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Book (series)Technical reportCGPM - Rapport de la trente-deuxième session de la Commission générale des pêches pour la Méditerranée. Rome, 25-29 février 2008 2008
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La trente-deuxième session de la Commission générale des pêches pour la Méditerranée (CGPM) a réuni 23 Parties contractantes. La Commission a examiné les activités intersessions de son Comité scientifique consultatif, de son Comité de l’aquaculture et a tenu la seconde session de son Comité d’application. La CGPM a adopté une Recommandation contraignante concernant un schéma régional sur les mesures de l’État du port pour combattre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée (INDNR) et a endossé une Recommandation de la Commission internationale pour la conservation des thonidés de l’Atlantique (CICTA) sur la période d’activité de la pêcherie d’espadon. Elle a aussi adopté une Résolution sur la présentation de rapports concernant la mise en œuvre de ses mesures de gestion. La CGPM s’est accordée sur une série d’amendements à son Règlement intérieur et a établi trois nouveaux groupes de travail, sur la pêche récréative, la sélectivité des engins de pêche et sur le suivi, contrôle et surveillance, particulièrement la surveillance par satellite des navires. Elle a aussi décidé d'établir un registre régional des navires de pêches. La CGPM a formalisé sa coopération avec trois organisations partenaires par le biais de protocoles d’ententes. Elle a décidé d’utiliser l’arabe comme langue de travail pour sa session plénière et d’entreprendre une évaluation de ses performances en 2009. La Commission a adopté son budget et son programme de travail pour l’année 2008. Elle a pris acte de l’importance du réseau de projets régionaux de coopération en matière de recherche en soutien aux travaux de ses comités et a confirmé l’extension du réseau à la mer Noire. La CGPM a pris acte des progrès réalisés en vue du transfert du Secrétariat au nouveau siège de la Commission. Elle a renouvelé le mandat de son bureau pour un autre terme. -
DocumentOther documentFAO Commission générale des pêches pour la Méditerranée. Rapport de la trente-septième session. Split, Croatie, 13-17 mai 2013. 2014Les représentants de vingt-et-une Parties contractantes, d’un État non membre de la Commission générale des pêches pour la Méditerranée (CGPM) et onze observateurs ont assisté à la trenteseptième session de la CGPM, ainsi qu’à la quatrième session du Comité de l’administration et des finances (CAF) et à la septième session du Comité d’application. La Commission a passé en revue les activités intersessions du Comité scientifique consultatif (CSC) et du Comité de l’aquaculture (CAQ) ainsi que les résultats obtenus par le Groupe spécial mis en place pour la modernisation du cadre juridique et institutionnel de la CGPM. Les mesures adoptées par la Commission cette année comprennent notamment une recommandation sur un plan de gestion pluriannuel et sur des mesures de conservation transitoires pour les pêcheries de petits pélagiques en Méditerranée qui prévoit des actions visant à réduire la menace de surpêche et de déclin des stocks et à encourager l’exploitation durable de cette importante espèce cible tout en gardant des rendements stables. Pour ce qui est de la mer Noire, la Commission a adopté une recommandation relative à la définition d’un ensemble de normes minimales pour la pêche du turbot au filet maillant de fond et pour la conservation des cétacés, en vue de garantir la protection des jeunes turbots avant qu’ils n’atteignent la taille de maturité et de contribuer ainsi au renouvellement de cette population en mer Noire. Cette mesure prévoit également des normes pour les pêcheries de turbot visant à réduire les captures accidentelles de cétacés. Parallèlement à ces recommandations contraignantes, la Commission a approuvé deux résolutions visant à promouvoir la mise en place d’aires marines protégées (y compris les zones de pêche réglementée) et à faire adopter des directives sur la gestion de la capacité de pêche en fonction de la disponibilité des ressources, afin de renforcer le contrôle et le suivi de l’effort et de la capacité de pêche. Un autre résultat de la session a été l’adoption de lignes directrices sur des mesures de précaution en matière de conservation visant à minimiser les effets indésirables sur les stocks et à améliorer la rentabilité économique des pêches. Dans le domaine de l’aquaculture, étant donné le rôle clé de ce secteur dans l’optique de la sécurité alimentaire et de la croissance économique et compte tenu de la nécessité d’encourager son développement durable en Méditerranée et en mer Noire, la Commission a convenu de mettre en place la première plateforme aquacole multi-acteurs, qui prévoit la participation de toutes les parties prenantes du secteur. La Commission a adopté son budget autonome pour l’année 2013, s’élevant à 1 940 973 USD, ainsi que son programme d’activités pour la période intersessions, y compris au titre du premier programme-cadre 2013-2018. Il a été décidé de créer cinq nouveaux groupes de travail: trois groupes de travail sur les méthodologies aux fins de l’analyse socioéconomique, sur la pêche artisanale et sur la pêche de