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La situation mondiale des pêches et de l'aquaculture 2014 (SOFIA)

Possibilités et défis











FAO. 2014. La situation mondiale des pêches et de l’aquaculture. Rome. 255 pages.



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    FAO. Code de conduite pour une pêche responsable. 1995
    Dès les temps les plus reculés, la pêche a été une source majeure de nourriture pour l'humanité, assurant un emploi et des avantages économiques à ceux qui la pratiquaient. II était admis que les ressources aquatiques étaient un don de la nature d'une abondance illimitée. Mais, avec l'enrichissement des nnaissances et le développement dynamique du secteur des pêches qui ont suivi la deuxième guerre mondiale, ce mythe s'est évanoui lorsque l'on a pris conscience que les ressources halieutiques, quoique renouvelables, ne sont pas infinies et doivent être convenablement gérées si l'on veut maintenir leur contribution au bien-être nutritionnel, économique et social d'une population mondiale croissante. L'instauration sur une grande échelle au milieu des années 70 des zones économiques exclusives (ZEE) et l'adoption en 1982, après de longues délibérations, de la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer ont permis de définir un cadre nouveau pour une meilleure gestion des re ssources marines. Le nouveau régime juridique des océans a donné aux Etats côtiers des droits et responsabilités en matière d'aménagement et d'utilisation des ressources marines se trouvant à l'intérieur de leurs ZEE qui intéressent quelque 90 pour cent des pêcheries marines de la planète. Cette extension des juridictions nationales a été une étape nécessaire mais insuffisante dans la réalisation de l'objectif d'une gestion efficace et d'une mise en valeur durable des pêcheries. De nombreu x Etats côtiers ont continué à se heurter à de graves problèmes car, manquant d'expérience et de ressources financières et matérielles, ils ont tenté d'accroître les bénéfices extraits des pêcheries de leurs ZEE. Depuis quelques années, le secteur mondial des pêches est devenu un secteur conditionné par le marché et en voie de développement rapide de l'industrie alimentaire, et les Etats côtiers se sont efforcés de tirer parti des nouvelles possibilités en investissant dans des flottilles de p êche et usines de transformation modernes pour répondre à la demande internationale croissante de poisson et de produits de la pêche. Mais, à la fin des années 80, il est devenu évident que les ressources halieutiques ne pouvaient plus soutenir cette exploitation et cette mise en valeur rapides et souvent incontrôlées et que de nouvelles approches de l'aménagement des pêcheries prenant en considération la conservation et les aspects environnementaux s'imposaient d'urgence. La situation était aggravée par les préoccupations accrues que suscitait l'absence de réglementation du secteur des pêches en haute mer, intéressant dans certains cas
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    La situation mondiale des pêches et de l'aquaculture - 2012 2012
    OEuvrant sans relâche en direction des objectifs du Millénaire pour le développement, la communauté mondiale doit également faire face à d'autres défis urgents et complexes tels que la crise économique généralisée et les effets du changement climatique. C’est pourquoi le rapport de cette année sur La situation mondiale des pêches et de l'aquaculture met particulièrement en relief le rôle essentiel que jouent les pêches et l'aquaculture, tant pour la sécurité alimentaire et nutritio nnelle que pour la croissance économique. Ce secteur reste en effet l'une des principales sources de protéines animales de grande qualité, sans compter qu’il fait vivre plus de dix pour cent de la population mondiale et contribue à leur bien-être. Le commerce international du poisson a atteint de nouveaux sommets et la production globale ne cesse de progresser. Pourtant, il ne faut pas perdre de vue qu’une multitude de problèmes, allant d'une gouvernance insuffisante à des pratique s contraires à la durabilité environnementale, menacent de fragiliser la contribution précieuse de ce secteur à la lutte contre la faim et la pauvreté. Le rapport de cette année, se fondant sur les statistiques les plus récentes sur les pêches et l'aquaculture, livre une analyse de la situation et de l'évolution du secteur à l'échelle mondiale. Sont également abordées des questions connexes plus générales, notamment la problématique hommes/femmes, la préparation aux situations d'ur gence et l'approche écosystémique des pêches et de l’aquaculture. Un choix d'études apporte un éclairage sur un certain nombre de sujets, qui vont de l'étiquetage écologique aux effets des politiques de gestion des pêches sur la sécurité de la pêche en passant par la certification. Enfin, le lecteur est invité à un tour d'horizon sur les possibilités et les difficultés qui se présenteront aux pêches de capture au cours des prochaines décennies.
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    Rapport de la vingt-septième session du Comité des pêches. Rome, 5-9 mars 2007. 2007
    La vingt-septième session du Comité des pêches s’est tenue à Rome (Italie) du 5 au 9 mars 2007. Le Comité a examiné les questions de portée internationale et le programme de travail du Département des pêches et de l’aquaculture de la FAO concernant les pêches et l’aquaculture. Outre les activités supplémentaires visant à faciliter et à assurer l’application du Code de conduite pour une pêche responsable et de ses Plans d’action internationaux (capacité, pêche illicite, non déclarée et non réglementée, requins et oiseaux de mer), le Comité des pêches s’est félicité de la présentation prochaine d’un programme de travail général pluriannuel pour la gestion des ressources génétiques dans le domaine des pêches et de l’aquaculture. Le Comité s’est déclaré préoccupé par le niveau de la capacité de pêche, qui est supérieur aujourd’hui à celui d’avant le tsunami de 2004 dans certaines zones touchées et il a reconnu qu’il fallait faire face à ce problème, avec l’aide de la FAO, le cas échéant, en élaborant et appliquant des arrangements rationnels de gestion des pêches, y compris la diminution progressive de la surcapacité et la prise en compte de considérations liées au contrôle, à l’accès et aux moyens d’existence. Le Comité a également évoqué la question de la sécurité en mer liée à l’utilisation de navires non conformes aux normes. Il a reconnu l’importance de la traçabilité pour le commerce du poisson et il s’est félicité du protocole d’accord con clu par la FAO et la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES). Il a confirmé être convaincu que la FAO assumerait pleinement son rôle de coordination en vue de trouver des solutions aux problèmes auxquels est confrontée l’aquaculture mondiale et a souligné qu’il importait de s’occuper des impacts socioéconomiques de l’aquaculture et d’autres questions, notamment l’amélioration de la planification et l’élaboration des politiques aux échelles nationale et régionale. Le Comité est convenu d’accorder une plus grande place à la pêche artisanale et il s’est félicité de l’organisation d’une conférence internationale de grande envergure consacrée spécifiquement à la pêche artisanale. Il a encouragé les Membres à adhérer au Réseau international volontaire de suivi, contrôle et surveillance ou à coopérer avec lui et à élaborer un nouvel instrument juridiquement contraignant fondé sur le Plan type conc ernant les mesures du ressort de l’État du port pour la lutte contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée et sur le Plan d’action international pour la lutte contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée. Le Comité a identifié plusieurs domaines pour des activités supplémentaires concernant des questions liées à l’approche écosystémique des pêches. Le Comité a jugé que le budget octroyé au Département de l’aquaculture et des pêches était insuffisant, qu’il n ’était pas à la mesure de l’importance de ses travaux ni des attentes de la communauté internationale et il a demandé instamment que les organes directeurs de la FAO allouent davantage de ressources au Département.

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