Thumbnail Image

La collaboration des organismes ayant leur siège à Rome pour le renforcement de la résilience. Collaboration au service du renforcement de la résilience. Étude de cas: Niger








Also available in:

Related items

Showing items related by metadata.

  • Thumbnail Image
    Project
    Appui à l’intervention conjointe des agences des Nations Nnies pour les actions sensibles à la nutrition en Guinée - TCP/GUI/3605 2021
    Also available in:
    No results found.

    Dans un pays où près de la moitié de la population vit en dessous du seuil de pauvreté, les ménages des zones rurales sont particulièrement touchés par l’insécurité alimentaire L’enclavement des zones de production, la faible disponibilité des denrées alimentaires ainsi que des techniques de conservation et de transformation inappropriées expliquent cette situation qu’a aggravée l’épidémie liée au virus Ébola à partir de 2014 La faible diversification du régime alimentaire affecte en outre la sécurité nutritionnelle, en particulier celle des femmes en âge de procréer et des enfants de moins de cinq ans dont 31 pour cent souffraient de malnutrition chronique et 77 pour cent de carences en micronutriments en 2012 Le projet représentait la contribution de la FAO à l’initiative conjointe des agences des Nations Unies «Efforts renouvelés contre la faim et la dénutrition chez les enfants» (REACH Renewed Efforts Against Child Hunger and under Nutrition en Guinée Il visait à soutenir le Gouvernement afin de réduire de manière durable le taux de malnutrition chronique en ciblant 300 ménages vulnérables de la région de Kankan, à l’est du pays Garantir l’accès à une alimentation diversifiée et nutritive, modifier les pratiques familiales, responsabiliser les communautés et renforcer les synergies entre parties prenantes constituaient les axes principaux du projet.
  • Thumbnail Image
    Project
    Renforcement de la gestion des ressources en eau transfrontalières sur le bassin du fleuve Sénégal - TCP/INT/3602 2020
    Also available in:
    No results found.

    Dans une grande partie de l’Afrique subsaharienne, les moyens d’existence dépendent de l’agriculture pluviale, un faible pourcentage de terres arables bénéficiant de l’irrigation. Le développement agricole est freiné par les pressions exercées sur les terres, notamment par la croissance démographique rapide, les migrations, les déplacements causés par des conflits localisés, la volatilité des prix, la désertification et les inondations. La diminution des ressources en terres et en eau due à l’érosion et à la demande croissante en nourriture, fourrage, bois et eau a conduit à une généralisation de la pauvreté, en particulier dans les zones rurales. Le bassin du fleuve Sénégal s’étend sur les territoires de la Guinée, du Mali, de la Mauritanie et du Sénégal. La pauvreté reste élevée dans cette région, avec une qualité de vie parmi les moins bonnes du continent. Les scores de l’Indice de développement humain (IDH) de ces quatre pays les placent dans le dernier quart des classements mondiaux. Les initiatives conduites par la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) aux niveaux régional et national, ainsi que par l’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal (OMVS) au niveau du bassin ont contribué à accroître la résilience des populations du bassin face à la sécheresse et aux incertitudes climatiques et à améliorer leurs moyens d’existence. L’OMVS constitue un bon exemple d’un partage équitable des ressources en eau réalisé à travers des activités de développement et de gestion menées par les États faisant partie d’un bassin fluvial transfrontalier.Le projetvisaità renforcerces efforts. Dans le bassin du fleuve Sénégal, l’eau est partagée entre les différents secteurs liés aux moyens d’existence dans la région, c’est-à-dire les zones agricoles et agro-pastorales, les zones de pêche, l’approvisionnement en eau des municipalités et l’hydro-électricité. Dans les pays riverains, la pénurie en eau est principalement liée à un manque d’infrastructures et à l’incapacité d’accéder à une grande partie de l’eau disponible, plutôt qu’à une réelle insuffisance des ressources. Le niveau d’utilisation de l’eau le long du fleuve Sénégal étant relativement faible, la mise en place d’infrastructures d’approvisionnement devrait permettre une utilisation accrue des ressources disponibles et contribuer à réduire les pénuries.
  • Thumbnail Image
    Brochure, flyer, fact-sheet
    Djibouti - Profil de projet
    Mise en place des jardins scolaires et de cultures hydroponiques en appui aux écoles rurales
    2021
    Also available in:
    No results found.

    À Djibouti, le taux de malnutrition aiguë global est de 18 pour cent chez les enfants de 6 à 59 mois et proche du seuil d’urgence de 15 pour cent dans toutes les régions. La malnutrition chronique touche près de 33 pour cent de la population, les zones rurales étant beaucoup plus touchées. Les carences en micronutriments constituent également préoccupants puisque deux tiers des enfants de moins de cinq ans et des femmes enceintes sont anémiques; Un tiers des enfants de moins de cinq ans et un cinquième des femmes enceintes présentent un déficit en vitamine A. Le Fond des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF), le Programme alimentaire mondial (PAM) et l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), en partenariat avec le ministère de l’éducation nationale et de la formation professionnelle (MENFOP), ont ainsi ciblé 21 écoles à classes multigrades pour bénéficier d’un appui pour la constitution de jardins scolaires et de cultures hydroponiques. L'objectif du projet est de fournir une assistance pour l’installation de 21 jardins scolaires et 2 cultures hydroponiques et son utilisation à des fins pédagogiques et de diversification du régime des cantines scolaires.

Users also downloaded

Showing related downloaded files

No results found.