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DocumentLa collection de germoplasm des plantes légumières en Côte d’Ivoire
Réseau Africain pour le Développement de l'Horticulture (RADHORT)
2012Also available in:
No results found.Les légumes (gombo, aubergine, piment, tomate, cucurbitacées, etc.) occupent une place importante dans l’alimentation en Côte d’Ivoire. Ce sont des condiments très appréciés dont la consommation (feuille, fruit) augmente quotidiennement avec les besoins en produits vivriers de base (riz, banane, igname, etc.), du fait du taux croissant de la population ivoirienne et surtout de celle des grandes agglomérations urbaines non agricoles. Devenues sources de revenus les plus sûres (plus de sept millia rds par an – SODEFEL, 1989) les superficies de culture de légumes se rencontrent partout où la culture ne pose aucun problème. Cependant, ces plantes ont fait l’objet de très peu de recherche en Côte d’Ivoire. La recherche fondamentale a été effectuée par le Centre Néerlandais sur les aubergines locales et l’ORSTOM sur le gombo (collection et évaluation du matériel, mise en évidence des contraintes de cultures). La Société de Fruits et Légumes (SODEFEL) a évalué plusieurs variétés importées pour en recommander un certain nombre aux utilisateurs (SODEFEL, 1975). Des travaux de Siemonsma, 1982 ; Hamon, 1988 ; Djidji, 1992 ont relevé non seulement les limites du matériel végétal importé mais aussi l’importance et la diversité du matériel local ivoirien. Pour satisfaire ce besoin, sans cesse croissant en légumes dans l’alimentation, il apparaît donc nécessaire d’augmenter la production de légumes. Cela doit se passer par l’amélioration des systèmes culturaux et l’obtention de variétés adap tées aux différents systèmes de culture. C’est ainsi que l’Institut des Savanes (IDESSA) a entrepris depuis 1988, un programme de recherche sur les cultures légumières. -
DocumentMicrotraitement des cultures maraîchères en pépinière contre le nématode a galles Meloidogyne: une étape envisageable dans un itinéraire de lutte intégrée
Réseau Africain pour le Développement de l'Horticulture (RADHORT)
2012Also available in:
No results found.Très fréquemment, de fortes populations du nématode phytoparasite à galles du genre Meloidogyne se développent sur des cultures sensibles dans des sols apparemment peu ou pas infestés. Le développement des populations est alors favorisé par un taux de reproduction très élevé, entre 500 et 2000 oeufs par femelle selon les conditions climatiques, pour un cycle biologique court d’environ 28 jours, et par leur mode de reproduction parthénogénétique qui permet à la quasi-totalité des oeufs de se déve lopper en juvéniles infestants. Dans ce cas, les cultures à cycle court, comme les cultures maraîchères, ne peuvent supporter qu’un nombre limité de générations de Meloidogyne. L’un des moyens pour en retarder les dégâts est le traitement à l’aide de produits nématicides systémiques. Bien que testés déjà en plein champ sur cultures maraîchères, avec d’ailleurs plus ou moins de succès, le danger que représente leur manipulation à grande échelle et l’existence de résidus dans les fruits limitent l eur emploi sur de nombreuses cultures. En revanche, leur emploi à très faible dose en pépinière peut résoudre le problème des résidus. Le principe consiste alors à utiliser l’effet résiduel des nématicides afin de protéger les plants, après repiquage, d’attaques précoces de Meloidogyne en retardant le développement des populations. -
DocumentPremière approche sur l’inventaire et l’importance des ennemis de 10 cultures maraîchères dans les 10 pays du RADHORT
Réseau Africain pour le Développement de l'Horticulture (RADHORT)
2012Also available in:
No results found.Ce travail fait suite à l’article paru dans le Bulletin de Liaison N°11 du 31 mai 1997 (p 74-88) et présente pour 10 cultures, la liste des ennemis présents dans au moins un des 10 pays du Réseau Africain de Développement de l’HORTiculture (RADHORT) Burkina, Cap-Vert, Côte d’Ivoire, Guinée, Guinée-Bissau, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal, Tchad. Pour chaque pays il est indiqué l’absence, la présence et l’importance de ces ennemis. Les cultures maraîchères concernées par cet article sont souvent considérées comme secondaires. Il nous manque des informations pour une grande partie des pays ou encore les informations disponibles se limitent au signalement de la présence de l’ennemi sans indication sur son importance.
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