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Évaluation des capacités pour une meilleure nutrition en Ouganda










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    Project
    Appui à l’intervention conjointe des agences des Nations Nnies pour les actions sensibles à la nutrition en Guinée - TCP/GUI/3605 2021
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    Dans un pays où près de la moitié de la population vit en dessous du seuil de pauvreté, les ménages des zones rurales sont particulièrement touchés par l’insécurité alimentaire L’enclavement des zones de production, la faible disponibilité des denrées alimentaires ainsi que des techniques de conservation et de transformation inappropriées expliquent cette situation qu’a aggravée l’épidémie liée au virus Ébola à partir de 2014 La faible diversification du régime alimentaire affecte en outre la sécurité nutritionnelle, en particulier celle des femmes en âge de procréer et des enfants de moins de cinq ans dont 31 pour cent souffraient de malnutrition chronique et 77 pour cent de carences en micronutriments en 2012 Le projet représentait la contribution de la FAO à l’initiative conjointe des agences des Nations Unies «Efforts renouvelés contre la faim et la dénutrition chez les enfants» (REACH Renewed Efforts Against Child Hunger and under Nutrition en Guinée Il visait à soutenir le Gouvernement afin de réduire de manière durable le taux de malnutrition chronique en ciblant 300 ménages vulnérables de la région de Kankan, à l’est du pays Garantir l’accès à une alimentation diversifiée et nutritive, modifier les pratiques familiales, responsabiliser les communautés et renforcer les synergies entre parties prenantes constituaient les axes principaux du projet.
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    Book (stand-alone)
    Récits en provenance d’Afrique
    Changer des vies grâce à une alimentation saine et diversifiée
    2021
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    Une alimentation saine composée de légumes, de protéines et de fruits frais est un ingrédient essentiel pour éliminer la faim et toutes les formes de malnutrition et atteindre l'objectif de développement durable n° 2, Faim zéro, d'ici à 2030. Malheureusement, une alimentation saine est devenue un luxe inabordable pour près d'un milliard d'Africains, selon le rapport L'état de la sécurité alimentaire et de la nutrition dans le monde 2020. Au niveau mondial, le coût d'une alimentation saine est supérieur au seuil de pauvreté international, ce qui signifie que les personnes gagnant moins de 1,90 dollar par jour ne peuvent pas se permettre de consommer des calories et des nutriments adéquats provenant de divers groupes d'aliments. Par rapport à d'autres régions, cette crise d'accessibilité financière constitue le plus grand défi en Afrique. Le COVID-19 a aggravé le problème en perturbant les chaînes d'approvisionnement alimentaire et les moyens de subsistance, à des degrés divers sur le continent. En fin de compte, cela signifie que certains ménages sont confrontés à des difficultés accrues pour accéder à des aliments nutritifs. Et ce n'est pas tout. Au plus fort de la pandémie, les restrictions de circulation ont entraîné une diminution de la clientèle sur les marchés de fruits et légumes de certains centres urbains, ce qui a entraîné le gaspillage de produits frais. Les poissonniers ont été confrontés à des problèmes similaires. Même avant la pandémie de COVID-19, l'Afrique présentait la prévalence la plus élevée de sous-alimentation - plus du double de la moyenne mondiale - et la croissance la plus rapide du nombre de personnes souffrant de la faim par rapport aux autres régions. Si les tendances récentes persistent, l'Afrique dépassera l'Asie pour devenir la région comptant le plus grand nombre de personnes sous-alimentées, représentant la moitié du total en 2030. Des actions audacieuses - dans les communautés, les parlements et au niveau international - sont nécessaires pour transformer les systèmes alimentaires, rendre les régimes alimentaires sains abordables et progresser vers la réalisation de l'ODD 2.
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    Document
    Plan d’action pour la gestion des risques de catastrophes en Guinée-Bissau 2011 - 2013 2011
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    La Guinée-Bissau, un des pays les plus pauvres au monde, se classe au 164ème rang mondial sur 169 selon l’indice de développement humain calculé en 2010 par le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD). Plus de 65 pour cent de la population vit sous le seuil des 2 USD par jour. La pauvreté, prépondérante en zone rurale, est la principale cause de l’insécurité alimentaire. La production nette nationale ne suffit pas à couvrir les besoins alimentaires de la population dont les moyen s de subsistance sont en crise. Les faibles rendements des cultures vivrières, les risques phytosanitaires, la rareté des petits élevages familiaux, l’inexistence de la production piscicole, la faible demande des marchés ruraux pour les produits de la pêche artisanale et côtière ainsi que la rareté des petits jardins familiaux sont les principales causes du déficit énergétique et du déséquilibre nutritionnel, sources de la vulnérabilité alimentaire en Guinée-Bissau. Depuis 2008, l’Organisation d es Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) appuie le Gouvernement de Guinée-Bissau à travers l’Unité de coordination des opérations d’urgence et de la réhabilitation (ERCU) dans son effort visant à faire face à l’effondrement du cours de la noix de cajou et à la flambée des prix des denrées alimentaires. Pour répondre à ces problèmes, le Plan d’action de la Guinée-Bissau 2011-2013, dans une optique de réduction des risques de catastrophes, propose un programme composé d’une séri e de 12 projets dont les activités contribueront à la réduction du risque d’insécurité alimentaire. Parmi ces activités, on note la réhabilitation de digues anti-sel, l’introduction de variétés de semences améliorées résistantes à la sécheresse, la promotion de banques céréalières et la promotion d’un système d’alerte précoce. La mise en œuvre de ces activités sera effectuée en étroite collaboration avec les institutions nationales telles le Ministère de l’agriculture et du développement rural ( MADR) et le futur Service national de protection civile (SNPC), les organisations non gouvernementales nationales et internationales et les autres agences des Nations Unies dont notamment le Programme alimentaire mondial (PAM) et le PNUD. Les bailleurs de fonds actuels, l’Union européenne, l’Espagne, le Brésil, la Banque mondiale, la Banque africaine de développement (BAD) et le Fonds international de développement agricole (FIDA) sont des partenaires essentiels dans la mise en œuvre de ces proj ets.

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