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Vulnérabilité des plantes à fruits sauvages comestibles dans deux zones de la commune de Kataba 1 (Ziguinchor/Sénégal)

Le XVe Congrès forestier mondial, du 2 au 6 mai 2022









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    Book (stand-alone)
    Champignons comestibles sauvages
    Vue d'ensemble sur leurs utilisations et leur importance pour les populations
    2006
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    Les champignons sauvages comestibles sont cueillis pour l'alimentation et pour générer des revenus dans plus de 80 pays. Il y a une diversité importante entre les différents types, des truffes aux lactaires, des chanterelles aux champignons en massue, avec plus de 1 100 espèces enregistrées pendant la préparation de ce livre. Un petit groupe d'espèces a une importance économique en termes d'exportation, mais la signification plus large des champignons sauvages comestibles résident dans leur larg e utilisation comme aliment de subsistance dans les pays en développement. Ils fournissent une contribution notoire dans le soutien du régime alimentaire en Afrique centrale et du sud pendant les mois de l'année où l'approvisionnement alimentaire est souvent dangereusement faible. Ailleurs, ils sont un complément estimé et de valeur aux régimes alimentaires des populations rurales.
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    Meeting
    Rapport de la Quatorzième Session de la Commission des Thons de l’Océan Indien 2010
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    La 14e session de la Commission des thons de l’océan Indien (CTOI) s’est tenue à Busan (République de Corée), du 1er au 5 mars 2010, en présence de représentants de 19 membres de la Commission, de 2 parties coopérantes non contractantes, de la FAO et de 8 observateurs et experts invités. En réponse aux préoccupations concernt l’état des stocks, la Commission a adopté une mesure de gestion et de conservation qui établit une fermeture spatio-temporelle pour les pêcheries de senne et de palangre et un plan d’action a été lancé qui aboutira à l’adoption d’un système de quotas ou de toute autre mesure appropriée d’ici 2012. Ce plan d’action comprend une étude de faisabilité sur l’amélioration de la collecte des données dans les pêcheries artisales et une réunion technique en intersession pour adopter des recommandations sur des critères d’allocation dans le cadre d’un système de quotas. Le Comité scientifique fournira un avis de gestion de façon à permettre aux gestionires des pêcheries d’é valuer les avantages et les inconvénients des différentes options. La Commission a également adopté une résolution contraignte établissant une mesure du ressort de l’État du port, dont les dispositions sont quasiment identiques à celles de l’Accord global sur les États du port récemment adopté par le Conseil de la FAO. La Commission a également décidé de mettre en place un mécanisme permettant d’appliquer des mesures relatives aux marchés à l’encontre des parties qui se livrent à des activités q ui portent atteinte aux objectifs de la Commission. Le problème du manque de respect des mesures de conservation et de gestion par les membres a été identifié comme un des principaux problèmes auxquels fait face la CTOI. En réponse à ce problème, la Commission a renforcé le Comité d’application, qui examinera les performances de chaque membre afin d’identifier les parties qui présentent des déficiences dans l’application des mesures de conservation et de gestion de la CTOI. À compter de la proch aine Session de la Commission, la réunion du Comité d’application durera plus longtemps pour tenir compte du supplément de travail correspondant. La lutte contre la pêche illicite, non déclarée, non réglementée (INN) s’est poursuivie avec l’examen approfondi de plusieurs incidents de pêche INN impliquant des vires battant pavillon d’États membres, avec comme résultat l’ajout de nouveaux vires sur la Liste INN de la CTOI. La Commission a également adopté une mesure qui, pour la première fois pour une ORGP-thons, protège toutes les espèces de requins de la famille des Alopiidæ en interdisant notamment la conservation à bord et la commercialisation de ces espèces vulnérables. La Commission a décidé de la création d’un fonds pour aider à la participation des représentants des États en développement aux réunions de la Commission et de ses organes subsidiaires. Les reliquats budgétaires des années précédentes seront dans un premier temps utilisés pour abonder ce fonds et pour lancer des prog rammes d’échantillonge dans les pêcheries artisales, comme prévu par le Programme régiol d’observateurs adopté en 2009. La Commission a fait à nouveau part de son inquiétude face au problème récurrent de la piraterie au large des côtes de Somalie. La Commission a approuvé le programme de travail et le budget du Secrétariat pour 2009-2010, ainsi que le barème des contributions. La Commission a renouvelé le statut de partie coopérante non contractante pour l’Afrique du sud, le Sénégal et l’Uruguay et a accordé ce statut, pour la première fois, aux Maldives. Les mesures suivantes furent adoptées par la Commission : - Résolution 10/01 Pour la conservation et la gestion des stocks de thons tropicaux dans la zone de compétence de la CTOI - Résolution 10/02 Statistiques exigibles des Membres et Parties Coopérantes non Contractantes de la CTOI (CPCs) - Résolution 10/03 Concernt l’enregistrement des captures par les vires de pêche dans la zone de compétence de la CTOI - Résolution 10/04 Sur un Programme régiol d’observateurs