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Consultation nationale (étude-analyse) sur les systèmes de cogestion au sein des AMPs de la Guinée-Bissau









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    Booklet
    Technical study
    Rapport Final de la Consultation nationale (études-analyses) sur les systèmes de cogestion au sein des AMPs de la Guinée 2014
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    La création des Réserves Naturelles dans la zone côtière guinéenne répond à la volonté politique nationale de mise en valeur de la riche diversité biologique existante ainsi que les habitats et écosystèmes clefs, principalement dans des sites Ramsar créés au début des années 90 pour leur importance nationale, régionale et internationale. Cette volonté découle du constat de plus en plus alarmant sur l’état des ressources naturelles renouvelables et des écosystèmes côtiers et marins.
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    Brochure, flyer, fact-sheet
    Brochure
    Rapport final de la Consultation nationale (étude-analyse) sur les systèmes de cogestion au sein des AMPs du Sénégal 2014
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    Le projet « Démonstration des Aires marines protégées en tant qu’outils permettant de dégager des bénéfices de la gestion de ressources multiples » (Projet de Démonstration CCLME n°4, inclus sous l'égide du Projet de Protection du Grand Ecosystème Marin du Courant des Canaries (CCLME)), vise à appuyer la cogestion des pêches au sein des Aires Marines Protégées ouest-africaines. Une première étape a consisté à identifier les bonnes pratiques et leçons apprises dans les pays participants au projet de Démonstration n°4 (Cap-Vert, Gambie, Guinée, Guinée-Bissau, Mauritanie et Sénégal).
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    Booklet
    Technical study
    Rapport de la consultation nationale (études-analyses) sur les systèmes de cogestion au sein des AMPs de la Mauritanie 2014
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    Vaste zone marine qui s’étend du Maroc à la Guinée (le Cap Vert y compris), l’écosystème du courant des canaries constitue un des plus importants Grands Ecosystèms Marins (GEMs) de l’Afrique de l’Ouest. En effet, de part sa production halieutique annuelle comprise entre 2 à 3 millions de tonnes, ce GEM procure également à nos pays des biens et services inestimables en termes d’habitats critiques pour les poissons, du bois provenant des mangroves et des espaces côtiers et marins récréatifs et/ou pour le développement d’activités économiques (le tourisme, l’urbanisme, le transport, etc.). Cependant, cette zone n’échappe pas à la situation mondiale des GEMs qui se caractérise par une tendance globale à la dégradation.

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    Book (series)
    Guideline
    Développement de l’aquaculture. 4. Une approche écosystémique de l’aquaculture. 2011
    Les dimensions sociales et biophysiques des écosystèmes sont inextricablement liées de telle manière qu’un changement dans une seule dimension est très susceptible de générer un changement dans une autre. Bien que le changement est une conséquence naturelle des interactions complexes, il doit être surveillé et même géré si le taux et la direction du changement risquent de compromettre la résilience du système. “Une approche écosystémique de l’aquaculture (AEA) est une stratégie pou r l’intégration de l’activité dans l’écosystème élargi de telle sorte qu’elle favorise le développement durable, l’équité et la résilience de l’interconnexion des systèmes socio-écologiques.” Etant une stratégie, l’approche écosystémique de l’aquaculture (AEA) n’est pas ce qu’on a fait, mais plutôt comment on l’a fait. La participation des parties intéressées est à la base de la stratégie. L’AEA exige un cadre politique approprié dans lequel la stratégie se développe en plusieurs é tapes: (i) la portée et la définition des limites des écosystèmes et l’identification de la partie intéressée; (ii) l’identification des problèmes principaux; (iii) la hiérarchisation des problèmes; (iv) la définition des objectifs opérationnels; (v) l’élaboration d’un plan de mise en oeuvre; (vi) le processus de mise en oeuvre correspondant qui comprend le renforcement, le suivi et l’évaluation, et (vii) un critique des politiques à long terme. Toutes ces étapes sont informées par les meilleures connaissances disponibles. La mise en oeuvre de l’AEA exigera le renforcement des institutions et des systèmes de gestion associés de sorte qu’une approche intégrée du développement de l’aquaculture peut être mise en oeuvre et compte entièrement des besoins et des impacts d’autres secteurs. La clé sera de développer des institutions capables d’intégration, notamment en fonction des objectifs et des normes convenus. L’adoption généralisée d’une AEA exigera un couplag e plus étroit de la science, la politique et la gestion. Elle exige aussi que les gouvernements incluent l’AEA dans leurs politiques de développement de l’aquaculture, stratégies et plans de développement.
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    Booklet
    Corporate general interest
    Emissions due to agriculture
    Global, regional and country trends 2000–2018
    2021
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    The FAOSTAT emissions database is composed of several data domains covering the categories of the IPCC Agriculture, Forestry and Other Land Use (AFOLU) sector of the national GHG inventory. Energy use in agriculture is additionally included as relevant to emissions from agriculture as an economic production sector under the ISIC A statistical classification, though recognizing that, in terms of IPCC, they are instead part of the Energy sector of the national GHG inventory. FAO emissions estimates are available over the period 1961–2018 for agriculture production processes from crop and livestock activities. Land use emissions and removals are generally available only for the period 1990–2019. This analytical brief focuses on overall trends over the period 2000–2018.
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    Booklet
    High-profile
    FAO Strategy on Climate Change 2022–2031 2022
    The FAO Strategy on Climate Change 2022–2031 was endorsed by FAO Council in June 2022. This new strategy replaces the previous strategy from 2017 to better FAO's climate action with the Strategic Framework 2022-2031, and other FAO strategies that have been developed since then. The Strategy was elaborated following an inclusive process of consultation with FAO Members, FAO staff from headquarters and decentralized offices, as well as external partners. It articulates FAO's vision for agrifood systems by 2050, around three main pillars of action: at global and regional level, at country level, and at local level. The Strategy also encourages key guiding principles for action, such as science and innovation, inclusiveness, partnerships, and access to finance.