stratégie dont les objectifs sont de : i) renforcer la préparation au niveau régional ; ii) soutenir la coordination des acteurs de la réponse et faciliter le suivi de la situation ; iii) servir comme document de référence au cas où d’autres appels (Flash Appeals par exemple) sont élaborés dans les pays de la région ; iv) sensibiliser des b ailleurs ainsi que les partenaires et Gouvernements de la région à l’ampleur de ces crises et à leur caractère transfrontalier et à la nécessité d’y répondre à temps ; et v) faciliter la mobilisation des ressources. 4. En l’absence d’un appel consolidé (CAP) régional en 2012, ce document plus souple vise à appuyer les efforts en cours des différentes autorités nationales à travers une perspective régionale. Il inclut un plan de réponse chiffré des interventions indispensables pour atténuer les effets de la crise. Le montant total des interventions prévues pour répondre à la crise s’élève à US$724.546.917 dont $480.906.207 pour la sécurité alimentaire et $243.640.710 pour la nutrition Les chiffres des bénéficiaires par activité se trouvent dans les tableaux des budgets et besoins estimés, repris dans les plans de réponse (pages 16 et 19). 5. Il est toutefois important de signaler que les vulnérabilités actuelles ne pourront être éliminées par des interventions uniquement humanitaires. Le vrai défi consiste à briser le cercle vicieux de crises alimentaires et nutritionnelles qui semblent frapper à intervalles toujours plus rapprochés des populations dont la résilience ne cesse de faiblir. Il est donc indispensable de fournir des ressources adéquates pour des programmes à long terme qui permettront de traiter durablement les causes structurelles de l’insécurité alimentaire et de la malnutrition dans le Sahel. Il faudra pour cela adopter des stratégies intégrées au sein des gou vernements, entre les gouvernements de la région et avec la participation active de la société civile, des partenaires au développement et du secteur privé.
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    Project
    Renforcement des capacités de la CEDEAO en matière de prévention, surveillance et lutte contre le criquet pèlerin ainsi que l’analyse de son impact sur la SAN au Sahel dans le contexte de covid-19 - TCP/SFW/3801 2024
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    Au moment de la formulation du projet, le Sahel était menacé d’une invasion acridienne à partir de juin 2020, avec deux scénarios envisagés: i) une superficie de 300 000 ha à traiter dans six pays du Sahel (Burkina Faso, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal et Tchad), avec 100 000 ménages ruraux hautement vulnérables; ii) une superficie de 500 000 ha à traiter dans les six pays cités, plus le Cameroun, la Gambie et le Nigéria, avec 150 000 ménages ruraux hautement vulnérables. En effet, une invasion acridienne a de multiples répercussions néfastes sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle (SAN) des ménages dans les pays concernés qu’il convient de prévenir ou de réduire au mieux. Le présent projet venait donc appuyer la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) dans son rôle de coordination régionale des actions de surveillance, de prévention, d'information, de suivi/analyse d’impact, d’alerte précoce et de lutte intégrée contre les ravageurs des plantes ¬ et en particulier le criquet pèlerin¬, en étroite collaboration avec d’autres institutions régionales telles que la Commission de lutte contre le criquet pèlerin dans la région occidentale (CLCPRO) et le Comité permanent inter-États de lutte contre la sécheresse dans le Sahel (CILSS).

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