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No. 6. Le sucre: l'impact des réformes sur les politiques relatives au secteur du sucre. Aperçu des analyses contemporaines

Documents techniques de la FAO sur les politiques commerciales relatives aux négociations de l'OMC sur l'agriculture












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    Book (stand-alone)
    Effets de la libéralisation du commerce sur lemarché mondial du sucre 1999
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    Le présent rapport a pour objet de présenter et d’examiner les résultats d’une étude de la libéralisation du commerce sur le marché mondial du sucre. Cette étude envisage les scénarios suivants : a) effets de la libéralisation du commerce résultant de l’Accord du Cycle d’Uruguay, b) effets de la libéralisation complète du commerce mondial, c) effets de la libéralisation partielle du commerce, d) effets de la libéralisation complète du commerce des pays industrialisés, e) effets de la libéralisat ion partielle du commerce des pays industrialisés, f) effets de la libéralisation complète du commerce des principaux pays en développement (Brésil, Chine, Indonésie et République de Corée), g) effets de la libéralisation partielle du commerce des principaux pays en développement. L’analyse est axée sur l’évolution des cours mondiaux, de la production, de la consommation, de la variation des stocks et du commerce net dans 42 pays et/ou régions : Etats-Unis d’Amérique, Canada, Union européenne (U E), autres pays d’Europe occidentale, Pologne, autres pays d’Europe orientale, ex-URSS, Japon, Australie, Nouvelle-Zélande, Fidji, reste de l’Océanie, Chine, Inde, Indonésie, Philippines, Thaïlande, Malaisie, Pakistan, Viet Nam, Corée, Bangladesh, autres pays d’Asie, Cuba, Guatemala, Mexique, Argentine, Brésil, Chili, autres pays d’Amérique latine, Afrique du sud, Kenya, Zimbabwe, Algérie, Malawi, Tanzanie, Egypte, Maurice, reste de l’Afrique, Turquie, Arabie saoudite et autres pays du Proche-Or ient. On a procédé en outre à l’analyse de l’incidence de la libéralisation du commerce sur l’ensemble des Etats d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (ACP), signataires de la Convention de Lomé, et des petits Etats insulaires, et notamment sur les effets d’une éventuelle révision du Protocole sucre conclu entre les Etats ACP et la CE.
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    Book (stand-alone)
    Perspectives agricoles de L'OCDE et de la FAO 2016-2025
    Chapitre spécial: Afrique subsaharienne
    2016
    Cette douzième édition conjointe des Perspectives Agricoles de l’OCDE et de la FAO présente des projections à l’horizon 2025 pour les principaux produits agricoles, les biocarburants et le poisson. Le rapport 2016 comprend un chapitre spécial sur les perspectives et les défis auxquels l’Afrique subsaharienne sera confrontée.

    Sur la période de dix ans couverte par les Perspectives, un ralentissement de la croissance de la demande sera compensé par des gains d’efficacité de productio n, impliquant des prix réels des produits agricoles relativement stables. Toutefois, les incertitudes des marchés et des politiques donnent lieu à un risque de volatilité résurgente. Les projections pour l’agriculture en Afrique subsaharienne indiquent une augmentation des disponibilités alimentaires, ce qui favorisera une diminution de l’incidence de la malnutrition. Les perspectives du secteur pourraient être bien meilleures si les politiques menées dans la région étaient plus stables, si des investissements stratégiques publics et privés étaient consentis, notamment dans les infrastructures, et si des activités de recherche et de vulgarisation adaptées étaient menées.

    Lire le Résumé du rapport.

    Télécharger les Perspectives chapitre par chapitre:

    Chapitres des produits:
  • Céréales
  • Oléagineux et produits oléagineux
  • Sucre
  • Viande
  • Lait et produits laitiers
  • Produits halieutiques et aquacoles
  • Biocarbur ants
  • Coton
  • Annexe statisque
  • Des informations complémentaires sont disponibles en ligne sur le OCDE-FAO Perspectives Agricoles site internet.

