Related items
Showing items related by metadata.
-
ProjectProjet d’appui à la filière des semences et des plants d’espèces ligneuses agroforestières - TCP/GBS/3804 2024
Also available in:
No results found.En 2020, plus de 70 pour cent de la Guinée-Bissau était boisée, dont 45 pour cent de forêt primaire. Le pays présente une grande diversité écologique, incluant des forêts subhumides, des forêts sèches, des forêts galeries, des savanes, des palmeraies et des mangroves. Les forêts de Guinée-Bissau représentent un stock de carbone important pour l’Afrique de l’Ouest, avec un stock de carbone total estimé à 96,93 tonnes pour la biomasse aérienne des forêts (AGB), et une valeur AGB forestière moyenne de 65,17 tonnes par hectare. Les savanes boisées de l’est de la Guinée-Bissau ont des AGB moyens inférieurs, mais sont cruciales pour la conservation en raison de leur vaste étendue couvrant 15 035 km², soit 42 pour cent du territoire national. -
ProjectAppui au développement du secteur semencier: Projet pilote de production de semences des principales cultures vivrières (maïs, riz) et maraîchères dans le département de Bongouanou - PROFIL DE PROJET D'INVESTISSEMENT BANCABLE
APPUI À LA MISE EN ŒUVRE DU NEPAD-PDDAA TCP/IVC/2903 (I)
2005Also available in:
No results found. -
ProjectAppui au Ministère de l’agriculture, des ressources naturelles et du développement rural pour lutter contre le phytophtora colocasiae agent causal du mildiou du taro par la production de semences saines en Haïti - TCP/HAI/3804 2025
Also available in:
No results found.Le taro, ou Colocasia esculenta, est cultivé en Haïti dans les régions très humides, en particulier le long des canaux d’irrigation et de drainage, ainsi que dans de petites exploitations agricoles. Estimer la superficie totale des terres dédiées au taro est complexe. Cependant, en 1979, environ 21 195 ha étaient identifiés comme des terres ensemencées de taro, la plupart étant cultivées en association avec d’autres cultures. Les rendements sont toutefois extrêmement bas, ne dépassant pas en moyenne 1,8 tonne par hectare en 2016, comparés à une moyenne mondiale estimée en 1999 à 6,2 tonnes par hectare. Au fil du temps, le taro est devenu un aliment essentiel et la principale source de revenus pour les populations rurales de certaines régions du pays, telles que la plaine des Cayes. Les feuilles de taro sont consommées comme des légumes, tandis que ses racines constituent une importante source de glucides. Du point de vue nutritionnel, le taro présente une teneur en glucides plus de deux fois supérieure à celle des pommes de terre, ainsi qu’un niveau élevé de fibres alimentaires. En poids sec, le taro a également une teneur en protéines plus élevée que l’igname, le manioc ou la patate douce.
Users also downloaded
Showing related downloaded files
No results found.