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Guinée-Bissau: Projet d’urgence en sécurité alimentaire

Juin 2023









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    Brochure, flyer, fact-sheet
    Guinée-Bissau | Projet d’urgence en sécurité alimentaire (avril 2021) 2021
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    En 2020, la Guinée-Bissau a été touchée par des chocs multiples et persistants. La propagation de la maladie à coronavirus 2019 (covid-19), les crises socio‑économiques et les aléas climatiques ont perturbé les moyens de subsistance, et exacerbé la vulnérabilité et l’insécurité alimentaire des ménages. Le Projet d’urgence en sécurité alimentaire financé de la Banque mondiale vise à améliorer la sécurité alimentaire et nutritionnelle de 47 000 personnes vulnérables et renforcer leur résilience face à l’impact socio-économique de la covid-19 en Guinée-Bissau.
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    Document
    Plan d’action pour la gestion des risques de catastrophes en Guinée-Bissau 2011 - 2013 2011
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    La Guinée-Bissau, un des pays les plus pauvres au monde, se classe au 164ème rang mondial sur 169 selon l’indice de développement humain calculé en 2010 par le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD). Plus de 65 pour cent de la population vit sous le seuil des 2 USD par jour. La pauvreté, prépondérante en zone rurale, est la principale cause de l’insécurité alimentaire. La production nette nationale ne suffit pas à couvrir les besoins alimentaires de la population dont les moyen s de subsistance sont en crise. Les faibles rendements des cultures vivrières, les risques phytosanitaires, la rareté des petits élevages familiaux, l’inexistence de la production piscicole, la faible demande des marchés ruraux pour les produits de la pêche artisanale et côtière ainsi que la rareté des petits jardins familiaux sont les principales causes du déficit énergétique et du déséquilibre nutritionnel, sources de la vulnérabilité alimentaire en Guinée-Bissau. Depuis 2008, l’Organisation d es Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) appuie le Gouvernement de Guinée-Bissau à travers l’Unité de coordination des opérations d’urgence et de la réhabilitation (ERCU) dans son effort visant à faire face à l’effondrement du cours de la noix de cajou et à la flambée des prix des denrées alimentaires. Pour répondre à ces problèmes, le Plan d’action de la Guinée-Bissau 2011-2013, dans une optique de réduction des risques de catastrophes, propose un programme composé d’une séri e de 12 projets dont les activités contribueront à la réduction du risque d’insécurité alimentaire. Parmi ces activités, on note la réhabilitation de digues anti-sel, l’introduction de variétés de semences améliorées résistantes à la sécheresse, la promotion de banques céréalières et la promotion d’un système d’alerte précoce. La mise en œuvre de ces activités sera effectuée en étroite collaboration avec les institutions nationales telles le Ministère de l’agriculture et du développement rural ( MADR) et le futur Service national de protection civile (SNPC), les organisations non gouvernementales nationales et internationales et les autres agences des Nations Unies dont notamment le Programme alimentaire mondial (PAM) et le PNUD. Les bailleurs de fonds actuels, l’Union européenne, l’Espagne, le Brésil, la Banque mondiale, la Banque africaine de développement (BAD) et le Fonds international de développement agricole (FIDA) sont des partenaires essentiels dans la mise en œuvre de ces proj ets.
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    Project
    Appui à la mise en place de systèmes techniques et organisationnels de multiplication des semences de cultures vivrières commerciales en Guinée-Bissau - TCP/GBS/3601 2020
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    La Guinée-Bissau est un Pays à faible revenu et à déficit vivrier (PFRDV) et fait partie des Pays les moins avancés (PMA). L’agriculture est considérée comme le moteur de l’économie nationale et constitue une source d’emploi pour une grande majorité de la population (près de 82 pour cent de la population active). Cependant, elle reste rudimentaire et de subsistance. L’augmentation de la production est essentiellement due à l’extension des superficies mises en valeur, plutôt qu’à un accroissement des rendements, qui demeurent faibles (autour de 2 à 3 tonnes/ha pour le riz, par exemple). Les difficultés d’accès aux intrants, notamment aux semences et aux plants de qualité, ont été identifiées par les structures techniques du Ministère de l’agriculture et du développement rural (MADR) comme l’une des contraintes majeures à l’amélioration de la productivité des systèmes de production actuels. En effet, les agriculteurs bissau-guinéens connaissent de sérieuses difficultés pour s’approvisionner en semences de qualité des cultures vivrières. Cette situation entrave la relance de la production vivrière, l’amélioration de la sécurité alimentaire, la création des emplois et la génération des revenus.

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