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Utilisation de Bacillus thuringiensis contre Plutella xylostella en culture de chou et Phthorimaea operculella en stockage de pomme de terre

Réseau Africain pour le Développement de l'Horticulture (RADHORT)










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    Etude de l’effet du piochage repete des parcelles, de la culture de patate douce et de l’utilisation du roundup dans la lutte contre cyperus rotundus en parcelles de maraîchage
    Réseau Africain pour le Développement de l'Horticulture (RADHORT)
    2012
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    La lutte contre Cyperus rotundus (mauvaise herbe des parcelles de maraîchage) est une contrainte importante pour les paysans. En effet, du fait de son mode de reproduction presque exclusivement végétatif, cette adventice est difficile à éliminer. L’étude de trois méthodes de désherbage a permis de noter que l’ombrage provoqué par une culture dense de plantes étouffantes comme la patate douce sur parcelles infestées n’a pas donné de résultats satisfaisants dans la lutte contre Cyperus rotundus. L a culture de la patate douce arrête le développement de l’adventice, mais les bulbes déjà formés dans le sol restent en dormance et germent dès que les conditions redeviennent favorables. Il ressort également que le piochage répété des parcelles infestées est une pratique qui permet de réduire considérablement la population de C. rotundus. Cette technique est cependant lente et doit s’étendre sur une période assez longue au cours de laquelle la parcelle n’est pas cultivée. La lutte contre C. rot undus avec le Roundup (glyphosate) a montré que trois applications à la dose de 4 l/ha permet de réduire la population à un seuil où elle ne cause pas de dégâts aux cultures. Par contre, les parcelles entretenues n’ayant fait l’objet d’aucune pratique de lutte permettent à C. rotundus de boucler son cycle ; la réserve de bulbes du sol devient très importante. Ces organes se conservent dans le sol pendant plusieurs années et germent dès qu’on procède à la préparation du sol.
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    Utilisation du neem - (Azadirachta indica) pour la protection naturelle contre les insectes ravageurs du chou en culture d’hivernage
    Réseau Africain pour le Développement de l'Horticulture (RADHORT)
    2012
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    Les cultures maraîchères au Burkina Faso se font presqu’exclusivement sous irrigation entre octobre et avril, période sèche et fraîche de l’année. Ceci entraîne un engorgement des marchés entre mars et avril. Cependant la période de juin à octobre constitue une des périodes difficile, voir impossible pour certaines cultures légumières sans traitement phytosanitaire. Phénomène essentiellement dû aux conditions d’humidité élevées associé à des températures moyennes également élevées (26 à 30°C). D e nombreuses recherches ont été faites sur l'utilisation de différentes méthodes et produits pour lutter efficacement contre les différents ravageurs des légumes. Parmi les nombreux produits utilisés, Jacobson, 1980, rapporte que des extraits bruts d'amandes de neem (Azadirachta indica) ont montré un grand effet protecteur (concentration inférieure ou égale à 0,1 ppm); également, Ouédraogo J.(1990), rapporte que le neem a un large spectre de protection contre de nombreux ennemis des cultures. Ce travail a été réalisé dans le but de vérifier l’impact des tourteaux de neem sur la protection naturelle du chou en culture d’hivernage. Le choix du chou comme plante test pour cette étude est guidé par le fait que les producteurs burkinabè de choux sont continuellement confrontés à de grandes pertes (souvent évaluées à plus de 60 %) si les parcelles ne sont pas traitées tous les trois à quatre jours avec des produits chimiques, lesquels sont rarement homologués pour les légumes feuilles.
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    Resultats d’une multiplication de semences de pomme de terre dans le perimetre de Soumbalako - Préfecture de Mamou (République de Guinée) – Campagne 91/92
    Réseau Africain pour le Développement de l'Horticulture (RADHORT)
    2012
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    L’un des objectifs principaux du projet FAO GCP/GUI/007/BEL «Coopération régionale pour le développement des productions maraîchères en Afrique de l’Ouest (Composante nationale guinéenne)» est de fournir les maraîchers guinéens en semences de qualité et particulièrement en semences de pomme de terre, culture essentiellement pratiquée dans la région du Fouta Djallon (voir carte administrative de la Guinée). De par ses avantages climatiques dus principalement au fait que le Fouta est une zone d’al titude comprise entre 900 et 1300 m, deux cycles de production sont réalisés par les paysans locaux : l’un de décembre à mars (campagne de saison sèche) et l’autre de fin mai à septembre (campagne de saison des pluies). La demande en semences de pomme de terre pour ces deux campagnes et pour cette région climatique et géographique particulière est de l’ordre respectivement de 200 à 300 t et 100 à 150 t. Pour éviter des sorties importantes de devises du pays et afin de fournir les maraîchers aux périodes souhaitées en semences de pomme de terre de qualité, notre projet a initié la mise en place d’une filière locale de multiplication dès la campagne de saison sèche 91/92. Les résultats sont ceux obtenus sur un périmètre suivi et encadré par l’équipe du projet GCP/GUI/007/BEL durant cette campagne.

