Thumbnail Image

Note d’orientation: Facilitation des échanges dans le secteur agricole

Mettre la zone de libre-échange continentale africaine au service des femmes









FAO et CCI. 2023. Note d’orientation: facilitation des échanges dans le secteur agricole - Mettre la zone de libre-échange continentale africaine au service des femmes. Rome.



Also available in:

Related items

Showing items related by metadata.

  • Thumbnail Image
    Policy brief
    Note d’orientation: mesures non tarifaires dans le secteur agricole
    Mettre la zone de libre-échange continentale africaine au service des femmes
    2023
    Also available in:

    La zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) offre des opportunités commerciales améliorées aux agriculteurs, aux transformateurs, aux entrepreneurs de micro, petites et moyennes entreprises, aux commerçants et aux négociants transfrontaliers informels dans les zones urbaines, périurbaines, rurales et frontalières. Les critères simplifiés de l'accord permettent de sortir de l'informalité pour entrer dans l'économie formelle. La ZLECAf peut offrir des opportunités aux femmes agripreneurs et commerçantes pour accéder à de nouveaux marchés et progresser dans la chaîne de valeur du commerce des produits agroalimentaires (FAO, 2021). Toutefois, ces avantages ne peuvent être obtenus sans l'amélioration de la facilitation des échanges pour les femmes et les hommes du continent. L'objectif principal de la facilitation du commerce est d'éliminer les formalités administratives et de réduire le temps et les coûts associés qui limitent les activités commerciales. Cette note politique analyse la manière dont les mesures non tarifaires peuvent promouvoir ou entraver la participation des femmes au secteur agroalimentaire en Afrique subsaharienne.
  • Thumbnail Image
    Policy brief
    Note d'orientation nº7: Éléments de stratégies pour stimuler les investissements responsables des jeunes en vue d’un renforcement des filières agricoles et agroalimentaires territorialisées en Tunisie
    Note de synthèse des recommandations du Pôle de réflexion sur l’investissement des jeunes agri-entrepreneurs (PRIJA)
    2022
    Also available in:
    No results found.

    La Tunisie est confrontée à une crise économique de grande ampleur, conséquence de la covid-19 et de la guerre en Ukraine, frappant une économie qui ralentissait déjà. Ces crises conjoncturelles ont exacerbé des fragilités structurelles – en particulier le faible taux d’investissement et de création d’emplois dans les zones rurales, ainsi que le chômage élevé, notamment parmi les jeunes. Compte tenu de ces défis, il est impératif de stimuler des investissements responsables dans l’agriculture et les systèmes alimentaires, portés prioritairement par les jeunes, permettant de moderniser, renforcer et revaloriser les filières agricoles tunisiennes et d’y apporter l’innovation nécessaire pour augmenter la production et la productivité pour la sécurité alimentaire nationale; de renforcer l’organisation des producteurs autour d’une dynamique territoriale; et de créer des emplois décents, tout en respectant les ressources naturelles et en valorisant l’héritage culturel. Cette note vise à apporter des réponses en ce sens. Elle résume les principales recommandations du Pôle de réflexion sur les investissements des jeunes agri-entrepreneurs (PRIJA), animé par une équipe du Laboratoire d’économie rurale (LER) de l’Institut national de la recherche agronomique de Tunisie (INRAT), organisé en coopération avec l’Agence de promotion des investissements agricoles (APIA) et la FAO. Elle met en relief l’importance de la mise en place d’une stratégie nationale cohérente permettant d’articuler un ensemble de réformes potentielles qui devraient être concertées par les différentes institutions de l’écosystème de l’entrepreneuriat agricole.
  • Thumbnail Image
    Booklet
    De la parole aux actes
    Partage de connaissances au Rwanda, juillet 2019
    2022
    Also available in:

    Les femmes jouent un rôle important dans les systèmes alimentaires en tant que productrices, salariées, transformatrices, commerçantes, entrepreneuses et consommatrices. Il est donc essentiel que le programme de transformation des systèmes alimentaires tienne pleinement compte de leurs besoins et priorités, afin qu'ils puissent contribuer et bénéficier à parts égales des interventions. Dans les pays de la CEDEAO, les femmes accusent toujours un retard dans l'accès à la terre, au financement, aux technologies, aux services et aux marchés. Leurs voix ne sont pas également entendues dans l'élaboration des politiques, des programmes et des plans d'investissement dans le secteur agroalimentaire car leur représentation dans les postes de direction reste inférieure à celle des hommes. Suivre la parole au Rwanda est le résultat d'un partenariat continu avec le Réseau des parlementaires de la CEDEAO sur l'égalité des sexes, les investissements dans l'agriculture et la sécurité alimentaire, et son groupe consultatif composé de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), l'Institut international pour le développement durable Développement (IIDD), Oxfam et Women in Law and Development in Africa (WILDAF) pour faire progresser l'égalité des sexes dans les efforts visant à accélérer les progrès vers l'élimination de la faim. Ce rapport résume l'échange d'apprentissage qui a permis aux parlementaires de la CEDEAO de se familiariser avec le modèle rwandais complet pour l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes en termes de gouvernance, de responsabilité, de vision et d'actions. il comprend des commentaires et des réactions de certains parlementaires.

Users also downloaded

Showing related downloaded files

No results found.