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Empreinte hydrique du secteur bananier










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    Brochure, flyer, fact-sheet
    Empreinte carbone de la filière de la banane 2017
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    Le terme "empreinte carbone" est utilisé pour décrire la quantité de gaz à effet de serre (GES) générée par un produit ou une activité. Celle-ci est exprimée en équivalent dioxyde de carbone (quantité de dioxyde de carbone ayant le même impact sur le changement climatique) et a été largement utilisée au cours de la dernière décennie dans le cadre de l'évaluation environnementale. Le calcul de l'empreinte carbone d'un produit est la somme de tous les matériaux, l’énergie et les déchets produits au cours de toutes les activités de son cycle de vie, multipliée par les facteurs d'émission et potentiels de réchauffement planétaire (PRP). L'empreinte carbone de l'industrie bananière est répartie sur l'ensemble de la chaîne de valeur, qui peut être divisée en trois grandes étapes: la production et l'emballage, le transport et l'expédition; et la maturation (pour les bananes exportées). Cependant, seulement 15 à 20% de la production mondiale de bananes est commercialisée à l'échelle mondiale (les plus grands producteurs de bananes comme l'Inde ou le Brésil exportent très peu et consomment la plupart de leur production sur le marché intérieur). La norme ISO 14064 sur la comptabilité et la vérification des gaz à effet de serre est un instrument fondamental pour l'estimation de l'empreinte carbone dans les entreprises productrices de bananes. Les normes ISO 14040 et 14044 sur l'analyse du cycle de vie (ACV) et PAS 2050 sur la vérification de l'empreinte carbone (publiée par la British Standards Institution) fournissent un cadre reconnu pour le calcul de l'empreinte carbone et l'analyse du cycle de vie.
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    Book (series)
    Unasylva 251
    Les forêts: des solutions fondées sur la nature pour la gestion de l'eau
    2019
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    L’eau – l’eau propre, potable – sera probablement l’une des ressources les plus contraignantes à l’avenir, eu égard à la croissance démographique mondiale, à la forte demande d’eau de la plupart des systèmes de production agricole, et aux effets confondants du changement climatique. Nous devons utiliser l’eau avec sagesse – de façon efficace, rentable et équitable – si nous voulons éviter le désastre d’une pénurie d’eau utilisable. D’après les estimations, les bassins versants forestiers fournissent 75 pour cent des ressources en eau douce accessibles du monde, et plus de la moitié de la population de la planète est tributaire de ces ressources hydriques à des fins domestiques, agricoles, industrielles et environnementales. Les forêts sont donc des infrastructures naturelles vitales, et leur gestion peut apporter des «solutions fondées sur la nature» à de nombreuses problématiques de société liées à l’eau. Cette édition d’Unasylva explore ce potentiel.
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    Book (stand-alone)
    État de l’art de la productivité de l’eau des cultures en Tunisie 2024
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    Avec un volume annuel d’environ 420 mètres cubes d’eau par habitant, la Tunisie fait partie des pays aux ressources en eau bien inférieures aux seuils de pénurie. L’agriculture irriguée est le plus grand consommateur d’eau qui utilise près de 80 pour cent des prélèvements mais ce pourcentage est légèrement variable selon la pluviométrie de l’année. À titre d’exemple, les usages agricoles de l’eau ont été, en 2019, de l’ordre de 2 932 millions de mètres cubes et ont représenté 77 pour cent du total des prélèvements. Environ 28 pour cent de l’eau utilisée pour l’irrigation provient des grands barrages contre 68 pour cent prélevés des nappes profondes et de surface. Dans certaines régions, les eaux des nappes ne sont pas renouvelables, présentent une forte salinité et sont soumises à une surexploitation chronique.Malgré les investissements importants réalisés pour la mobilisation et le transfert de l’eau, la disponibilité en eau a fortement diminué au cours des dernières décennies en raison de l’augmentation de la population et de l’amélioration des conditions sanitaires et nutritionnelles. Le réchauffement climatique et la récurrence des épisodes de sècheresse déjà perceptibles engendrent également une augmentation de la demande climatique en eau sous forme d’évapotranspiration. De ce fait, même si la croissance relativement faible de la population constitue un facteur de stabilité de la demande de nourriture, il est évident que, dans ces conditions, on assistera à une augmentation des quantités d’eau nécessaires pour produire la même quantité de nourriture.

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