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    Book (stand-alone)
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    Russian Federation: Meat sector review
    Country highlights prepared under the FAO/EBRD Cooperation
    2014
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    World food demand has seen massive changes, including a shift from staple foods to animal proteins and vegetable oils. In the short to medium term, this trend in global food demand will continue. There will be an increased demand for vegetable oils, meat, sugar, dairy products and livestock feed made from coarse grains and oilseed meals. There are numerous mid-term forecasts for the Russian Federation’s meat sector. Most of them agree on the following trends: (i) the consumption of poultry and p ork meat will increase; (ii) the consumption of beef will decrease or stabilize; and (iii) the Russian Federation will remain a net importer of meat on the world market. According to OECD and FAO projections, meat imports from the Russian Federation will decrease from 3 to 1.3 million tonnes, owing to an anticipated growth in domestic chicken meat and pork production. The country’s share in global meat imports is anticipated to decrease from 12 percent in 2006–2010, to 4 percent in 2021. While t he Russian Federation will continue to play an important role in the international meat market, it will fall from its position as the largest meat importing country in 2006–2010 to the fourth largest global meat importer by 2021, behind Japan, sub-Saharan African countries, and Saudi Arabia.
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    Technical book
    The future of food and agriculture - Trends and challenges 2017
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    What will be needed to realize the vision of a world free from hunger and malnutrition? After shedding light on the nature of the challenges that agriculture and food systems are facing now and throughout the 21st century, the study provides insights into what is at stake and what needs to be done. “Business as usual” is not an option. Major transformations in agricultural systems, rural economies, and natural resources management are necessary. The present study was undertaken for the quadrennial review of FAO’s strategic framework and for the preparation of the Organization Medium-Term plan 2018-2021.
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    Book (series)
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    The State of Food Security and Nutrition in the World 2021
    Transforming food systems for food security, improved nutrition and affordable healthy diets for all
    2021
    In recent years, several major drivers have put the world off track to ending world hunger and malnutrition in all its forms by 2030. The challenges have grown with the COVID-19 pandemic and related containment measures. This report presents the first global assessment of food insecurity and malnutrition for 2020 and offers some indication of what hunger might look like by 2030 in a scenario further complicated by the enduring effects of the COVID-19 pandemic. It also includes new estimates of the cost and affordability of healthy diets, which provide an important link between the food security and nutrition indicators and the analysis of their trends. Altogether, the report highlights the need for a deeper reflection on how to better address the global food security and nutrition situation.To understand how hunger and malnutrition have reached these critical levels, this report draws on the analyses of the past four editions, which have produced a vast, evidence-based body of knowledge of the major drivers behind the recent changes in food security and nutrition. These drivers, which are increasing in frequency and intensity, include conflicts, climate variability and extremes, and economic slowdowns and downturns – all exacerbated by the underlying causes of poverty and very high and persistent levels of inequality. In addition, millions of people around the world suffer from food insecurity and different forms of malnutrition because they cannot afford the cost of healthy diets. From a synthesized understanding of this knowledge, updates and additional analyses are generated to create a holistic view of the combined effects of these drivers, both on each other and on food systems, and how they negatively affect food security and nutrition around the world.In turn, the evidence informs an in-depth look at how to move from silo solutions to integrated food systems solutions. In this regard, the report proposes transformative pathways that specifically address the challenges posed by the major drivers, also highlighting the types of policy and investment portfolios required to transform food systems for food security, improved nutrition, and affordable healthy diets for all. The report observes that, while the pandemic has caused major setbacks, there is much to be learned from the vulnerabilities and inequalities it has laid bare. If taken to heart, these new insights and wisdom can help get the world back on track towards the goal of ending hunger, food insecurity, and malnutrition in all its forms.