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    Book (stand-alone)
    Légumes secs et exploitations durables en Afrique subsaharienne 2018
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    En Afrique subsaharienne, l’insécurité alimentaire touche 153 millions de personnes (soit 25 pour cent environ de la population). Le problème pourrait encore s’aggraver du fait de la dégradation constante des sols entraînée par la diminution du taux de matière organique et les apports insuffisants en éléments nutritifs. Plus de 75 pour cent des terres agricoles africaines pourraient être classées comme «dégradées» d’ici à 2020. Cette situation est susceptible de mettre en péril la production alimentaire en Afrique subsaharienne, tant que le plan quantitatif que qualitatif, ainsi que la durabilité des systèmes de production agricole existants. L’utilisation d’engrais pourrait renverser la tendance; or l’Afrique a une capacité de production d’engrais presque inexistante (elle dispose principalement d’installations qui effectuent des mélanges de produits fertilisants). Les engrais proviennent d’autres régions que l’Afrique et sont transportés à grands frais sur de longues distances. L’accès des agriculteurs d’Afrique subsaharienne aux engrais est de ce fait très limité, ce qui accroît encore le risque de dégradation des sols. Appréciés pour leurs multiples avantages, les légumes secs sont cultivés depuis longtemps en Afrique subsaharienne. Les légumes secs, et les légumineuses en général, peuvent être très utiles du fait de leur capacité à fixer biologiquement l’azote atmosphérique et à améliorer le renouvellement biologique du phosphore; ils pourraient donc devenir la pierre angulaire de l’agriculture durable en Afrique. À cet égard, un corpus de travaux publiés souligne l’importance de la diversification des systèmes de production existants, et notamment avec des légumineuses, qui apportent des services environnementaux essentiels – en matière de lutte contre l’érosion du sol et de reconstitution des stocks de nutriments des sols, par exemple. La présente publication s’intéresse à certaines des stratégies prometteuses qui s’attachent à promouvoir la culture et l’utilisation des légumineuses dans les petites exploitations agricoles d’Afrique subsaharienne. Elle s’inscrit dans le sillage de l’Année internationale des légumineuses, initiative ayant pour objet de mettre en avant la contribution des légumes secs au bien-être de l’humain et à l’environnement. L’un des problèmes rencontrés à l’échelle mondiale tient au fait que les statistiques ne reflètent pas bien la diversité des légumes secs. On ne sait pas précisément quels légumes secs sont cultivés, ni où ils sont cultivés. De ce fait, leur importance pour l’Afrique subsaharienne est sous-estimée, et on a tendance à moins investir dans la recherche sur les légumineuses. Les systèmes de production agricole existants sont dominés par les céréales, et se prêtent donc bien à une diversification par l’utilisation de variétés locales ou nouvelles de légumineuses. Le système de culture mixte basé sur le maïs se développe rapidement et est un exemple de diversification de ce type, notamment avec des variétés de haricot. Cela s’explique en partie par le nombre élevé de variétés de haricots qui ont été mises au point, dans le cadre de partenariats menés sur des décennies et soutenus par l’Alliance panafricaine de recherche sur le haricot, afin de répondre aux demandes des marchés locaux et régionaux. Ces recherches sur le haricot ont notamment permis de lancer des activités pionnières de sélection végétale participative et de vulgarisation, en association avec des organisations communautaires et des chaînes de valeur participatives, et de s’intéresser aux systèmes semenciers informels. Cet exemple montre comment la recherche sur les légumes secs peut changer la donne pour les petites exploitations d’Afrique subsaharienne, en élargissant l’éventail de possibilités offertes par la génétique et en soutenant l’innovation. De nombreuses variétés privilégiées par les agriculteurs méritent d’être mises en avant, de même que certaines techniques, telles que l’innovant système à double culture de légumineuses (SDCL) récemment annoncé par le Gouvernement malawien. Parallèlement, la présente étude met en évidence un retard dans le lancement de variétés s’agissant de certains légumes secs et la nécessité de mener sans délai de nouvelles recherches sur l’adoption, les obstacles à l’adoption et l’impact de l’adoption de nouvelles variétés. Parmi les priorités de recherche figurent les travaux destinés à mieux faire connaître et à diffuser les propriétés associées aux types de légumes secs polyvalents, qui sont très appréciés en Afrique subsaharienne. Les différents types de légumes secs remplissent différentes fonctions et, de manière générale, les légumes secs polyvalents sont ceux qui répondent le mieux aux divers besoins des agriculteurs (produits alimentaires, combustible, fourrage et services écosystémiques comme la pollinisation). Un compromis est nécessaire entre l’indice de récolte et les autres fonctions, trop souvent négligées par les chercheurs et les décideurs, qui ont tendance à se soucier presque exclusivement de l’augmentation des rendements en graines. Une autre question sur laquelle il faudrait se pencher sans délai est celle de la résistance aux organismes nuisibles et des approches éducatives et conseils agronomiques visant à renforcer la protection intégrée (PI) contre les ravageurs. Enfin, le rôle de certaines légumineuses et de leurs propriétés biochimiques dans la promotion de la santé des écosystèmes et des communautés est un domaine d’étude crucial, qui apportera des solutions urgentes nécessaires aux agricultrices et à la pérennité des communautés.
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