loisirs dans le cadre du Sous-comité des sciences économiques et sociales (SCSES), un groupe de travail transversal sur les aires marines protégées auquel participent tous les Sous-comités et un groupe de travail pour la révision de l’Accord portant création de la CGPM. La session de cette année a été marquée par des avancées substantielles à l’appui du processus de réforme, lancé en 2009, en vue de moderniser le cadre institutionnel et d’assurer un fonctionnement plus efficace de la CGPM. Le Groupe de travail pour la révision de l’Accord portant création de la CGPM sera appelé à jouer un rôle important dans ce processus de réforme, qui devrait se traduire par une coopération sous-régionale renforcée, par la mise en place de mécanismes efficaces pour assurer le respect des décisions contraignantes, par la création d’une feuille de route pour lutter contre la pêche illicite, illégale et non réglementée et assurer ainsi la durabilité à long terme des pêches et de l’aquaculture en Méditerranée et en mer Noire. Une session extraordinaire, qui se tiendra en 2014, examinera les résultats de ce processus de réforme.
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Book (series)FlagshipThe State of Food Security and Nutrition in the World 2020
Transforming food systems for affordable healthy diets
2020Updates for many countries have made it possible to estimate hunger in the world with greater accuracy this year. In particular, newly accessible data enabled the revision of the entire series of undernourishment estimates for China back to 2000, resulting in a substantial downward shift of the series of the number of undernourished in the world. Nevertheless, the revision confirms the trend reported in past editions: the number of people affected by hunger globally has been slowly on the rise since 2014. The report also shows that the burden of malnutrition in all its forms continues to be a challenge. There has been some progress for child stunting, low birthweight and exclusive breastfeeding, but at a pace that is still too slow. Childhood overweight is not improving and adult obesity is on the rise in all regions.The report complements the usual assessment of food security and nutrition with projections of what the world may look like in 2030, if trends of the last decade continue. Projections show that the world is not on track to achieve Zero Hunger by 2030 and, despite some progress, most indicators are also not on track to meet global nutrition targets. The food security and nutritional status of the most vulnerable population groups is likely to deteriorate further due to the health and socio economic impacts of the COVID-19 pandemic.The report puts a spotlight on diet quality as a critical link between food security and nutrition. Meeting SDG 2 targets will only be possible if people have enough food to eat and if what they are eating is nutritious and affordable. The report also introduces new analysis of the cost and affordability of healthy diets around the world, by region and in different development contexts. It presents valuations of the health and climate-change costs associated with current food consumption patterns, as well as the potential cost savings if food consumption patterns were to shift towards healthy diets that include sustainability considerations. The report then concludes with a discussion of the policies and strategies to transform food systems to ensure affordable healthy diets, as part of the required efforts to end both hunger and all forms of malnutrition. -
BookletCorporate general interestEmissions due to agriculture
Global, regional and country trends 2000–2018
2021Also available in:
No results found.The FAOSTAT emissions database is composed of several data domains covering the categories of the IPCC Agriculture, Forestry and Other Land Use (AFOLU) sector of the national GHG inventory. Energy use in agriculture is additionally included as relevant to emissions from agriculture as an economic production sector under the ISIC A statistical classification, though recognizing that, in terms of IPCC, they are instead part of the Energy sector of the national GHG inventory. FAO emissions estimates are available over the period 1961–2018 for agriculture production processes from crop and livestock activities. Land use emissions and removals are generally available only for the period 1990–2019. This analytical brief focuses on overall trends over the period 2000–2018. -
BookletHigh-profileFAO Strategy on Climate Change 2022–2031 2022The FAO Strategy on Climate Change 2022–2031 was endorsed by FAO Council in June 2022. This new strategy replaces the previous strategy from 2017 to better FAO's climate action with the Strategic Framework 2022-2031, and other FAO strategies that have been developed since then. The Strategy was elaborated following an inclusive process of consultation with FAO Members, FAO staff from headquarters and decentralized offices, as well as external partners. It articulates FAO's vision for agrifood systems by 2050, around three main pillars of action: at global and regional level, at country level, and at local level. The Strategy also encourages key guiding principles for action, such as science and innovation, inclusiveness, partnerships, and access to finance.