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ProjectFactsheetPromotion de l’arbre pour la sécurité alimentaire et la protection de l’environnement - TCP/DRC/3803 2023
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No results found.En République démocratique du Congo, les problèmes de sous-alimentation et de malnutrition poussent les populations à multiplier les mécanismes de survie afin de subvenir aux besoins du ménage. Dans les grands centres urbains, où la disponibilité de terre n’existe pas pour la production alimentaire, les propriétaires d’immeubles augmentent les capacités d’accueil à des fins de location financière afin de maintenir leurs moyens de subsistance. Dans ce contexte, l’environnement paye un lourd tribut. En effet, les arbres fruitiers qui représentaient autrefois une source d’éléments nutritifs appréciables sont systématiquement coupés au profit des annexes ou autres immeubles, privant de ce fait les occupants des parcelles et, ainsi, des apports significatifs en calories, en protéines, en divers sels minéraux utiles à l’organisme et en vitamines. D’autre part, les arbres d’ombrage, tant dans les parcelles que dans les places publiques et le long des grandes artères, sont vendus par les autorités communales aux boulangeries artisanales ou encore à des fins de carbonisation. En plus de cette dégradation, il sied de considérer les travaux des surfaces bâties ou consacrées à la circulation. Selon les services météorologiques de l’Agence nationale de météorologie et de télédetection par satellite (METTELSAT) de la République démocratique du Congo, le réchauffement climatique progresse plus rapidement que prévu. En effet, la ville de Kinshasa et son hinterland enregistrent des épisodes caniculaires de plus en plus fréquents et intenses dont la moyenne diurne varie entre 35 et 37 °C, alors que la température nocturne se situe autour de 30 °C dans les périodes chaudes de l’année. -
BookletCorporate general interestConvention internationale pour la protection des végétaux (1997) 2025Le texte de la Convention internationale pour la protection des végétaux (CIPV) contient des dispositions qui visent à protéger partout dans le monde la santé des végétaux contre les organismes nuisibles. La Convention fournit des orientations aux organisations nationales de la protection des végétaux des 185 parties contractantes à la CIPV, ainsi qu’aux décideurs politiques et aux administrateurs nationaux. Elle vise à promouvoir la coopération internationale dans la protection des végétaux, des produits agricoles et des ressources naturelles contre les organismes nuisibles, à soutenir la réalisation des objectifs de développement durable pour éradiquer la pauvreté et la faim, à protéger l’environnement contre les effets des changements climatiques et à favoriser l’innocuité du commerce international.
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Book (stand-alone)Technical bookExamen scientifique des effets des changements climatiques sur les organismes nuisibles aux végétaux
Un défi mondial à relever afin de prévenir et d’atténuer les risques phytosanitaires dans l’agriculture, la sylviculture et les écosystèmes
2021Les changements climatiques constituent un défi sans précédent pour la biosphère et la communauté internationale, et représentent également un défi singulier pour la santé des végétaux. L'activité humaine et la mondialisation accrue des marchés, associées à la hausse des températures, ont créé une situation propice à la circulation et à l'établissement des organismes nuisibles. Le présent examen scientifique évalue les effets potentiels des changements climatiques sur les organismes nuisibles aux végétaux et, par conséquent, sur la santé des végétaux. Les données examinées indiquent clairement que les changements climatiques ont déjà permis à certains organismes nuisibles d'étendre leur gamme d'hôtes et leur aire de répartition, et qu’ils peuvent encore accroître le risque d'introduction d'organismes nuisibles dans de nouvelles zones. Face à ce constat, il est essentiel de développer la coopération internationale et d'élaborer des stratégies harmonisées de protection des végétaux pour aider les pays à adapter efficacement leurs mesures de gestion du risque phytosanitaire à la réalité des changements climatiques.
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BookletHigh-profileFAO Strategy on Climate Change 2022–2031 2022The FAO Strategy on Climate Change 2022–2031 was endorsed by FAO Council in June 2022. This new strategy replaces the previous strategy from 2017 to better FAO's climate action with the Strategic Framework 2022-2031, and other FAO strategies that have been developed since then. The Strategy was elaborated following an inclusive process of consultation with FAO Members, FAO staff from headquarters and decentralized offices, as well as external partners. It articulates FAO's vision for agrifood systems by 2050, around three main pillars of action: at global and regional level, at country level, and at local level. The Strategy also encourages key guiding principles for action, such as science and innovation, inclusiveness, partnerships, and access to finance.
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BookletCorporate general interestEmissions due to agriculture
Global, regional and country trends 2000–2018
2021Also available in:
No results found.The FAOSTAT emissions database is composed of several data domains covering the categories of the IPCC Agriculture, Forestry and Other Land Use (AFOLU) sector of the national GHG inventory. Energy use in agriculture is additionally included as relevant to emissions from agriculture as an economic production sector under the ISIC A statistical classification, though recognizing that, in terms of IPCC, they are instead part of the Energy sector of the national GHG inventory. FAO emissions estimates are available over the period 1961–2018 for agriculture production processes from crop and livestock activities. Land use emissions and removals are generally available only for the period 1990–2019. This analytical brief focuses on overall trends over the period 2000–2018. -
Book (stand-alone)Technical bookRussian Federation: Meat sector review
Country highlights prepared under the FAO/EBRD Cooperation
2014Also available in:
World food demand has seen massive changes, including a shift from staple foods to animal proteins and vegetable oils. In the short to medium term, this trend in global food demand will continue. There will be an increased demand for vegetable oils, meat, sugar, dairy products and livestock feed made from coarse grains and oilseed meals. There are numerous mid-term forecasts for the Russian Federation’s meat sector. Most of them agree on the following trends: (i) the consumption of poultry and p ork meat will increase; (ii) the consumption of beef will decrease or stabilize; and (iii) the Russian Federation will remain a net importer of meat on the world market. According to OECD and FAO projections, meat imports from the Russian Federation will decrease from 3 to 1.3 million tonnes, owing to an anticipated growth in domestic chicken meat and pork production. The country’s share in global meat imports is anticipated to decrease from 12 percent in 2006–2010, to 4 percent in 2021. While t he Russian Federation will continue to play an important role in the international meat market, it will fall from its position as the largest meat importing country in 2006–2010 to the fourth largest global meat importer by 2021, behind Japan, sub-Saharan African countries, and Saudi Arabia.