Résolution 10/05 Sur la mise en place d’un fonds de participation aux réunions scientifiques pour les Membres et Parties Coopérantes non Contractantes de la CTOI (CPCs) en développement - Résolution 10/06 Sur la réduction des captures accidentelles d’oiseaux de mer dans les pêcheries palangrières - Résolution 10/07 Sur un registre des vires étrangers autorisés pêchant les thons et l’espadon dans la zone de compétence de la CTOI - Résolution 10/08 Sur un registre d es vires en activité pêchant les thons et l’espadon dans la zone de compétence de la CTOI - Résolution 10/09 Concernt les fonctions du Comité d’application - Résolution 10/10 Concernt des mesures relatives aux marchés - Résolution 10/11 Sur des mesures du ressort de l’État du port visant à prévenir, contrecarrer et éliminer la pêche illicite, non déclarée et non réglementée - Résolution 10/12 Sur la conservation des requins rerds (famille des Alopiidæ) capturés par les pêcheries dans la zone de compétence de la CTOI - Recommandation 10/13 Sur la mise en place d’une interdiction des rejets des listaos, des albacores, des patudos et des espèces non cibles capturés par les senneurs
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    Book (stand-alone)
    Analyse globale de la gouvernance et de la chaîne d'approvisionnement de la pêcherie du concombre de mer à Madagascar 2012
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    L’analyse de la chaine des valeurs des concombres de mer capturés par les pêcheurs malgaches a été conduite pour identifier les mesures visant à améliorer la performance des différentes activités concernées allant de la pêche à l’exportation. Le dernier recensement des différents acteurs de la petite pêche côtière a été effectué en 1987/1988. Différents projets et études ponctuels ont fourni quelques données ne couvrant que quelques villages ou une zone restreinte ne pouvant pas représenter les activités dans l’ensemble des 5 000 km de côte de Madagascar. Les acteurs de la filière sont composés des pêcheurs, des mareyeurs qui vendent soit à des collecteurs, soit directe- ment à des exportateurs. La transformation est réalisée, dans la majorité des cas, en partie par les mareyeurs pour arriver à un produit semi-finis, les collecteurs et les exportateurs parachevant le traitement. Les zones de concentration de l’exploitation des concombres de mer, qui existait déjà vers les années 1920-1 930, se trouvent, principalement et dans un ordre décroissant, sur la côte nord-ouest, moyen ouest et sud-ouest de Mada- gascar, entre Antsiranana et Betioky. Les zones de pêche connues des pêcheurs sont surexploitées en permanence par les pêcheurs qui continuent à ramasser les holothuries qu’ils rencontrent au cours de leurs sorties, quelle que soit leur taille. La production a chuté d’environ 60%, entre 1994 et 2005, et est estimée à près de 4 800 tonnes/an, poids équivalent en produit frais, actuellement. En amont de la filière, la production est assurée par les pêcheurs à pied, les plongeurs restés dans leur village et des plongeurs migrants qui vont travailler, le temps d’une saison, de mars à décembre, dans des zones lointaines où les stocks de concombres de mer offrent encore des rendements intéressants. Les pêcheurs à pied, composés quasi exclusivement de femmes et d’enfants, équipés d’un harpon de fabrication lo- cale et d’un petit seau, sortent quotidiennement, lors des marée s basses de vives eaux, soit 8 sorties par mois, pour ramasser tout produit qui peut se manger ou se vendre. Ils arrivent à collecter environ 144 kg de concombre de mer/ an/personne qui leur rapportent, avec un prix de vente moyen de 1583 MGA/kg, une marge annuelle de 225 350 MGA, chacun. Vivant dans des conditions socio-économiques très précaires, ils sont liés, par des dettes permanentes, avec les mareyeurs qui achètent leurs produits. La plupart des plongeurs utilisent différents engins de pê che et travaillent sur différentes ressources selon leur saison. Ceux restés au village et qui ciblent uniquement les concombres de mer sont assez rares. Ces derniers réalisent 170 sorties/an, capturent 850 kg/an et dégagent une marge annuelle de 5 439 533MGA, avec un prix de vente moyen de 6 540 MGA/kg. Répondant à une demande spécifique d’un collecteur, les plongeurs de Salary nord I, dans le district de Toliara II, cherche une seule espèce de concombre de mer, le falalijake (Bohadschiasp), ré alisant un profit net de1 104 533MGA/ an/pêcheur. Les autres espèces se raréfient dans ce village. Les plongeurs migrants de Fiherenamasay, dans le district de Toliara II, remontent, en pirogue, avec leur famille, jusqu’à Maintirano pour y réaliser des captures de 1 665 kg/pêcheur/an, permettant d’obtenir un profit net annuel de 7 097 382 MGA/pêcheur, avec un prix de vente de 23 150 MGA/kg de produits semi-finis. Les mareyeurs, quasimenttous des épiciers du village, travaillent sur tous les prod uits proposés par les pêcheurs et ar- rivent à collecter 880 kg/an, en moyenne. Ils transforment les captures en produits semi-fini pour les revendre soit à un exportateur, pour les villages proches de la ville, soit aux collecteurs, pour les autres. Le mareyeur qui vend directe- ment à unexportateur, à l’exemple de celui de Fiherenamasay, à 85 km de Toliara ville, arrive à dégager une marge de 1 862 320MGA/an, avec un prix moyen d’achat de 1 076 MGA/kg et de vente de 12 609 MGA/kg. Pour de prob lèmes de trésorerie, les mareyeurs transforment, à la hâte, les captures (cuisson et séchage insuffisants) et détériorent, sou- vent la qualité des produits.

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