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Etude de l’effet du piochage repete des parcelles, de la culture de patate douce et de l’utilisation du roundup dans la lutte contre cyperus rotundus en parcelles de maraîchage

Réseau Africain pour le Développement de l'Horticulture (RADHORT)









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    Etude de l’effet d’un champignon indigene predateur de nématodes sur le développement des parasites et la croissance de la tomate
    Réseau Africain pour le Développement de l'Horticulture (RADHORT)
    2012
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    Parmi les parasites des cultures horticoles au Sénégal, les nématodes occupent une place importante, en particulier le genre Meloidogyne. Il est sans doute l’un des principaux facteurs limitants du développement et de la productivité des cultures maraîchères au Sénégal. Les dommages subis par les plantes sont importants et peuvent aller de la dépréciation de la qualité des récoltes à la baisse très sensible des rendements. Pour limiter les problèmes posés par Meloidogyne aux cultures, plusieurs méthodes de lutte sont utilisées, en particulier la lutte chimique. Cette dernière donne de bons résultats mais présente souvent des inconvénients, en raison de la toxicité des produits utilisés, de leur coût élevé et des risques de pollution. Pour relever le double défi économique et environnemental, nous devons opter pour une politique de lutte intégrée faisant appel aux ressources naturelles disponibles. La valorisation des déchets organiques de tout genre cadre parfaitement avec cette politi que. Afin d’apporter notre contribution à la recherche de telles méthodes, nous avons étudié de l’effet d’un champignon indigène, prédateur de nématodes, sur le développement de ces parasites et la croissance de la tomate.
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    Microtraitement des cultures maraîchères en pépinière contre le nématode a galles Meloidogyne: une étape envisageable dans un itinéraire de lutte intégrée
    Réseau Africain pour le Développement de l'Horticulture (RADHORT)
    2012
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    Très fréquemment, de fortes populations du nématode phytoparasite à galles du genre Meloidogyne se développent sur des cultures sensibles dans des sols apparemment peu ou pas infestés. Le développement des populations est alors favorisé par un taux de reproduction très élevé, entre 500 et 2000 oeufs par femelle selon les conditions climatiques, pour un cycle biologique court d’environ 28 jours, et par leur mode de reproduction parthénogénétique qui permet à la quasi-totalité des oeufs de se déve lopper en juvéniles infestants. Dans ce cas, les cultures à cycle court, comme les cultures maraîchères, ne peuvent supporter qu’un nombre limité de générations de Meloidogyne. L’un des moyens pour en retarder les dégâts est le traitement à l’aide de produits nématicides systémiques. Bien que testés déjà en plein champ sur cultures maraîchères, avec d’ailleurs plus ou moins de succès, le danger que représente leur manipulation à grande échelle et l’existence de résidus dans les fruits limitent l eur emploi sur de nombreuses cultures. En revanche, leur emploi à très faible dose en pépinière peut résoudre le problème des résidus. Le principe consiste alors à utiliser l’effet résiduel des nématicides afin de protéger les plants, après repiquage, d’attaques précoces de Meloidogyne en retardant le développement des populations.
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    Utilisation du neem - (Azadirachta indica) pour la protection naturelle contre les insectes ravageurs du chou en culture d’hivernage
    Réseau Africain pour le Développement de l'Horticulture (RADHORT)
    2012
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    Les cultures maraîchères au Burkina Faso se font presqu’exclusivement sous irrigation entre octobre et avril, période sèche et fraîche de l’année. Ceci entraîne un engorgement des marchés entre mars et avril. Cependant la période de juin à octobre constitue une des périodes difficile, voir impossible pour certaines cultures légumières sans traitement phytosanitaire. Phénomène essentiellement dû aux conditions d’humidité élevées associé à des températures moyennes également élevées (26 à 30°C). D e nombreuses recherches ont été faites sur l'utilisation de différentes méthodes et produits pour lutter efficacement contre les différents ravageurs des légumes. Parmi les nombreux produits utilisés, Jacobson, 1980, rapporte que des extraits bruts d'amandes de neem (Azadirachta indica) ont montré un grand effet protecteur (concentration inférieure ou égale à 0,1 ppm); également, Ouédraogo J.(1990), rapporte que le neem a un large spectre de protection contre de nombreux ennemis des cultures. Ce travail a été réalisé dans le but de vérifier l’impact des tourteaux de neem sur la protection naturelle du chou en culture d’hivernage. Le choix du chou comme plante test pour cette étude est guidé par le fait que les producteurs burkinabè de choux sont continuellement confrontés à de grandes pertes (souvent évaluées à plus de 60 %) si les parcelles ne sont pas traitées tous les trois à quatre jours avec des produits chimiques, lesquels sont rarement homologués pour les légumes feuilles.

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