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Malgré les difficultés, un avenir plus nutritif reste à notre portée
©FAO/Noel Celis

2030 et au-delà

La quête d’une alimentation
saine reste un chantier ouvert.

L’échéance que la communauté mondiale s’est fixée pour améliorer à grande échelle la nutrition mondiale – 2030 – se profile. Mais alors que nous nous en approchons à grande vitesse, de nombreux pays restent à la traîne. L’Objectif mondial 2, plaçant l’élimination de la faim et de la malnutrition sous toutes ses formes au rang des impératifs politiques, pourrait ne pas être atteint. Et nos systèmes agroalimentaires bien imparfaits, aggravés qui plus est par les changements climatiques et les aggravant à leur tour, nous freinent encore davantage.

Pourtant, des pistes prometteuses s’ouvrent devant nous – dans les foyers et les écoles, dans le domaine des données et sur les assiettes, pour les ménages et les gouvernements, comme pour les marchés et les communautés. À la FAO, nous demeurons convaincus qu’une intervention politique décisive et concertée concernant les systèmes agroalimentaires est susceptible d’ouvrir la voie à la transformation requise pour améliorer la nutrition à l’avenir.

Par-dessus tout, nous restons déterminés à concrétiser ce qui est pour nous un droit humain implicite: une alimentation saine pour tous et toutes, indépendamment de qui l’on est et d’où l’on est.

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