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Comment élaborer une stratégie nationale de renforcement des capacités phytosanitaires

Outil pédagogique à l'appui du renforcement des capacités phytosanitaires À l'intention des ONPV










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    Book (stand-alone)
    Évaluer et renforcer les capacités phytosanitaires dans certains pays d’Afrique orientale et australe pour promouvoir une agriculture résiliente 2025
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    Les organismes nuisibles constituent une menace considérable pour la production agricole, la sécurité alimentaire et la stabilité économique dans la région du Marché commun de l’Afrique orientale et australe (COMESA), où ils détruisent chaque année entre 30 et 60 pour cent des récoltes. La présente étude, menée dans le cadre du projet «Renforcement des capacités et de la gouvernance en matière de contrôle alimentaire et phytosanitaire» (GCP/GLO/949/EC) financé par l’Union européenne, a été coordonnée par le Secrétariat de la Convention internationale pour la protection des végétaux (CIPV) et l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO). Elle évalue les capacités phytosanitaires de onze pays du COMESA en s’appuyant sur des évaluations des capacités phytosanitaires (ECP). Les résultats montrent que les pays accordent la priorité aux activités de base, notamment le diagnostic des organismes nuisibles, la surveillance, l’analyse du risque phytosanitaire et les systèmes d’importation et d’exportation. Sur les 11 pays examinés, six ont sélectionné au moins 11 des 13 modules de l’ECP. Les questions liées à la gouvernance, comme la mobilisation des parties prenantes, ont été peu abordées. Parmi les principaux problèmes rencontrés, on peut citer des législations obsolètes, des infrastructures de diagnostic limitées, des systèmes de surveillance peu performants et des capacités d’analyse du risque insuffisantes. Pour combler ces lacunes, l’étude recommande de moderniser les cadres juridiques, de renforcer les capacités techniques, d’adopter des solutions numériques telles que la solution ePhyto de la CIPV, et d’améliorer la coordination régionale par l’intermédiaire du COMESA et du Conseil phytosanitaire interafricain de l’Union africaine, en collaboration avec le Secrétariat de la CIPV. La mise en place de centres régionaux de formation et la promotion des partenariats contribueront à pérenniser des systèmes phytosanitaires conformes aux normes internationales et aux stratégies régionales. Le renforcement de ces systèmes est essentiel pour favoriser les échanges commerciaux, garantir la sécurité alimentaire et soutenir une croissance économique durable à l’échelle du continent africain.
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    Document
    NIMP 32. Classification des marchandises selon le risque phytosanitaire qu'elles présentent
    Adopté en 2009
    2016
    Also available in:

    La présente norme donne aux organisations nationales de la protection des végétaux (ONPV) des pays importateurs des critères sur les modalités de classification des marchandises selon le risque phytosanitaire qu’elles présentent du point de vue des exigences à l’importation. Cette classification en catégories devrait aider à identifier si l’on a besoin ou non d’une analyse ultérieure du risque phytosanitaire et si une certification phytosanitaire est nécessaire. On opère une première étape de la classification selon que la marchandise est transformée ou non et, dans l’affirmative, selon la méthode et le degré de transformation à laquelle la marchandise a été soumise avant l’exportation. On opère la deuxième étape de la classification des marchandises selon l’usage qui en est prévu après l’importation. Les organismes nuisibles contaminants ou les organismes nuisibles présents dans les entrepôts qui peuvent s’associer à la marchandise après la transformation ne sont pas pris en compte dans la présente norme.

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